La Libellule (terminé)

Partie 2: L'annonce

Je me réveille toute secouée d'avoir rêvée de mon enfance désolé.  À l'abandon de mes parents.  Je ne sais pas pourquoi j'ai rêvé de ça cela fais tellement longtemps que je veux les retrouver que ça m'obsède.  

J'essaie de me levée mais un bras me barre la route.  Merde, c'est qui celui là?  Je devais être plus bourrée que je ne pensais.  Je ne vois qu'une tête blonde, un dos musclé et des fesses....   WOW!!! quel cul!!!  Et je comprend pourquoi je l'ai ramener à la maison.   En regardant de plus près, je crois bien que c'est l'inconnu qui m'a ramené chez lui car je ne reconnais pas ma chambre...Euh!! sa chambre.

Je me glisse hors du drap et je ramasse la première affaire qui me passe sous la main c'est-à-dire la chemise de Monsieur beau cul.  Je cherche ma robe car je veux partir au plus vite et je me rend compte qu'elle est introuvable.  Je regarde au plafond et je retrouve mon soutif accroché au ventilateur.  Celui-là, je peux me permettre de ne pas le porter.  Je sais je n'ai pas des attributs très volumineux mais quand je dois courir, au moins,  je ne m'assomme pas avec.  

Je sors en douce de la chambre et je constate que Monsieur Playboy est sacrément riche pour ce permettre un appart comme celui-ci.  30 ième étages, vue sur la mer, les fenêtres font le tour de l'appartement et en faisant le tour moi même de l'appartement je constate qu'il fait tout l'étage.  Hum! je devrais peut-être restée à déjeuner en fin de compte.

Je retrouve enfin ma robe...dans la piano.  Ok! Mais qu'est-ce que j'ai bien pu boire et faire après pour retrouver ma robe là.  Bon je ne me pose pas trop de questions car j'aurais, peut-être, peur des réponses.  J'enfile ma robe au plus vite et je cherche ma petite culotte.  Le soutif ok mais la petite culotte je ne peux pas m'en passer.  Je cherche partout dans la salle de bain, dans la cuisine...je me rappelle vaguement quelque chose dans la cuisine... bon passons, dans le jacuzzi, et...rien.   Je me penche en dessous du piano en espérant trouver l'objet de mes désirs et au même moment, je rencontre des jambes musclés et super bronzées.  Je remonte les yeux et je constate que Monsieur Playboy n'a pas juste un beau derrière.  En avant c'est tout aussi excitant et ça me dit bonjour en plus.

- Bien dormi beauté?  

- Ouais bien j'ai du être assommée car je ne me souviens pas  beaucoup...  Mais qu'est-ce que tu fais avec ma petite culotte?

-Je crois que tu en n'avais plus besoin cette nuit alors je l'ai mis.  Ça me va bien le rouge non?

- Non! redonne-moi ma petite culotte je dois y aller.

Mais quel con!!! Il faut que je me trouve une défaite car plus ça va, plus je flippe là.  Je n'ai jamais été saoule au point de me taper un mec aussi naze.  

- Tu ne veux pas profiter encore de mon gros ours?  Il aime bien ta caverne...

- Tout compte fait, tu peux la garder.  Je vais y aller car j'ai rendez-vous ce matin.  Excuse-moi.

- T'inquiète poupée, je voulais te niaiser un peu.  Je viens de la trouver dans le frigo en allant prendre un jus d'orange.  Je me demande bien qu'est-ce qu'elle faisait là?

Merde, dans le frigo?   La cuisine...  Y'a t'il une pièce ou nous ne sommes pas allés?

- Écoute Anna,  j'ai adoré ma soirée d'hier mais je dois te dire quelque chose.  Je...

- T'en fais pas, je suis pas la nunuche qui va te courir après tout le temps et qui va se morfondre à t'attendre.  Ça été super hier (même si je n'en ai aucun souvenir, ou presque) mais j'ai ma vie à faire   et toi aussi alors on se laisse en bon terme ok?

- Ok si c'est ça que tu veux mai je voulais te dire...

- Ne t'inquiète pas, je ne tomberai pas enceinte car je prends la pilule et je crois que tu as mis une capote?