chapitre 43

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Moi : Et là tu fais ça et tu trouveras ça .
J'expliquai quelque chose de pourtant très simple à Ayato mais qui lui était incompréhensible .

Ayato: Je comprends rien.

moi : T'apprends pas assez tes leçons , à croire que tu ne l'ai jamais fait.

Ayato : J'étudiais beaucoup avant.

Et je pense percevoir une pointe de tristesse mais son expression change tellement vite que je pense que je me trompe .

Moi : Bon regarde , je te fais un autre exemple .

Il approche ça tête près de la mienne , je dirai qu'il y a 2 cm de distance mais je pense avoir pris l'habitude et ne rougis pas ... enfin très peu . Ayato s'approche de mon cou mais s'écarte peu de temps après .

Ayato : Tu es imprégnée de son odeur .

moi : De l'odeur de qui ?

Ayato(méchamment) : De Shuu.

Moi(rougissant un peu): Ton imagination te joue des tours et je n'ai pas envie de parler d'autres choses que de math, continuons l'exercice.

Je me replonge dans l'exercice et me concentre d'une manière exagérée . Mais Ayato arrache la feuille devant mes yeux, et me tourne vers lui .

Ayato : on peut bien oublier l'exercice non ?

Moi : on ne peut pas sinon demain tu auras une punition plus lourde .

Ayato : Tu me donneras les réponses .

Moi : Quoi ?! non .

Ayato : Bref , on verra ça après. Entre toi et Shuu  ça à l'air de marcher.

Moi : On est juste ami .

Ayato : Très proche alors , je le sens de partout.

Moi: ça c'est toi qui le dit .

Ayato : Tu m'appartiens , d'accord, t'as pas à aller voir ailleurs .

Moi(regard enjoué) : ça , c'est toi qui le dit .

Ayato: Si c'est moi qui le dit .

Il m'emmène vers une sorte de cercueil , non c'est un objet de torture , UNE VIERGE DE FER .

Moi: Non ! J'ai pas envie d'y aller .

Mais il me pousse à l'intérieur et j'y tombe en hurlant . Mais ma chute fut amortit par une substance plus douce que de l'acier .  Il y a bien heureusement un matelas à l'intérieur je reprends mon souffle et il me dit .

Ayato: J'ai enlevé tous les pics , tu avais vraiment cru que je dormirai dessus ou que je te tuerais ?

Sa phrase ironique le fait rire .

Ayato  : C'est impossible que je te tue j'ai besoin de toi.


Diabolik lovers : un sang nouveauOù les histoires vivent. Découvrez maintenant