Chapitre 50

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Précédemment :

Elle serait la victime, et les mains de ceux qui l'avaient trahie seraient teintées de son sang, aussi métaphoriquement que littéralement.

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AVERTISSEMENT : SCÈNE EXPLICITE ET CHOQUANTE

Le passage qui suit contient des descriptions de violences extrêmes, y compris une scène de choc.

Ce contenu peut être particulièrement éprouvant et déclencher des réactions émotionnelles fortes.

Si vous êtes sensible à ces thématiques, il est conseillé de ne pas lire ce chapitre.

Prenez soin de vous et n'hésitez pas à demander du soutien si nécessaire.

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🎀 Bonne lecture mes starlettes 🎀
🌷N'hésitez pas à commenter et donner votre avis🌷

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Le matin...

🧞‍♀️Point de vue Ilyana🧞‍♀️

Le soleil filtrait à peine à travers les rideaux de ma chambre lorsque je me réveillai avec un drôle de sentiment.

Mon cœur battait plus vite que d'habitude, et une angoisse sourde pesait sur ma poitrine, comme si quelque chose de mauvais était sur le point d'arriver.

Je me levai en silence, tâchant de ne pas réveiller Sanna, qui dormait encore profondément dans la pièce voisine.

Chaque geste me semblait étrange, presque mécanique.

En enfilant mon voile devant le miroir, je m'attardai sur mon reflet, cherchant une réponse dans mes propres yeux.

Pourquoi ce pressentiment ?

Moi –chuchote– : Ya الله, protège-moi aujourd'hui.

Murmurais-je, espérant calmer cette sensation oppressante.

Dans la cuisine, Amel préparait un café, sa bonne humeur habituelle détonnant avec mon humeur maussade.

Amel :  T'as une tête bizarre ce matin.

Me lança-t-elle en me tendant un verre de jus.

Moi : Je sais pas, j'ai un mauvais pressentiment. Ça n'a pas de sens, mais je le ressens, répondis-je en haussant les épaules.

Elle haussa un sourcil, amusée.

Amel : Toi et tes intuitions... T'inquiète pas, tout ira bien.

J'aurais voulu la croire, mais cette lourdeur dans ma poitrine refusait de s'atténuer.

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À l'école...

Une matinée ordinaire qui ne l'est pas vraiment

Quelques heures plus tard, je me trouvais en cours de mathématiques, essayant de me concentrer sur les explications du professeur.

Mais, assise près de la fenêtre, je ne pouvais m'empêcher de jeter des regards furtifs dehors, comme si une menace invisible m'attendait à chaque coin de rue.

Anis, assis à ma droite, me donna un coup de coude.

Lui : Eh, t'es dans la lune ou quoi ?

Je tournai vers lui un regard fatigué.

𝐈𝐥𝐲𝐚𝐧𝐚 : « L'énigme du coeur »Où les histoires vivent. Découvrez maintenant