14.🥀

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Salem aleycoum,

Précédemment : Soudain, j'ai senti une main se poser doucement sur mon épaule. Mon coeur s'est mis à battre plus fort alors que je levais lentement les yeux pour découvrir qui se trouvait derrière moi...

[...]

À ma grande surprise, ce n'était ni un policier ni un employé du magasin. Devant moi, ce trouvait la dame que j'avais rencontré un peu plutôt, celle qui m'avait proposé son aide.

Son regard était remplis d'inquiétude mais aussi d'une douceur réconfortante.

La dame: Ma fille, tu ne devrais pas rester ici toute seule.
Dit-elle avec une voix apaisante.

Je sentais mes forces m'abandonner et les larmes me montaient au yeux, mais je me forçais à rester calme.

Moi: J-je ne sais pas quoi faire...
Ai-je murmuré la voix presque inaudible.

La dame s'assoit à côté de moi, gardant sa main  sur mon épaule.

La dame: Je ne vais pas te laisser ici. Tu n'as personne pour t'aider, n'est ce pas?

Je secouais ma tête, incapable de parler, la gorge serrée par l'émotion.

Elle me regarda un instant, semblant peser ses mots. Puis doucement elle dit:

La dame: Tu peux rester chez moi le temps que tu ailles mieux et que tu trouve un endroit où aller.

Je fus envahis par un mélange de soulagement et de peur. Je ne connaissais pas cette femme, mais son offre était la première main tendu que j'avais reçu depuis si longtemps. Le poids des événements de la journée pesait sur moi, j'acquiesçai doucement.

Elle se leva et me tendit sa main pour m'aider à me relever. Alors que je me mettais debout, je sentais mes jambes trembler sous la fatigue et la tension accumulé. Nous avons quitté le magasin ensemble, et bien que l'inquiétude persiste en moi, l'idée de trouver un peu de paix, ne serait-ce que pour une nuit, me réchauffait le cœur.

La dame m'accompagna hors du magasin, sa main serrant doucement la mienne comme pour m'assurer que tout ira bien. Chaque pas que je faisais semblait me rapprocher d'un espoir fragile, mais l'inquiétude ne me quittait pas complètement. Une fois à l'extérieur, l'air frais me fit frissonner. Je réalisais alors à quelle point je me sentais épuisée, non seulement physiquement, mais aussi mentalement.

La dame: Ma maison n'est pas très loin, juste quelques minutes à pieds.

Me dit-elle doucement en me guidant vers une rue assez tranquille.

Je la suivais en silence, jetant de rapides coups d'œil autour de moi, encore sur mes gardes. Le silence de la rue, contrastant avec ce que je ressens intérieurement, rendait l'atmosphère presque irréel.

Finalement, nous arrivons devant une petite maison, simple mais chaleureuse. La dame me fait entrer, je fus immédiatement enveloppé par une douce chaleur et l'odeur réconfortante de thé à la menthe.
La maison était modeste, avec des meubles anciens, mais chaque coins respirait la tranquillité et le soin.

En arrivant dans le salon, je fus surprise de voir un jeune homme assis sur le canapé, absorbé par un jeux vidéo. Quelques choses dans sa posture et son visage me semblait étrangement familier, mais je n'arrivait pas à saisir pourquoi. J' hésitez un instant,mon regard se posant sur lui alors que je tentai de remettre mes idées en place. C'est alors qu'il leva les yeux de l'écran, et nos regards se croisèrent.

𝓓𝓮𝓼 𝓵𝓪𝓻𝓶𝓮𝓼 𝓪𝓾 𝓫𝓸𝓷𝓱𝓮𝓾𝓻 𝓾𝓷 𝓶𝓪𝓻𝓲𝓪𝓰𝓮 𝓲𝓷𝓪𝓽𝓽𝓮𝓷𝓭𝓾.Où les histoires vivent. Découvrez maintenant