La femme de mes rêves (EN réécritures)

Chapitre 27

Les Sables mouvants de l'émotion

Julia, sous le coup de l'émotion : « Mais cela fait de moi une princesse. » Dis, ça peut paraître superficiel, que je vais te dire, mais est-ce que j'ai le droit de porter de magnifiques robes ? Est-ce qu'ils sont gentils et où ils habitent ? Quand j'étais petite, Papa et Maman cherchaient une façon de nous l'annoncer, mais je ne savais absolument pas que nous étions riches. En réalité, l'argent n'est pas ce qui compte, tant qu'il me traite agréablement bien, c'est le plus important.

Noah inquiet : je n'ai pas encore exprimé toute la vérité à Cherry, par peur que Cherry souffre de certaines vérités. Ne lui en parle pas, c'est tout ce que je te demande.

Julia sourit, exprimant son euphorie : Promis, croix de doigt, croix de fer, sinon je mangerais un cookie salé.

On court vers l'un l'autre tout en rigolant de bon cœur. Je la regarde libérer de ce fardeau que Jonah lui a infligé, j'ai l'impression de renaitre ma vie remplie d'imperfections, c'est tant ce qui me fait me sentir vivant pour une fois : je suis entourée de bonnes personnes, alors c'est bon de savoir aimer à sa juste valeur, putain de merde. Je suis addict à ça, ainsi qu'à une pensée pour cette femme qui m'accompagne toujours dans la vie. Sinon, je pense que je serai tellement plus de ce monde. Elle m'accompagne à chaque décision de ma vie.

Noah : Ils sont vraiment très gentils, normalement, notre résidence principale est à Copenhague, mais aussi, il faut qu'on rentre, sinon papa va me crier dessus, niveau inquiétude, il est meilleur que moi.

Julia est redevenue calme : j'irais n'importe où avec toi, mais accorde-moi une faveur, s'il te plait ?

Noah compréhensif : dis-moi ta faveur.

Julia : J'aimerais au moins revoir Maman. Olivia, s'il te plait, accorde-moi ça ?

Noah souffle : « Tu veux y aller maintenant ». Ça ne me dérange en aucun cas.

Julia : maintenant

Noah : Je leur envoie simplement un message pour leur expliquer où nous allons et où nous allons.

Elle hoche la tête et, après avoir envoyé des messages, j'ouvre la porte, puis je laisse passer ma petite sœur, après, je ferme la porte. Il s'ensuit d'une longue marche de 30 minutes pour retrouver la ville. 10 min plus tard, on est devant la porte d'Olivia. Je toque plusieurs fois avant que quelqu'un m'ouvre, je ne m'attendais pas à voir Olivier, il me fixe pendant plusieurs minutes et nous laisse enfin entrer. Il nous offre à boire quand Olivia descend les escaliers, elle m'observe, puis elle voit Julia, elle court la prendre dans ses bras, je roule des yeux. Je me lève. Instinctivement, Olivia s'approche de moi, les grands bras ouverts, je me décale assez pour qu'elle ne puisse pas me toucher.

Noah : Julia, prend tout ton temps, je vais faire un tour ou alors, tu dis à Olivier de m'envoyer un message quand c'est bon.

Olivia, honteuse et gênée : écoute. Noah, je ne voulais pas te dire, c'est chose horrible, mais comprends-moi, j'ai cru que tu avais tué Jonah dans la bouche de Cherry, tout sonne vrai.

Noah : le monstre, il t'emmerde profondément une réelle mère, elle croit son fils d'abord, elle demande ce qui s'est passé au moins maintenant, j'ai ma réelle famille qui m'aime qui me soutient à toute épreuve bref le Principe d'une famille quoi avant, je te balance des insultes je préfère avoir un air qui respirable, tu ne mérites en aucun cas l'amour de l'olivier, il t'aime, il donnerait tout pour toi ça se voit dans ses yeux noirs qui reflètent ta nullité en tant que mère.

Olivia : Écoute. Noah, c'est la faute de Cherry.

Noah explose de colère : « Ah non, en aucun cas, tu ne la mènes pas à ça, elle ne t'a rien fait, tu t'approches d'elle, je serai capable de te tuer de mes propres mains. »