Chapitre 87

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Je jouais avec la bague . Elle faisait de si jolie reflet . Je me dirigeais vers ma chambre avec l'intention , dès le lendemain d'aller m'excuser auprès de Raito , il ne méritait pas mes sautes d'humeur et après tout ça arrive à tout le monde de ne pas entendre quelque chose . J'étais plus calme grâce à Subaru . Il a de si bonne attention .
*bruit de feuille*
Je relevais la tête . Ce bruit n'était pas simplement les feuilles qui vrombissaient par le vent ,non . C'était quelqu'un . Quelque chose me disait de ne pas y aller mais un autre sentiment , plus fort me disait d'y aller . Quelque chose m'attirait . Plus je me rapprochais , plus mes pas se faisaient lourd , automatique , je n'étais plus libre de mes mouvements . Je paniquai , essayais de crié mais en vain , rien ne sortait . Après avoir longtemps marché , je tomba dans les bras d'une personne inconnu .
???? : parfait .
Je m'endormi dans le rire machiavélique de mon kidnappeur .
Je me réveilla dans une sorte de calèche en mouvement , j'étais adossée sur un de ses côté . La première chose que je fis fut de regarder si je pouvais bouger librement , quand j'eu confirmé la chose la deuxième chose que je fis fut de regarder ou j'étais ,mais il faisait tellement noir que je ne pus savoir où j'étais . La dernière chose fut d'inspecter le lieu où j'étais. Je tournai la tête et il était là , mon kidnappeur et sauveur.Je le fixai et il me regardai avec un air calme . J'engageai la discussion la première :
Moi : Ou je suis ?
Il poussa un rire forcé
Lui : quel question,si tu n'avais pas remarqué on est dans une calèche .
Moi : je ne veux pas rigoler, on vous m'emmenez ?
Il prit un air plus sérieux .
Lui : je te ramène chez toi .
Je le fixai d'un air méfiant .
Moi : je ne sais pas si je peux vous faire confiance.
Lui : pourtant je t'ai sauvé.
Moi : je sais .
Il poussa la tête en arrière et fit un rire en cascade . Puis il re pencha la tête vers moi , ne pouvant calmer son rire.
Moi : je peux savoir pourquoi vous riez ?
Lui : non , pour rien . Je cherchais juste la farfelu raison pour que mes fils tombent chacun leur tour amoureux de vous .
Moi (gêné) : vos fils ?
Lui : quoi qu'il en soit , vous vous doutez bien que ce n'est pas à l'abri des vampires que je vous emmène au contraire. Je vous emmène chez moi , vous y serez beaucoup mieux que là-bas.
On continua la route en silence, moi sur mes gardes jusqu'à ce que soudainement.
Lui : je ne peux pas vous laisser en voir plus et c'est-à-dire que j'ai assez faim .
Avant d'avoir pu réagir , il m'avait déjà immobilisé . Avant que je puisse crier, il m'avait déjà mordu . Avant que je puisse me débattre , je m'étais déjà évanouie .

Diabolik lovers : un sang nouveauOù les histoires vivent. Découvrez maintenant