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Chapitre 18

-Monsieur Hunger, Pouvez vous justifier votre absence pendant deux heures et la présence de cette enfant. S'écrie le directeur le visage impassible.
-Tout d'abord, j'ai fais les testes que l'on m'a demander de faire, ensuite j'avais besoin de prendre l'air alors je suis partis prendre l'air en ville. Pour ce qui est de la petite, c'est elle qui m'a trouvé et j'ai de suite deviner qu'elle possédait un minimum.
Dis-je en soufflant doucement.
-Et comment pouvez vous être certains que cette enfant possède bien un minimum. Me demande le directeur d'un ton froid.
Je soupire, je me lève et je dépose Hayvie sur la chaise.
Je contourne le bureau, je prends un stylo et le tend au directeur.
Celui-ci me fixe d'un aire dérouté.
-Écrivez un mot sur ce papier. Dis-je en désignant le morceaux de papier qui traîner sur son bureau.
Le directeur prend le stylo et écrit un mot. Je retourne au côté d'Hayvie.
-Maintenant pensez le mot sur vous avez écrit dans votre tête.
Le directeur semble réfléchir puis il se met à fixait la petite de ses grands yeux.
-Dictature. Dit Hayvie en se retournant vers moi.
Grims fait les gros yeux choqué.
-Comment...Dit le directeur époustouflé.
-Elle arrive a lire dans les pensées. Dis-je doucement en regardant le directeur détaillé la petite.
-Il faut lui faire des tests. Dit le directeur toujours choqué.
-Hors de question, je veut bien faire le rat de laboratoire mais hors de question que cette petite de 6 ans subisse cela a son âge. Dis-je en tapant du poing sur le bureau.
Je regarde le directeur méchamment pour le dissuader de faire aucune tests sur la petite. Ce qu'il comprend immédiatement car il finit par hocher la tête et se lever de son bureau.
-Bien alors vous allez vous en occuper. Me dit le directeur en avançant vers la porte déçu.
Je prends la petite dans mes bras et je sors de son bureau.
Hayvie n'a pas encore parler.
Je monte les escaliers jusqu'à ma chambre et j'entre, Hugo est assis sur le lit les yeux vide.
Alice, elle a les yeux rouges comme si elle avait pleurer toute les larmes de son corps.
Je dépose la petite au sol qui reste derrière moi.
Quand Hugo m'aperçois, il bondit hors du lit et s'approche de moi.
Il me frappe durement à l'épaule et me serre dans ses bras.
-Putain ! Ou est-ce que tu t'étais baré on a flipper comme des dingues !!!Dit Hugo la tête au dessus de mon épaule.
Je le fais reculer.
-J'avais besoin de prendre l'air après le teste alors je suis sortis.
Dis-je d'une voix rauque en le repoussant un peu plus.
Une fois Alice rassuré je pars m'asseoir sur mon lit suivis de la petite qui n'osait pas parler.
Je leur raconte rapidement la rencontre avec Hayvie, celle-ci s'attache beaucoup à Alice.
-Tu ne peux pas imaginer à quel poins nous étions inquiét pour toi. Me dit finalement Alice en me regardant dans les yeux.
-Je suis désolé...Dis-je d'un voix rauque.
Quand soudain j'entends quelqu'un frapper à la porte.
Alice se lève et part ouvrir.
Elle ouvre la porte en grand et Edward apparé dans d'encadrement de la porte, pas très content.
-Hunger on avait pas finis. Me dit Edward d'une voix énervé.
-Détend toi ! J'étais pas bien alors je suis partis. Répondis-je sèchement.

Il soupire est entre dans la chambre.

-Tu sais que ton minimum est important et tu en a peur, tu a peur que Ashton s'en serve contre toi. Dit Edward en s'approchant de moi.

-Ne t'approche pas de moi. Dis-je en serrant les poings.

-Ok ok, viens avec moi je vais te montré quelque chose. Me Dit Edward en sortant de la chambre.

Je soupire mais je me lève, je le rejoins dans le couloir et il prend cette fois le couloir à droite qui mène a une porte en métal.

-Ici, tu pourra d'entraîner et te battre. M'explique Edward en entrant.

Plusieurs individu son en cercle en plein milieu de la pièce.

Edward referme la porte et me désigne une chaise un peu plus reculé.

Je pars m'asseoir, il se place devant eux et croise les bras sur son torse.

Quand soudain un homme se jette sur lui des sabres à la main, Edward répond aussitôt et le propulse à l'opposé de la salle tandis qu'un autre arrive par derrière, Edward se retourne et l'assume.

(Média)

Tout les hommes sont à terre sans exception.

Edward me regarde le sourire aux lèvres.

-Tu vois, je comprends se que tu ressens, la peur, peur de ne pas savoir te contrôler, de ne pas revoir ta famille, peur de te faire enrôler dans une armée sans pouvoir dire se que tu pense. J'ai vécu tout cela, alors est confiance en moi. Dit Edward en s'approchant de moi.

Je respire un bon coup et me lève de la chaise.

-Ton minimum est de combien ? Demandai-je intrigué.

-94,3. Dit Edward en souriant.

-Donc je suis plus fort que toi vu que le miens et de 96,9. Répondis-je en rigolant.

Il soupire.

-Entre autre. Répondit Edward.

J'allais repartir vers la porte quand je l'entend sifflé.

Tout les hommes se relèvent comme si il ne c'était rien passer

-A toi maintenant. Fit la voix d'Edward dans mon dos.