chapitre 14 : perdus

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PDV Patronne

Assise sur le lit , je réfléchissais, qui est était ce mec ? Que voulait t'il à Olivia ? Pourquoi le Patron est - il venu me sauver ? Tout ces questions se mélanger dans ma tête. Ce n'est pas dans mon caractère d'avoir peur, surtout devant un mec. Mais je dois dire que le Patron est arrivé à temps, sinon je me serais retrouvé au cimetière. Au font, il est sympa le gamin, il est comme moi (NA : non sans blague, on l'avait pas remarqué ). MAIS POURQUOI JE DIS ÇA, MOI ?! Il faut que je gagne, personne ne gagne contre moi.

Patron : alors gamine, réveillé.
Patronne: ouep

Il s'assit sur le bord du lit.

Patron : qu'est ce qui s'était passé ? Qu'est ce qui te voulais ?
Patronne : je sais pas, en tout cas, je sais qu'il connaît Olivia. Évidement, il m'a confondue avec elle et c'est parti en live parce que je l'avais appelé "gamin". Voilà.
Patron : je le connais aussi, gamine.
Patronne : c'était qui ?
Patron : il s'appelle Nicolas, il lui en voulait parce qu'elle lui a dit des trucs qui lui ont pas plût et il la recherche.
Patronne : une sacré ordure.
Patron : Eh ouai, gamine.
Patronne : pourquoi...?
Patron : pourquoi quoi ?
Patronne : pourquoi es tu venu ?
Patron : je te cherchais, ça faisait longtemps que tu étais pas rentré. Je passais devant une ruelle et j'avais vue deux personne. J'avais reconnu une seule personne, c'était toi, plaquer contre le mur. Quand j'ai vu le couteau sous ta gorge, j'ai démarré au quart de tour. Et tu connais la suite, gamine .
Patronne : ferme les yeux.
Patron : pourquoi ?
Patronne : ferme.
Patron : ok. (ferme les yeux)

(mettre la musique )

Je mis mon plan à exécution, qui était très simple : lui prendre ces lunnette, ce qui pourrait être son talon d'Achille. Je lui chipe et me mis à courir.

PDV Patron

Elle s'en était emparé. Je la poursuis et la plaqua contre le mur de la chambre.

Patron : rend les moi, gamine .
Patronne : pourquoi je le ferais ?
Patron : sans elle, je suis rien.
Patronne: c'est dommage, ça te donnes plus charisme sans.
Patron : c'est pour me faire perdre que tu fais ça.
Patronne : non, je dis la vérité, tu es mieux sans elle.

On se regarda longuement, son visage se rapprochait de plus en plus du mien. Jusqu'au momment où je sentis ses lèvres sur les miennes. Je répondis à son baiser. On a dût le rompre pour manque d'aire.

Patron : je crois que tu as perdu.
Patronne : je peux dire la même chose pour toi, gamin.
Patron : c'est pas faux.

Je l'embrassa. Ça commençais d'un baiser doux, en un plus passionnée et sauvage.

amour d'un schizophrèneOù les histoires vivent. Découvrez maintenant