Le collège des enfers

Chapitre 13

Alors que les heures passais nous n'avions toujours pas de nouvelle des policier, est-ce-qu'il avait réussie a attraper ce psychopathe ou non ?

Trois heure était passer depuis que nous étions arriver dans la salle de sport, ceux ou les parents avait peu venir les chercher était déjà parti le reste était ceux ou les parents ne pouvais pas venir les cherchés. Nous n'étions plus qu'une dizaine, il ne restai que ceux qui prenais le bus le soir sois les parents ne pouvais pas venir parce qu'il travaillais à une heure de la, sois parce que les parents étais à une réunions et ne pouvais pas s'absenter. Je commençais à m'inquiétée je ne savait pas si il avait réussie a attraper ce fou furieux ou s'il ce baladais encore dans la nature comme si de rien était.

Je parti alors a la rencontre du policier pour me renseigner :

« Moi : bonjour monsieur je voulait me renseigner si vos collègue qui était dans le repère du tueur n'avait rien ?

Policier : bonjour on il ne leur est rien arriver, s'était toi et amis qui les ont amener dans le repère ?

Moi : oui on a découvert ou il ce cachait après avoir réfléchie au dernier message qu'il avait laisser la dernière foi, et ils ont réussie a l'attraper ?

Policier : merci de nous avoir aidez mais ça aurais pu être très dangereux pour vous vous auriez pu mourir. Et pour le tueur non ils ne l'ont toujours pas attraper on ne sais pas ou il est passer si il a été dans la pièce au moment ou vous y étiez et si il y était quand vous êtes parti. Nous cherchons des indices pour savoir qui il est et surtout pourquoi il fait ça.

Moi : d'accord merci, vous pourrez remercie votre collègue de ma par d'être revenue avec moi pour aider mon amis Vincent qui n'avait pas réussie a nous suivre parce qu'il s'était fait mal.

Policier : je lui passerais le message. »

Je suis donc retourner voir les autres pour leur dire a peut près ce qu'il ce passais, Vincent était deux de tance les médicament pour le calmer et lui calmer la douleur de ça cheville. Quand d'un coup un policier m'appelle pour que je parte quelqu'un était venue me chercher, en avançant je remarque que ce n'était pas ma mère j'ai donc crue que s'était mon oncle. Arriver devant lui je reconnue ça tête :

« Moi : quoi mais ta cru quoi toi que j'allais partir avec toi comme si de rien était mais tes fous je te fait même pas confiance alors qu'est ce qu'il me dit que tu vas pas essayer de me kidnapper après tout tu n'as jamais été présent en t'en que père jusqu'à maintenant alors dégage j'attendrais maman.

Mon père : c'est ta mère qui la demander de venir te chercher car elle ne pourrais pas venir te chercher.

Moi : qu'est ce qui me le prouve ? Rien alors dégage ok.

Mon père : Mais...

Policier : avec ce qu'elle dit rien ne nous prouve que ça mère vous a autoriser a venir la récupérer alors allez vous en et ne discuter pas sinon nous vous embarquons pour tentative d'enlèvement.

Mon père : d'accord pas de soucie je m'en vais je comprend ne vous en faite pas.

Moi : vous pourriez aussi l'arrêter pour harcèlement car il n'arrive pas de venir et revenir pour me convaincre de lui reparler alors que je refuse et lui dit de partir. Mais il continue a revenir alors que je ne veut pas le voir.

Policier : monsieur sois vous arrêter sois si nous avons la visite de cette jeune fille nous seront dans l'obligation de vous arrêter.

Mon père : D'accord je comprend bien. »

Il parti s'en rien demander quelques heures plus tard les policiers nous on accompagner jusqu'au bus pour vérifier que nous sommes en sécurité une foi arriver chez nous deux policier son parti avec nous. Une foi rendu chez moi ma mère était là quand je suis arriver dans la cuisine elle était assise à la table en train de prendre un café. Je n'eus pas le temps de voir qui était avec elle car elle me pris rapidement dans ses bras, une foi son étreinte fini je peu voir qu'elle prenais le café avec mon père.

Elle me dit alors qu'elle avait bien envoyer un message a mon père pour qu'il vienne me chercher car elle ne voulait pas que je reste plus longtemps là-bas. Je le regardait avec fureur :

« Moi : Non mais quoi ? Ta oser lui demander a lui alors que je ne peut même pas me le voir en peinture ? Tu as vraiment crue que je partirais avec lui ? Non mais même pas sen rêve je préférais rester là-bas avec les policier au moins j'étais sur d'être en sécurité contrairement avec lui je ne me sentirais pas en sécurité.

Ma mère : oui mais tu comprend je préférais que quelqu'un vienne te chercher le plus rapidement possible pour ne pas que tu sois trop effrayer. Et moi ça m'aurais d'autant plus rassurer que tu sois a la maison que là-bas.

Moi : désolé maman mais moi je ne veut pas me retrouver près de lui je ne le connais pas et je ne lui fait surtout pas confiance. Est ce que au moins tu peut comprendre ça ?

Ma mère : oui je te comprend totalement désolé de t'avoir imposer quelque chose qui ne te plais pas s'en te prévenir ma puce. Tu compte quand même retourner au collège malgré ce qu'il c'est passer aujourd'hui ?

Moi : oui maintenant les policier son encore plus présent et je pense que nous somme en sécurité. Ce qu'il c'est passer aujourd'hui c'est un peut de notre faute on a amener les policier jusqu'au repère de ce psychopathe et ça c'est vraiment pas très bien passer on s'attendait pas a ça.

Ma mère : Marie talbot qu'est ce qu'il tes passer pas la tête pour faire ça tu es inconsciente ce malade tue les jeunes filles et toi tu vas te jeter dans la gueule du loup. Tu cherche quoi ? A mourir ce que tu as fait était vraiment très imprudent ne refait jamais une ânerie de ce genre c'est compris ? »

j'hochait pour lui répondre que oui je ne le ferais plus, mon père parti enfin pour ne pas le voir j'étais monter dans ma chambre, ma mère décidas de commander quelque chose elle me demandas alors ce que je voulait. Je répondit alors que je mangerais bien un chinois devant un flim ou une série, une foi avoir manger et avoir regarder a peut près cinq épisode d'une série je suis donc parti me coucher.