Chapitre 19

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Deuxheures était passer depuis que Cécilia avait été enlever, alorsque tout le monde avait été regrouper dans le milieu de la cours leportable de tout le monde ce mis a sonner. Tout les portable étaitsortie, tout le monde avait reçus la même chose, une photo deCécilia les pieds et mains liée et un morceau de scotch sur labouche. On pouvais voir la peur dans ses yeux et elle avait les yeuxrouge plein de larme, les joue tremper et on pouvais déjà voir ledébut de la torture de ce fou furieux.


Sesbras et ses jambes était immaculée de sang, on pouvais y voir desentailles dessus assez profonde. Sur ses joue on y voyait des tracecomme si elle avait été frapper avec un objet s'en savoir quoi, etses cheveux avait été couper. Ne supportant pas la vu de cettephoto je parti en courant vers les toilettes pour vomir, les policierme courrait après pour me rattraper mais nuent pas le temps.


Unefoi dans les toilettes je pris les premières et me mis a vomir tripeet boyaux, une policière rentra alors et me vis la tête plongerdans la cuvette. Quand je relevas la tête pour la regarder ellecompris aussitôt que je n'était pas bien, elle m'expliqua alorsque il voulait nous garder a vu au cas ou que ce psychopathe veuilleprendre une deuxième personne. Je m'excusas alors et lui dit que jene pouvais pas me retenir et avoir le temps de demander a allez autoilette au risque de régurgiter le contenue de mon estomac surl'uniforme de la personne face a moi.


Montéléphone ce mis a nouveau a sonner je n'arrivais pas a le regarderde peur de voir une nouvelle photo de Cécilia avec de nouvelletorture qui lui avait été infliger. La policière me regardaittrembler, les yeux écarquiller à force de vomir, j'ouvris enfinle message une photo apparue à nouveau. Une batte de baseball avecdes clous tout autour, et un message ou il était dit « J'espère que vous allez apprécier la prochaine photo après quej'ai pu utiliser cette douceur. »


Jeme mis a pleurer toute les larmes de mon cœur je ne savais plus quoifaire je commençais a faire une crise de panique, je n'arrivais plusa respirer l'air me manquais la policière avait appelerl'infirmière. Les pompiers arrivais juste après avec une bonbonned'oxygène pour m'aider a reprendre mon souffle. Une foi que j'ai étécalmer il me mire dans l'infirmerie pour que je puisse me reposer,une foi allonger et un peut endormie par les calment ils fermèrentla porte et deux policier restèrent de chaque coter de la porte poursurveiller que personne ne rentre.


Pointde vu du tueur :


Jevais lui donner quelque coup de cette batte de baseball et ensuite labrûler avec une barre de fer on va voir combien de temps elle vatenir avant de s'évanouir. Et une foi tout cela fait je prendrais lesabre et l'accablerais de coup jusqu'à ce que mort s'en suivent,allons voir d'abord la tête des autres dans la cours. Ils sont commedes moutons la boule au ventre, ils sont totalement a ma merci jepourrais en faire ce que je veut, mais le seul truc qui m'intéressec'est de supprimer les personnes qui risque de me le voler celles. Jedoit me débarrasser enfin de la dernière personne, celle qui risquede me mettre des battons dans les roues et tout sera enfin terminezje doit faire attention a ne pas faire une seul erreur pour finirtout ça. Une foi tout ça fini tout reprendras son cous normale toutredeviendras comme avant plus de peur pour personne et je n'auraiplus la peur de le perdre. Et avec tout ça plus personne ne viendraspour me le voler, et personne ne sera qui je suis personne ne metrouveras et si quelqu'un découvre mon identité je ferai comme avecles autre.


Pointde vu de la police :


« -chefde la police : Chercher partout ne laisser rien au hasardregarder toute les pièces on doit la retrouver avant qu'il ne latue, elle doit être en vie. Il n'en aura pas une nouvelle personne,imaginez que ça pourrais être votre propre enfant mettez vous a laplace des parents qu'est ce qu'il dirai si la police échoue encore.

Çavoudrait dire que nous ne servons a rien, nous serions blâmerhumilier et tout le monde aurai raison. Nous allons nous séparer enplusieurs groupe pour avoir plus de manœuvre et nous irons plus vitea la retrouver. Oui qu'est ce qu'il vous arrive ?


-Officierde police : Chef vous ne sentez pas cette odeur de brûler ondirai qu'on est en train de brûler un cochon a vif.


-Chefde la police : ou plutôt dans le cas présent une personnevivante, séparer vous deux par deux et faite le tour de ce collègele plus rapidement possible trouver vite avant qu'il sois troptard. »


pointde vu du tueur :


Ilarrive je doit absolument lui donner le coup final sinon tout çan'aura servie a rien, un coup de sabre et c'est bon.


« ouvrermon vite cette porte défoncer la vite »


C'estbon elle est mort maintenant je n'est plus cas...

Le collège des enfersOù les histoires vivent. Découvrez maintenant