Marwan ouvre la porte, révélant une pièce toute rouge, qui m' inquiéte. Des objets que je ne reconnais pas sont éparpillés dans la pièce, et au milieu, un grand lit avec des menottes accrochées aux coins. Mon cœur s'emballe, mais je reste silencieuse, trop choquée pour réagir sur le moment.
Il me dépose brusquement sur le lit, puis sort une arme qu'il pointe vers moi, son regard froid.
– La prochaine fois que tu bouges, je tire
Je le regarde, ne croyant pas à sa menace. Sans un mot, je me relève du lit, le dos tourné . Je fais un pas en direction de la porte, mais soudain, j'entends le claquement d'une balle frôlant ma tête.
– Merde, raté, murmure-t-il avec un calme glaçant.
Mon corps se fige, un frisson me parcourant. Le ton de sa voix, me fais peur et je retourne sur le lit pour ne pas provoqué ma mort.
– Enlève la couverture, ordonne-t-il, sa voix grave comme s'il ne laissait aucune place à la désobéissance.
Je reste figée, incapable de répondre, mon esprit en alerte, mais mon corps paralysé par la peur. Il s'approche encore, puis d'un geste brusque, il m'arrache la couverture, exposant la robe que je portais dessous. Le froid de la pièce me fit frissonner , et je serre les dents pour ne pas trembler.
Sans me laisser le temps de réagir, il m'attrape par le bras et me tire jusqu'à un mur étrange, où des chaînes et des menottes pendent, prêtes à être utilisées. Mon cœur s'emballe de panique, et je lutte contre lui, mais il est bien trop fort.
– Arrête de te débattre, ça ne fait que rendre les choses plus difficiles, murmure-t-il en me plaquant contre le mur, mon souffle s'accélérant à chaque seconde.
Il attache mes poignets et mes chevilles , ignorant totalement mes tentatives de résistance. Mes cris restent coincés dans ma gorge, et je sens la terreur me submerger alors que je suis maintenant immobilisée, pieds et mains liés.
À sa droite, je remarque des outils que je ne reconnais pas : des crochets, des lanières, des objets en métal. Je ne sais pas ce qu'il compte faire avec, mais je sens une peur grimper en moi. Tout mon corps est tendu, prêt à hurler, mais je me retiens.
Une terreur froide s'empare de moi, et cette fois, je ne peux plus me contenir. Je sens un cri monter en moi, prêt à exploser.
Marwan se recule lentement, comme s'il savourait chaque seconde de mon angoisse. Les chaînes qui m'immobilisent tirent légèrement sur mes poignets.
Il s'approche de la table où sont accrochés les outils. Je le vois en saisir un, un long objet métallique très inquiétante. Mon cœur bat si fort que j'ai l'impression qu'il va éclater. Il retourne vers moi, son regard toujours aussi froid et implacable.
– Tu pensais pouvoir me défier, Sofia ? Tu ne sais pas encore qui je suis. Mais tu vas apprendre, murmure-t-il d'une voix basse, presque caressante.
Il lève l'outil, le laissant effleurer ma peau, le métal froid glissant lentement le long de ma jambe. Mes muscles se contractent, et malgré moi, je sens un cri se coincer dans ma gorge, mais je me mords la lèvre pour ne pas lui donner cette satisfaction.
Je ferme les yeux un instant, essayant de contrôler ma respiration, mais la panique est trop forte. Il est là, tout près de moi, et je peux sentir son regard percer à travers mon corps, comme s'il jouissait de chaque frémissement, de chaque tremblement que je ne peux pas retenir.
Soudain, il pose l'outil à côté de moi et se rapproche encore, son corps tout contre le mien. Il glisse ses mains sur mes hanches, ses doigts froids .
– Tu as peur, Sofia ? Ça se voit dans tes yeux, souffle-t-il, sa bouche si proche de mon oreille que sa voix me fait frissonner.
Je veux lui répondre, je veux lui lancer quelque chose, n'importe quoi pour me défendre, mais aucun mot ne sort. Tout ce que je ressens, c'est l'adrénaline et la terreur .
Il s'écarte légèrement .
– Tu vas crier, Sofia, dit-il doucement, presque comme une promesse.
Et à cet instant, je me rends compte qu'il ne plaisante pas, que je ne suis qu'au début de ce qu'il a prévu.
Il me tourne le dos choisissant un objet et je le vois avec un pistolet bizard il le fait marché et il rigole .
-J'aime te voir si vulnérable .
-Violeur ! Tu vole ma virginité!
- En personne . lache t'il d'un ton froid
Il le pose sur ma jambe se qui la fait bouger je crie a l'intérieur de moi !!! puis il s'approche doucement de mon entre jambe en changeant la vitesse elle devient plus rapide .Je ferme les yeux et je prie !
-Arrête s'il te plait !
D'un coup sec, il tire. Le bruit résonne dans la pièce, et je sursaute en entendant le métal se détacher. Les chaînes tombent au sol, me libérant soudainement. Je reste figée, incapable de croire que je suis enfin libre.
Il m'observe, un sourire froid sur les lèvres.
– Ne te réjouis pas trop vite, Sofia. murmure-t-il avec un calme glaçant.
Je me redresse, mais il s'approche, son regard sur moi. Il m'attrape par le menton et me force à le regarder dans les yeux.
– La prochaine fois que tu m'insultes, rappelle-toi que je peux toujours te faire crier dans cette pièce. Tu n'es pas de mon niveau , Tu n'es qu'une étudiante, reste à ta place.
Je garde le silence, réalisant qu'il ne joue pas. Je suis piégée dans son jeu, et chaque mouvement que je fais peut avoir des conséquences.
Marwan s'écarte légèrement, puis il croise les bras.
– Maintenant, sors de cette chambre, dit-il d'un ton autoritaire. Tu dois t'habiller chic. On a des réunions d'affaires, et je ne vais pas t'emmener comme ça.
Je fronce les sourcils, surprise par ce changement abrupt ?. Après tout ce qui vient de se passer, je ne m'attendais pas à une telle demande.
– Et si je ne veux pas ? je lui réponds, défiant son autorité.
Il s'approche à nouveau, son regard devenait encore plus sombre.
– Tu n'as pas vraiment le choix.
En arrivant devant la porte de sa chambre, il l'ouvre avec un geste rapide
Il se dirige vers un dressing puis une pièce spacieuse remplie de tenues impeccables se présente a moi . Des costumes élégants pour hommes sont suspendus à côté de robes de soirée raffinées pour femmes. Chaque pièce semble soigneusement choisie, comme si elle appartenait à un monde que je ne connais pas.
– Choisis quelque chose de chic, dit-il d'un ton ferme. Je dois faire bonne impression.
Je regarde les vêtements, une tension dans mon estomac. C'est bizarre de me retrouver ici, entre ces murs, après ce qui vient de se passer. Mais je sais que je n'ai pas le choix. Je me dirige vers les robes les pantalons et les hauts , hésitant à toucher quoi que ce soit.
Marwan reste à l'entrée du dressing, observant chaque mouvement avec un regard qui semble douter de mes choix. Je choisis une robe rose à manches longues et d'une veste assortie. Ma robe est décorée de perles et de boutons, et je choisis des talons roses .
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Sous son emprise
RomanceAlors qu'elle se promenait dans les rues sombres de Bruxelles, une camionnette lui barra soudain la route. Des hommes masqués en sortirent. Elle se mit à courir, mais 10 minutes plus tard elle n'avait plus de souffle. Un homme l'attrapa par derrière...