11.🥀

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Salem aleycoum,

Précédemment: La porte s'ouvrit brusquement sur quelqu'un dont le visage était pas visible à cause de l'obscurité. Je sens la personne me tirer hors de la pièce. C'était Gerald il avait les yeux rouges et sentait fortement l'alcool. Il se mit a me fixer et rapprocher son visage de plus en plus près avant de me...

[...]

Il se mit a me fixer et rapprocher son visage de plus en plus près avant de me chuchoter à l'oreille des mots qui me glacèrent le sang.

Gérald: Tu est à moi maintenant Amel, personne ne t'aidera ici. Tu es désormais seul, tu n'as plus de famille ils étaient ravis de te vendre et m'ont même demander de te faire souffrir le plus possible. Je compte bien faire se qu'il m'ont demander.

Ses mots me firent frissonner de peur, chaque mots qu'il prononçait était comme une lame qui s'enfonçait dans ma chair, et je me sentais faiblir sous la force de sa menace. Gérald, avec son regard fou et son sourire tordu, semblait prendre plaisir à ma peur.

Moi: N-non je ne t'appartient pas. dis-je en chuchotant, la voix tremblante...

Il éclata de rire, un rire cruel qui résonnait dans toute la pièce. Il s'approcha encore un peu plus, son sourire s'élargissant, comme s'il se nourrissait de ma peur.

Gérald: Oh, mais tu es ici avec moi, Amel. Tu es à moi maintenant, et il n'y a personne pour t'aider.

Je sentis mon cœur s'emballer, mais je refusai de céder à la panique. Je pris une profonde inspiration, essayant de maîtriser ma peur.Je ne devais pas me laisser dominer par la terreur.

Moi: T-tu penses peur-être que tu as tout le contrôle, mais ce n'est pas vrai. Tu ne peux pas me forcer à t'appartenir. Nous pouvons trouver une autre solution, quelques choses q-qui nous arrange tout les deux.

Il plissa les yeux comme pour évaluer mes paroles, mais je pouvais voir l'agitation dans son regard. Je devais essayer une autre approche, tenter de gagner du temps ou te trouver un moyen de m'échapper.

Moi: Je suis sûre que tu ne veux pas faire quelque chose que tu pourrais regretter plus tard. Je sais que tu es meilleur que ça... Gérald.

je fis un pas en arrière, lentement, espérant qu'il ne remarquerait pas ma tentative de m'éloigner. Mais Gérald attrapa mon bras, en le serrant comme il ne l'avais jamais fait au par avant. Il était clair qu'il ne comptait pas me laisser partir aussi facilement.

Gérald: Arrête de jouer avec moi, Amel. Je sais que tu essaies de fuir. Mais ici, il n'y a nulle pars où aller. Tu ferrais mieux de m'obéir et de ne pas essayer de fuir d'ici.

j'hoche la tête, il me souris avant de me dire.

je le fixe, essayant de cacher la peur dans mes yeux. Il se penche légèrement, un sourire narquois se dessine sur ses lèvres, et poursuit sur un ton presque doux:

Gérald: Tu vois, les choses sont tellement plus faciles quand on est d'accord.

Je sens l'air devenir plus lourd, comme si chaque mots qu'il prononce ne faisait qu'augmenter la tension dans la pièce. Il fait un pas de plus de plus vers moi, réduisant la distance qui nous sépare et ajoute:

Gérald: Pourquoi tu ne veux pas rendre les choses plus simples et agréables pour nous deux? Tu n'as rien à craindre si tu fais ce que je te demande.

Je lutte pour ne pas me reculer, pour ne pas montrer ma faiblesse. Je sais que je dois gagner tu temps, trouver une issue, mais pour l'instant, la seule option est de rester calme et de chercher un moyen pour m'enfuir de cet homme et de cet appartement.

𝓓𝓮𝓼 𝓵𝓪𝓻𝓶𝓮𝓼 𝓪𝓾 𝓫𝓸𝓷𝓱𝓮𝓾𝓻 𝓾𝓷 𝓶𝓪𝓻𝓲𝓪𝓰𝓮 𝓲𝓷𝓪𝓽𝓽𝓮𝓷𝓭𝓾.Où les histoires vivent. Découvrez maintenant