Ils se dirigent vers le parking, je les suit de près, je sens pas mal de regards sur moi, en même temps on dirait vraiment une femme d'affaire. Habillée classe ; lunettes de soleil, sac et chaussure de marque.
Voilà quoi, ils ont pas trop l'habitude de ça vu le nombre de filles qui se dénudent de nos jours, et indirectement je vise lindsey et autres.
Ils s'arrêtent devant une maserati bleue foncé, la classe quoi.
Ils mettent mes valises dans le coffre et je monte à l'arrière. Comme tout à l'heure, malik conduit et nassim monte côté passager.
Et voilà direction Marseille !
Le trajet en voiture se passe en silence, à un moment ils s'arrêtent dans une station essence et me demandent si je veux quelque chose. Je vais pas chipoter, j'ai faim donc je leur demande des chips, de l'eau et si y'a, par hasard, des fruits, je veux bien une ou deux pomme.
Ils sont revenus avec tous ce que je leur avait demandé, on a repris la route et pendant ce temps j'ai tout mangé.
" Moi : euh... on arrive dans combien de temps ?
Malik : on a déjà fait un bon bout de chemin, dans 5h à peu près
Moi : ok"
Je regardais le "paysage", la route quoi et je me suis endormie.
Je me fais réveillée par les rayons du soleil qui illuminaient la grande chambre dans laquelle j'étais.
J'avais des courbatures à la nuque et au dos, pour cause, les vêtements dans lesquels je m'étais endormie. Je portais ma robe tailleur assez serré et pas très confortable pour dormir.
Je me relève un peu et m'adosse contre le mur. J'étais dans un grand lit deux places, j'aimais bien la chambre ; elle avait des teintes marrons allant du beige pour les murs, au marron foncé pour les parrures du lit par exemple.
Y'a un écran accroché au mur en face de mon lit, et j'aperçois mes deux valises à coté de la porte. Je me lève enfin et visite un peu la chambre, j'avais remarqué la porte menant à la salle de bain et j'ai aussi vu le dressing.
J'allonge mes valises sur le lit et range ensuite mes vêtements dans le dressing et j'en profite pour mettre de côté des sous vêtements et une tenue. Je sais pas trop comment m'habiller, je vais m'habiller décontractée... j'opte pour un short taille haute et un débardeur blanc.
Je vais dans la salle de bain, prend une douche et m'habille. Je rentre mon débardeur dans mon short et je sort de la chambre.
Je me retrouve dans un assez long couloir, large et blanc. J'emprunte les escaliers et je descend, je me tiens en face d'une porte assez imposante, sûrement la porte d'entrée, je tourne à droite et j'atterris dans un salon, y'a aussi une ouverture de l'autre côté de l'escalier et j'ai remarqué qu'elle menait elle aussi dans le salon. Une cuisine américaine donne sur ce salon, c'est très lumineux ; le salon est assez spacieux et blanc comme la cuisine.
J'aperçois une baie vitrée dans l'enfoncement de la cuisine, à gauche. Et une autre dans le salon mais cette fois ci, à droite de la cuisine.
Je m'assoie sur une chaise haute, au bar de la cuisine. Je sais pas trop quoi faire, à cette heure ci mon père doit sûrement travailler mais j'ai quand même envie de l'appeler.
Je monte en haut dans ma chambre et je cherche mon téléphone. Je le cherchait partout mais je le trouvait pas, je repense au sac que j'avais apporté, d'ailleurs il était pas dans ma chambre, ils ont dû l'oublier dans la voiture.
J'ouvre ce qui me semble être la porte d'entrée et c'est bien vu car devant moi se trouve un grand "terrain".
Il y a une allée très large en pierre qui conduit à une porte de garage et à l'autre bout y'a un portail très imposant. Le reste c'est de l'herbe, c'est très joli. Je marche sur l'allée ou trois voitures sont garées en file. La première c'est une BMW noire, vitres teintées comme les deux autres voitures sur l'allée. La deuxième voiture c'est un range rover et la dernière voiture c'est la maserati bleue foncée dans laquelle je suis venue jusqu'ici.
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La Dubaïote
Ficción GeneralMia cheretti, une future femme d'affaire entrainée par le meilleur des hommes d'affaires : son père. Son père l'envoit en France pour sa soi-disant sécurité mais elle ne pas n'importe où, ou plutôt chez n'importe qui. Ce qu'elle ne sait pas, c'est q...