Il est deux heures du matin, il fait très froid .Je marche seule, les larmes qui coulent encore sur mes joues. Les rues sont désertes j'ai l'impression d'être folle je suis la seul qui marche a cette heure ci la nuit en plus je suis une femme et je n'ai pas d'arme sur moi . Je tente de rentrer chez moi mais je me rend compte que je me suis perdu à Bruxelles c'est tellement grand . Les rues deviennent de plus en plus inconnues, et le peu de repères que j'avais disparaît dans l'obscurité.
Je sors mon téléphone pour vérifier ma localisation , mais je découvre avec horreur qu'il n'y a pas de réseau là où je me trouve. J'essaye par tout les moyens de consulter mon itinéraire avec les cartes ou en essayant d'appeler ma sœur mais sa échoue il me faut du réseau.
Une camionnette surgit soudainement devant moi. Un homme avec une cagoule en sort. Pris de panique, je cours pour essayer d'échapper à cet inconnu, mais j'entends plusieurs bruits de pas derrière moi, ceux de personnes courant aussi. Je n'ose même pas regarder derrière moi. Mon abaya me ralentit, alors je décide de la rentrer dans mon legging tout en continuant à courir pour être plus légère. Je n'ai pas le choix si je veux survivre.
Je sens la fatigue monter, mais je n'abandonne pas ; si j'ai réussi ma 3e année, je peux fuir des hommes armés. Il s'agit juste de discipline. Je cours tellement vite que je ne les vois plus derrière moi. Grâce à mon coup d'avance, je décide de prendre une pause dans une rue étroite éclairée seulement par une lumière à moitié cassée. Je décide de me réfugier derrière les poubelles quand un homme se met devant moi et me frappe à la tête avec une pelle.
Réveillée par des gouttes d'eau qui tombaient sur mon visage, j'ouvre les yeux avec difficulté. Autour de moi, tout est sombre et humide. Je regarde autour de moi et réalise que je suis enchaînée dans une cave, les chaînes m'empêche de bouger. L'endroit est sombre et je n'ai aucune idée de comment je suis arriver ici et qu'est se que c'est gens veulent .
Soudain, une voix grave et résonante me fait sursauter. Je lève les yeux avec difficulté et distingue une silhouette dans l'obscurité. L'homme se tient là, costard avec une cravate qui n'ai pas serrer et sa chemise déboutonné laissant apparaitre son corp musclée et sa posture parfaitement droite. Je tente de me calmer, mais l'angoisse me fait perdre mes moyens. Je pense a tout se que j'ai vécu dans ma vie et je me rappelle que se n'ai rien contrairement a se que j'ai vécu lors de la mort de mes parents .
L'homme se rapproche de moi accompagné de deux garde du corp .
"OU EST MON ARGENT SAL PUTE ??!!! "
-Mais de quelle argent vous parlez ? D'ou vous vous permettez de me parler comme sa sa ?
Derrière lui son garde du corp commence a rigoler sa ne lui plait pas , il lui tire donc dessus.
Je crie de peur et je me débats sur ma chaise essayant de m'échapper .
. Le cadavre tombe et se noie dans son propre sang .
-Voila a cause de toi va falloir que je trouve un autre garde du corp
-MAIS VOUS ETES QUI ?JVOUS AI FAIT QUOI ? JVOUS AI JAMAIS VUE ? POURQUOI JSUIS LA ? LIBERERRRR MOI !!!
Il lève son arme et me tire dans la jambe. Je crie de douleur et je pleure toute les larmes de mon corp comme si la demande en mariage n'avait pas suffit.
-T'as pas compris la leçon on dirait ? Tu veux que je tire dans l'autre jambe ?"
Je me tais, mais même si la douleur est insupportable, je lui dis alors...
-Si tu me laisse pourrir ici avec ma jambes je vais mourir et tu ne sauras jamais ou est ton putin d' argent (même si je ne sais pas ou sa se trouve)
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Sous son emprise
RomansaAlors qu'elle se promenait dans les rues sombres de Bruxelles, une camionnette lui barra soudain la route. Des hommes masqués en sortirent. Elle se mit à courir, mais 10 minutes plus tard elle n'avait plus de souffle. Un homme l'attrapa par derrière...