Le collège des enfers

Chapitre 8

Je retournais au collège David et c'est amis m'attendait déjà, je vis Vincent qui était toujours en train de réponde a des texto sur son portable je décidas de le taquiner un peut :

« Moi : Alors Vincent tu a réussie a avoir le numéro de ma cousine ?

''Il ce mis a rougir et cacha son portable dans son dos.''

Vincent : Euh non je vois pas de quoi tu parle.

David : Ouais menteur. ''Il pris le téléphone de Vincent'' Elle s'appelle bien Agnès ta cousine et en plus il y a des petits cœur c'est mignon.

Vincent : Redonne moi mon portable tout de suite ou je t'éclate la tronche grouille toi vas-y. »

Vincent courue après David, au bout de 10 minutes il l'avait enfin rattraper et repris son portable pour s'empresser de répondre a Agnès nous nous sommes tous mis a rigoler en cœur. Quand je vis Kevin arriver vers nous le regard vide je lui demanda tout de suite ce qu'il lui arrivait, il ne voulu pas nous répondre ne voulant pas le forcés plus nous lui avons dit que s'il voulait nous parler a tout moment il pouvait. La sonnerie retenti et nous sommes donc allez en cours, les heure passais et le midi était arriver nous allions au self manger avec tout le monde Kevin était toujours soucieux je commençais à m'inquiéter. Une foi que l'on avait fini de manger nous sommes retourner dans la cours, quand Kevin décida de nous dire ce qui le tourmentait :

« Kevin : Je sais pas comment le dire j'ai peur que vous me laissiez tomber et que je vous dégoûte ou que vous me rejetiez.

Nous : Mais non t'en fait pas Kevin on sera la pour toi quoi que tu nous dise.

Kevin : Bah en faite euh.... je ... si vous ne voulez plus que je reste dans le groupe je comprendrais si je vous dégoûtes.

Nous : Vas-y Kevin quoi que tu dise on sera avec toi et on ne te laissera pas tomber.

Kevin : Je suis gay.

''Nous le regardions avec un air surpris.''

Kevin : je m'en vais j'ai compris.

Nous : mais non reste c'est qu'on s'attendait pas a que tu nous annonce ça.

David : Mais t'en fait pas mon pote tes toujours le même tu n'a pas changer pour autant.

Vincent : bah oui tes toujours notre Kevin ça changeras pas et ça ne changeras jamais.

Moi : Bah oui on te laissera surtout pas tomber mais je peut te poser une question ?

Kevin : Oui vas-y il y a pas de soucie.

Moi : Tu t'en est aperçus comment ?

Kevin : Bah en fait il y a deux trois jours j'ai rencontrer un garçons et il ma avouer qu'il était gay lui aussi et depuis je me posait des questions sur moi aussi, et j'ai arrêter de me les poser quand il ma embrasser ce matin.

Moi : mais c'est trop bien félicitation. »

Kevin ce mis de nouveau à sourire et était libérer de nous l'avoir dit, une foi qu'il nous est montrer quelque photo de son petit copain la sonnerie retentit pour nous annoncer le début des cours qui recommençais.

Le mois de janvier était fini deux semaine après le début du mois une nouvelle lettre avait été reçus, le directeur nous firent venir dans la cours comme les autres foi. Il nous fis le discoure habituel une foi sont discoure fini nous sommes tous rentrer en classe, le cours ce passait quand j'eus l'envie d'aller au toilette je demandas au prof car je ne pouvais plus me retenir. Le prof acceptas quand il vit que je me tortillais sur ma chaise, j'y courue le plus rapidement possible une foi au toilette je rentras dans la première toilette. En ressortent des toilettes j'étais tellement bien que je ne vit pas tout de suite ce qui était écrit sur les miroir, ''Plus que 3...'' je me tournait partout quand je vis la tête d'une fille découper et son corps qui dépassais des toilettes je me suis évanouis.

Je me réveillais une heure plus tard à l'infirmerie, David était à coter de moi et l'infirmière :

« Infimière : Ça va ? Ce salop ne ta pas toucher ?

Moi : Non quand je suis arriver elle était déjà... et il ni avait personne d'autre.

David : S'il t'avait toucher ou fait quelque chose je n'aurai pas supporter j'aurai tout fait pour le retrouver.

Infirmière : Il ne faut pas que vous vous fassiez justice vous même il pourrais vous arriver quelque chose.

Moi : Oui c'est vrai David ça n'aurais pas servis a quelque chose, surtout qu'il pourrait t'arriver quelque. »

Nous avons continuer a discuter, les policier son arriver dans l'infirmerie pour savoir ce qu'il s'était passer pourquoi on m'avait retrouver au sol je leur expliquas alors que je m'était juste évanouis.