chapitre 25

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La fleur de Lotus reviendra.

Les quelques minutes deviennent des heures en attendant les filles : Je les vois arriver avec un groupe assez nombreux avec des pelles avec de nombreux outils, : ils arrivent en mode Avengers.

Noah : Comment ça se fait que vous soyez aussi nombreux ?
Gia : Une longue histoire à te raconter, mais avant, on sort ta petite sœur là.
Cherry : Enfin bref, on s’y, mais

Pendant une trentaine de minutes, petit à petit, on détruit ce puits ; moi, je le détruis avec mes larmes. Elle ne cesse de se déverser sur mon visage d’un seul coup par manque de force et d’épuisement. Mes jambes s'inclinent toutes seules. Gia me tape l’épaule, je retourne ma tête vers elle. Elle me chuchote proche de mon oreille.

Gia : tu devrais te reposer, je sais que c’est dur, mais tu n’as pas besoin de voir tout le processus pour la faire sortir Noah.   
Noah énervé et triste : mais, putains gia, tu ne comprends pas le seul qui m'ait toujours considéré comme quelqu’un de bien ou même, elle me demande de conseils, j'ai l’impression que je suis le seul à la protéger, je suis une sombre merde on me la toujours dite alors, j'ai fini par y croire se reposer veut dire que je suis faible en tant que grand frère, c'est la seule chose qui me fasse vivre à chaque fois quelqu’un m'a regardé, c'était avec de la pitié depuis la mort de mon père, je n’ai plus gout à rien, je me sens si vide à l’intérieur de moi, je me sens extrêmement vulnérable, je n'aime pas ça alors, je reste du début jusqu'à la fin
Gia d’une voix douce, rassurante : « Je comprends, mais calme-toi, ne m'oublie pas, Noah. » Je suis dans ta vie et je serai dans ta vie pour toujours jusqu'à la mort. Tu es quelqu'un d’exceptionnel, n’oublie pas que tu m’as sauvé la vie.
Noah d’une voix triste : « Je sauve tout le monde, mais qui va me sauver de moi-même et du monde extérieur ? » Toutes les tentatives de suicide que j'ai remplacées par des sourires.

Cherry se retourne avec des larmes s'échappant de ses joues.
Les autres personnes me regardent avec pitié et de la compassion. Ça fait maintenant 3 h qu'on détruit. Ce foutu puits

Gia : on devrait faire une pause, se chercher à boire.

Tout le monde part dans le sens de la ville. J'ai pris une grande initiative. Je prends la décision de creuser partout jusqu'à ce que je parvienne à quelque chose. Je pense que je creuse depuis un certain temps à présent, et je vois une sorte de boîte en bois. Cependant, je ne suis pas à l'aise lorsque je frappe avec ma hache. Il y a certainement des cadenas, mais un homme aime autant les cadenas que Jonah. J'atteins un autre morceau de cette boîte, je tape si fort que j'ai réussi à enlever un petit morceau, j'aperçois Julia apeurée.

Noah, d'une voix calme et rassurante : « Je vais te sortir de là, ma petite Cinnamon ».
Julia Surprise et tremblante : C'est… C’est-toi, Noah ?
Noah : Oui, c'est moi.
Julia, méfiante : Dis-moi quelque chose que seul Noah sait.
Noah rit : « Tu avais six ans quand ça s'est produit, tu t'es fait pipi dessus, mais moi, pour te protéger, j'ai accusé le chien et aussi ton plat préféré, c’est la pizza l'ananas. »
Julia : Oui, pas de doute, c’est toi. Comment tu as su ? J’ai cru que tu me croyais morte ? J’allais abandonner, me laisser mourir. De plus, Jonah n'a pas été présent pendant plusieurs mois.
Noah : Je te fais sortir de là. Ensuite, tu pourras me poser toutes les questions que tu souhaites, et tu auras toujours le droit à un chocolat chaud avec une énorme quantité de chantilly.
Julia : Est-ce que tu promets ?
Noah : Oui, mais avant, est-ce que tu peux prendre le recul le plus possible, afin de ne pas te blesser ?
Julia : D'accord, mais veille à ne pas te blesser.
Noah : promis.

J'émets des dizaines de coups de hache, mais rien ne se passe comme prévu, ce qui explique ma grande frustration. De toutes mes voix, je commence à crier, des centaines de larmes s'écoulent pour exprimer ma frustration et ma peine quant à la nécessité de quelqu'un dans ma vie. Je respire et, dans un mouvement de fureur, un immense morceau de cette boîte en bois s'effondre sur le sol. Julia sort de cette hutte et je l'aide à se relever de cette immense cavité. Nous nous regardons tous les deux, puis je la prends instinctivement dans mes bras.

La femme  de mes rêves (EN réécritures)Où les histoires vivent. Découvrez maintenant