La femme de mes rêves (EN réécritures)

Chapitre 17

Les révélations

Enfin, nous avons tous chanté ensemble la chanson préférée de Camélia, Cruel Summer de Taylor Swift. Une autre chanson passe, c'est ma musique préférée.

Noah : gimme gimme (more)

Je me sens apaisée. Ça ne m'était pas arrivé depuis longtemps. Enfin, nous sommes arrivées à l'aéroport. Mathilde a pris la main de Camélia pour aller plus vite. Nous sommes arrivées à notre guichet personnel. La dame nous fait une révérence à chacune. Nous déposons chacun à notre tour nos valises respectives. La guichetière me refait une autre révérence. Je lui tape sur l'épaule.

Noah : Madame Clark, avec moi, vous n'êtes pas obligée de faire ça ; avec moi, vous allez vous faire mal au dos. Je me sens apaisée. Ça ne m'était pas arrivé depuis longtemps. On est enfin arrivé à l'aéroport. Mathilde a pris la main de Camélia pour aller plus vite. On est arrivé à notre guichet personnel. La dame nous fait une révérence à chacune. On dépose chacun à notre tour nos valises respectives. La guichetière me refait une autre révérence, je lui tape sur l'épaule.

Je lui adresse mon plus grand sourire radieux, je me retourne vers Madame Anita.

Noah : Tu me donnes tes valises que tu vas mettre dans la soute ?

Elle me remet l'objet et je le place sur le tapis Carrousel. Tout s'est bien passé, nous devions tous attendre Lars et Bodin pour embarquer dans l'avion. On était installé sur des canapés près de Krispy Kreme, je pense encore plus à Cherry, et cette femme ne cesse de me parler parce que je m'éloigne d'elle. Mon cœur et mon cerveau sont en train de bouillir. Sûr Place. Je me demande constamment si cette femme est réelle. Je vais essayer de me comporter correctement, de ne plus penser à elle ni à Cherry. De toute manière, l'amour et moi, c'est compliqué, je ne suis pas doué pour ça. Quand quelqu'un me sort de mes pensées, je vois Lars, je me lève du canapé. Tous les autres me regardent avec un air de compassion. On marchait jusqu'à l'avion. Dix minutes plus tard, on était dans l'avion. Je m'approche de Madame Anita, je lui tape l'épaule.

Noah : Tu as déjà pris l'avion, Madame Anita ?

Madame Anita : Oui, plusieurs fois pour aller au Mexique voir l'autre membre de ma famille, mais surtout mon abuelita qui est toujours là pour moi et toi ?

Noah : Oui, bien sûr, mais je ne me rappelle pas. Est-ce normal que je commence à m'étouffer ? Je ne me sens pas très bien, j'ai du mal à respirer.

Eiji se met à genoux devant le siège auquel je suis assis.

Eiji parla d'une voix douce et rassurante : « Tout va bien se passer. » Quand tu étais petit, tu avais du mal à prendre l'avion, mais une fois en vol, tout redevenait normal et tu n'avais plus peur. Prends une grande inspiration, puis expirez lentement. Ferme les yeux, ça va t'aider à te sentir mieux. »

Noah : Merci Eiji, ça m'a apaisée, ça va beaucoup mieux maintenant.

Tout le monde s'assoit à notre place respective, d'un seul coup, je reçois une notification qui vient de Catherine, je lève un sourcil, puis je prends la meilleure décision de ma vie : je décide de ne pas répondre et d'éteindre mon portable, je répondrai sans doute plus tard. Une fois l'avion décollé, je me sens mieux. Je rallume mon portable, par la suite, je regarde la capture d'écran indiquant qu'il reste 10 h 16 min de vol. Finalement, 11 heures plus tard, nous avons pu poser nos valises. Eiji a montré la chambre d'amis à Madame Anita, ensuite Elijah m'a montré ma chambre. En ouvrant la bouche de stupeur devant la grandeur et l'immensité de ma chambre, j'ai vu une énorme bibliothèque digne de La Belle et la Bête.