Il est agréable de lire vos commentaires et de voir vos votes, mais je remarque que de nombreux lecteurs restent silencieux. Vous lisez les chapitres sans laisser de traces, et cela soulève des questions. Si l'histoire vous plaît, pourquoi ne pas réagir ? Vous avez exprimé votre engagement en lisant chaque chapitre, alors pourquoi ne pas manifester votre appréciation ?
Je ne cherche pas à vous forcer à lire, mais il est juste que ceux qui prennent le temps de lire expriment au moins un mot de reconnaissance, comme un simple "merci" dans les commentaires. Je passe des nuits blanches à travailler sur ces textes pour vous faire plaisir, et j'aimerais que cet effort soit reconnu, ne serait-ce qu'à travers un commentaire.
Les commentaires sont essentiels pour faire évoluer l'histoire. Ils m'aident à améliorer mon écriture et à mieux comprendre ce que vous aimez. Si vous appréciez l'histoire, faites-moi savoir que vous aimez aussi l'écriture en laissant des retours.
Si l'absence de réactions persiste, l'histoire pourrait être arrêtée ou vendue. Votre engagement par des votes et des commentaires est important pour la continuation de cette aventure.
Le ballon est dans votre camp.
Bonne lecture !🙏
____________
Idarissa Bakir Ndao,
Voir ma femme morte, ses jambes étendues et immobiles, c'est une vision qui me transperce le cœur. Chaque ligne de son visage, chaque courbe de son corps est désormais figée dans le silence de l'absence.
Les jambes qui me portaient autrefois, pleines de vie et de mouvement, reposent maintenant dans une immobilité éternelle. Cette immobilité est un contraste douloureux avec les souvenirs vivants de ses pas et de sa grâce.
Il est difficile de supporter cette vue, car elle me rappelle brutalement que la vie que nous partagions est désormais réduite à un souvenir lointain. Le vide laissé par son départ est incommensurable, un abîme de chagrin que rien ne peut combler.
Chaque moment passé à ses côtés semble maintenant précieux et inaccessible, comme un rêve fugace. Le poids de la perte est lourd, et il pèse sur chaque battement de mon cœur, chaque souffle que je prends en essayant d'accepter cette réalité.
Les souvenirs de ses gestes, de ses rires, se heurtent à la dure réalité de sa présence absente. C'est un chagrin profond, un tourment silencieux, où chaque pensée me ramène à l'immensité de mon désespoir.
La mort transforme chaque instant partagé en un trésor inestimable, mais aussi en un rappel cruel de la fugacité de la vie. En contemplant son corps immobile, je réalise que chaque moment que nous avons eu est désormais tout ce qu'il me reste pour me raccrocher à elle.
La vie, si pleine de promesses et de rêves, se révèle fragile et éphémère lorsque confrontée à la mort. Nos certitudes se brisent alors que nous comprenons que rien n'est éternel, pas même l'amour que nous pensions indestructible.
Chaque souffle que nous prenons est un don précieux, et la perte d'un être cher nous enseigne brutalement que nous ne devrions jamais tenir nos moments ensemble pour acquis. Le temps, jadis pris pour acquis, devient soudainement un bien précieux que l'on souhaite pouvoir ralentir ou récupérer.
Le silence qui règne maintenant à ses côtés est une vérité universelle : en fin de compte, ce que nous avons, c'est notre capacité à chérir les souvenirs et à apprendre à vivre avec l'absence, tout en reconnaissant que l'amour transcende la mortalité, bien qu'il ne puisse jamais véritablement échapper à la douleur de la séparation.
VOUS LISEZ
Intimité
Short StoryDans le jeu des coépouses, une femme doit décider si elle cache ou divulgue l'intimité de son amour pour son mari.