Chapitre 20

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Le temps des réconciliations ?


Cherry : Ah, désolé, tu ne te souviens pas de ce qui s'est passé au bal ?

Noah : Non, comment tu es arrivée jusqu'ici et comment tu m'as retrouvée ?

Cherry : Le médecin n'est pas venu ? C'est une longue histoire à raconter.

Noah : Si, quand tu dormais, il passait me voir, je lui dis de parler à voix basse pour ne pas perturber ton sommeil. Écoute-moi, Cherry, j'ai tout mon temps pour que tu me racontes cette longue histoire.

Cherry : Ah, et qu'est-ce qui l'a dit ?

Noah : Cherry, tu me mets en colère pour éviter le sujet. Réponds à ma

Question, putain, Noah.

Cherry : Désolée.

Noah : cesse de t'excuser et raconte, viens t'asseoir en face de moi.

Cherry : Bon, alors on va commencer par le début : après t'avoir insulté de monstre en tout genre, ma mère et moi, on est rentrée à la maison, mais mon cerveau n'a pas réalisé que Jonah était mort, alors d'un seul coup, j'ai sorti dans le plus grand du calme : il est où Jonah ? Ma mère me la redit à plusieurs reprises, même en criant : « Je suis vraiment désolé de t'avoir traité de tous les noms, j'espère que tu pourras me pardonner. »

Noah : Par pitié, on parlera de ça plus tard. Continue

Cherry : Du calme. J'y viens deux mois plus tard. Se sont écoulés de notre dispute. J'ai commencé à faire le tri dans les affaires de Jonah. J'ouvre son dressing, j'ai voulu attraper son pull de Noël que j'aime bien, sauf qu'à la place du pull, j'ai attrapé une grosse pile de lettres attachées avec un élastique noir. Ces lettres avaient des dates. Sa remonte à quand il avait 12 ans, quand vous étiez au collège. Jusqu'à maintenant, j'ai couru vers ma mère pour lui montrer ses lettres. Je savais qu'elle contenait certaines vérités dont je n'étais pas prête à lire, puis ce n'est pas tout, tu savais que mon frère buvait tous les jours depuis un bon moment.

Noah : Je te le répète : tu ne connais rien de ton frère, ni son passé, ni quand il était encore présent ; son futur était déjà condamné par ce qu'on faisait. Tu ne me connaîtras jamais aussi bien que moi, je te connais, oui, j'étais au courant qu'il buvait comme un trou, je l'ai déjà dissuadé d'arrêter de continuer à boire, plus têtu, tu meurs, désolé pour la vanne, c'est peut-être un peu trop tôt, n'est-ce pas ?

Cherry : Oui, c'est trop tôt pour cette blague, il faut que tu lises cette lettre : il parle de Julia et de toi, bref, il y a des vérités qui sont dures à encaisser.

Noah : Comment tu m'as retrouvé et tu arrives jusqu'ici ? Tu voulais me dire quelque chose ?

Cherry : Je continue. après que ma mère me force à lire une seule lettre, j'ai découvert à quel point de, tu avais raison et pour te retrouver c'était assez simple, j'ai beaucoup de connaissance en informations, je me suis toujours intéressé aux investigations bref pour arriver jusqu'ici, j'ai demandé de l'aider à la meilleure femme de l'univers, c'était à dire Gia, j'ai sauté avec ma mère le premier avion pour le Danemark après pour trouver du pois chiche comme je le dis souvent mon intuition fait bien les choses sur tout

Noah : Oh ma chère Gia Elle me fait vraiment chier à raconter à peu près tout ce que je lui dis. Tu lui diras que j'ai des photos compromettantes des deux. Tu es venu juste pour me dire que tu es désolé.

Cherry (Gênée) : oui

Le mouvement de nos conversations était sur le point de dériver quand Anita toque à la porte : elle me sourit comme si elle avait vu la lumière, comme dans Ghost Whisperer avec Melinda Gordon, enfin bref.

La femme  de mes rêves (EN réécritures)Où les histoires vivent. Découvrez maintenant