Chapitre 9

117 11 0
                                    

Les policier était parti mais mon demander de venir les voir le samedi au commissariat pour qu'il puisse m'interrogée un peut plus sur ce qu'il s'était passer et si je n'avais pas vu autre chose ou quelqu'un. La semaine ce finissait nous étions samedi après-midi j'allais donc au commissariat comme les policier me l'on demander.

« Moi : Bonjour je vient me présentée comme les policier qui sont venue au collège me l'on demander.

Policière : C'est toi Marie Talbot ?

Moi : oui

Policière : D'accord je vais prévenir mon collègue que tu es là.

''Elle parti voir son collègue et revenue pour me conduire dans sont bureau.''

Policier : Bonjour Marie comment va tu depuis jeudi ?

Moi : Bien merci.

Policier : Alors raconte moi un peut comment tu as remarquer que ta camarade était la déjà au sol ?

Moi : J'étaie en cours et je ne pouvais plus me retenir pour allée au toilette donc j'ai demander si je pouvais y aller la prof a donc accepter. Quand je suis rentrer je n'ai pas fait attention a ce qu'il y avait autour de moi je suis rentrer directement dans une toilette. Une foi que j'ai eu fini mes affaire je suis sorti pour me lavée les mains et en relevant la tête j'ai vu écrit sur le miroir ''plus que 3...'' et a ce moment la j'ai commencer a reculée et quand les tourner la tête a ma droite c'est vu Ninon était au sol. Ça tête était accrocher par je ne sais quoi et son corps sortais a peine des toilettes et ensuite je me suis évanouis.

Policier : D'accord et j'aurais une autre question qui concerne une de tes ancienne camarade est ce que tu connaissait bien Clara ?

Moi : Euh non pas plus que ça je la connaissait juste de vu et de nom vu qu'on était très peut de fille dans le collège je ne lui est jamais parler pourquoi ?

Policier : Parce qu'à l'hôpital au moment ou elle c'est réveillée elle a dit ton nom et c'est rendormis derrière tu serai pourquoi elle la dit ?

Moi : Non je devais être pas loin d'elle quand elle c'est fait pousser ou j'ai peut être du lui demandée si ça allait pour la lettre qu'elle avait reçus je ne comprend pas pourquoi elle a dit mon nom.

Policier : D'accord je vais me prendre un café tu veut quelque chose un chocolat chaud ?

Moi : Oui je veut bien s'il vous plais.

''Il allas chercher sont café et mon chocolat chaud et revenus avec.''

Moi : Merci beaucoup.

Policier : Et toi psychologiquement comment va tu ? Tu n'as pas d'idée de suicide ou d'autre envie ?

Moi : Ça peut aller j'ai quand même toujours cette peur que fou furieux s'en prenne a moi ou que ce sois a mon tour on ne sais jamais qui il viseras chaque foi. Et non je n'ai pas d'idée sombre c'est vrai que ce n'est pas facile mais on essaie de faire avec et de vivre pour celle qui ne le peuvent plus malheureusement.

Policier : D'accord ta maman doit être arriver pour venir te chercher merci d'avoir répondu a mes questions bon courage pour la suite au revoir.

Moi : Merci beaucoup et de rien c'est normal au revoir. »

je retournais dans la voiture avec ma mère qui avait décidée de faire les magasin cette après-midi pour que je relâche la pression et que l'on passe du temps ensemble. Une foi notre journée shopping fini nous sommes rentrer chez nous, enfin rentrer dans la maison 30 minute plus tard quelqu'un sonnais a la porte d'entrer je suis donc aller ouvrir pour connaître l'identité de la personne.

Quand j'ouvris la porte je vis un homme que je ne connaissait pas je ne savait pas qui il était :

« Moi : Bonjour je vais chercher ma maman.

L'homme : Non c'est toi que je venais voir.

Moi : Quoi ? Mais vous êtes qui ? MAMAN IL Y A QUELQU'UN A LA PORTE UN MONSIEUR QUE JE NE CONNAIT PAS ET QUI VEUT ME VOIR.

L'homme : Je suis ton père Marie.

Moi: Qu'est ce que tu me veut ?

L'homme : Juste te rencontré car je n'ai pas eu de réponse a ma lettre.

Moi : Bah je sais pas ce qui est logique pour moi ne les pas pour toi a parement je sais pas on donne pas suite a ta lettre tu réfléchie pas un peu. Et tu crois que je vais vouloir te répondre après t'être barrer comme si de rien n'étais alors que tu laissai ta femme et ta fille de 5 ans sen te retourner sen donner de nouvelle et du jour au lendemain tu ose me demandée des nouvelle 8 ans après ? Tu tes pas rappeler avant que tu avait une fille ?

L'homme : Je sais mais je voulait me faire pardonner j'ai souvent penser a toi mais je n'est jamais eu le courage de te parler avant car je ne savait pas comment tu pourrais réagir.

Moi : Tu aurais peu prendre le risque au moins maintenant c'est trop tard dégage. »

Je lui referma la porte au nez, ma mère arrivais quelque seconde plus tard :

« Maman : S'était qui ?

Moi : Le connard qui nous a abandonner lâchement.

Maman : Qu'est ce qu'il te voulait ?

Moi : Ce faire pardonné mais je veut pas et je ne lui pardonnerais jamais.

Maman : C'est toi qui vois je ne t'en voudrait pas si tu voulait lui parler c'est ton père c'est a toi de décidé pas a moi je ne t'empêcherais jamais de le voir si tu décide un jour de lui pardonné et je ne t'en voudrais pas.

Moi : Oui mais je ne pourrais jamais lui pardonné. »

Après cette péripétie ma mère commanda des pizzas on en pris une chacune pour ce les partagées, les semaine passais avec David ça allait de moins en moins bien je ne savais pas ce qu'il ce passais pourquoi nous nous éloignons autant l'un de l'autre. J'en parlait a Vincent qui était toujours la pour moi quand je voulait me confier, il me dit qu'il en parlerais a David j'avais peur de le perdre. Vincent lui avais demander et m'avais transmit le message il trouvais que je me rapprochais beaucoup trop de Kevin et que je passais beaucoup de temps avec lui. J'alla expliquer tout de suite a David pourquoi parce que Agnès croyait simplement que Kevin sortait avec une autre fille je m'excusa de ne pas lui avoir dit plus tôt.

Le mois de février une nouvelle fille avait reçus une lettre du fou furieux qui voulait notre peau, nous ne comprenions pas ce qu'il nous voulait un vent de panique commençais a gagner tous le monde comment faire pour le trouver et savoir qui était cette personne.


Le collège des enfersOù les histoires vivent. Découvrez maintenant