Moi : Ayato , laisse moi partir , s'il te plait .
Ayato : Je veux rien entendre, la ferme !
Moi : excuse moi
Ma carapace d'insensible s'envole à la vitesse du son , Ayato est extrêmement menaçant, j'ai l'impression qu'il pourrait faire n'importe quoi . Je tremble comme une feuille, j'essaye de garder tout de même un minimum de fierté .
Ayato : ça t'amuses de partir faire joujou ailleurs.
Moi : Je ...
Ayato ( me poussant ) : La ferme !!!
Je tombe par terre, je me relève et cours , je crois à mes chances d'atteindre la porte jusqu'à ce que je me foule la cheville . J'y crois pas. Pourquoi à ce moment là ?
Ayato( s'agenouillant) : Je ne pense pas que tu ai tout saisi ma belle. Je suis le maître , toi, le chien même plutôt le bétail .
Moi : Je ne suis rien de tout cela dis-je avec une voix mal assurée .
Ayato ( haussant la voix) : Pourtant tu l'es !
Il me prends par le col et me hurle .
Ayato : Qui t'a autorisé à partir ?!
Moi ( livide): Je .. je n'ai rien fais de grave et .. et...
Ayato : Et tu es parti directement lorsque je dormais ,petite vicieuse .
Mes yeux commencent à s'humidifier.
Ayato (rigolant): Oui ! c'est ça que je veux voir la peur que tu dois avoir envers moi et l'obéissance . (approchant son visage) Tu dois être là quand je le veux et être disponible quand je le veux . Tu dois tout faire quand je le veux et quant à moi je peux faire tout ce que je veux sur toi.
Moi : A..ya... to...
Ayato : Justement regarde ma supériorité comparé à toi !
Il se penche sur mon cou et mord à pleines dents .
Moi (gesticulant) : Arrête , ça fait mal .
Ayato (enlevant ses crocs): délicieux , tellement bon .
Et il replonge dedans , il continue à boire et à boire .
Moi(pleurant) : arrête, tu vas me tuer .
Quelques minutes après cette phrase , il me jette par terre . J'aimerais lui lancer que sa supériorité est inexistante , mais en suis-je sûr ? Je suis tellement occupée à essuyer mes larmes que je préfère ne rien dire .Il revient auprès de moi moi lèche l'endroit ou le sang coule encore et me dit :
Ayato : c'était ta punition. Heureusement que tu m'as rappelé que tu était humaine sinon je t'aurai tué, dit- il avec un sourire malicieux.
Je ne réponds pas , il se lève et part . Je me contente de prendre la briquette de jus que Reiji m'a donné ce matin.
Moi : il avait raison, dis-je en souriant mais je ne retenais pas mes larmes, J'en ai marre .
Cette démonstration de force tétanisante me fit comprendre que je devais faire minutieusement attention à mes moindres faits et gestes . Pourtant , ce dont je déteste le plus est bien de ne pas vivre comme je l'entends .
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Diabolik lovers : un sang nouveau
FanfictionJe m'appelle Mitsumi et en se moment mes parents manque d'argent, ils ont alors décidé que j'irai vivre en colocation avec dans une magnifique maison . Je n'ai pas discuté de leur décision et suis allé .Mais des le début j'ai senti que ma vie prendr...