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Chapitre 2

Hugo en média.

15 minutes après ma douche, il sort de la salle de bains, vêtu seulement d'une serviette autours de ma taille.
Je traverse le couloir et j'entre dans ma chambre.
Celle-ci est lumineuse, les murs sont blanc et le sol est en moquette bleu foncé. J'ai un lit deux places et une simple armoire en bois noir.
Je jette ma serviette sur mon lit, et je m'avance vers mon armoire.
J'en sors un caleçon ainsi qu'un jean noire avec un T-shirt blanc.
Je mets des chaussettes en vitesse et je récupère mon téléphone que j'avais oublié sur l'on bureau.
Je le déverrouille et je m'allonge sur mon lit.
Je regarde l'heure.
-14h24-
Mince c'est vraie que demain personnes viennent au lycée pour chercher des jeunes avec des talents.
M'enfin je pense que ses juste pour nous faire peur.
Je regarde mes messages.
-3messges-
Je regarde le premier.

-De: HugoBoss-
Lùut, ta réviser l'examen de maths pour dem' ?
-Envoyé à 13h12-
Je lui réponds avant de regarder mais autre message.
-A HugoBoss-
Na' pas eu le temps, je me suis fais attaquer par un clébard ptin' !
-Envoyé à 14h25-
Je referme la fenêtre de conversation et je regarde les autres messages.
-Dl'à zarbie-
Bonjour à toi, Leo, n'oublie pas que nous avons un examen de maths demain et la visite de l'institut BackForck demain à 9h25.
-Envoyé à 12h57-

Vous comprenez pourquoi elle porte ce nom de contac ?
En fait, c'est une fille de ma classe, elle s'appelle Lana, mais elle est trop bizarre. Elle a une mémoire !! Tu lui dis toutes les dates des anniversaires des personnes dans la classe une seule fois, elle mes retient et elle me te les redonner 2 ans après.
Je ne lui réponds pas.
J'ouvre le dernier message.
-De Alice-
Coucou, je voulais te demander quand on sera dans la salle pour la rencontré avec l'institut, est-ce que on pourra se mettre à côté ?
-Envoyé à 13h20-
Alic, je crois que c'est la fille la plus jolie de la terre.
Je suis amoureux d'elle depuis la 6 ième je pense et je n'est jamais eu l'audace de lui avouer.
Je lui réponds immédiatement.
-A: Alice-
Évidement, je viens te chercher chez toi à 08h00 pétante en moto. Couvre toi bien ; )
Je vérouille mon téléphone et je le laisse glisser sur le lit.
Je me relève et je sors de ma chambre.
Je descends dans le salon.
Mon père est entrain de se servir un verre de Wiscky.
-Pap's....Commençai-je en m'approchant de lui.
Il sursaute ne m'ayant pas entendu descendre. Et je vois le verre tomber au ralentis.
Et je remarque que mon père bouge aussi au ralenti alors je me précipite vers le vers et je me relève face à mon père qui me fixe les yeux ronds.
-Bein quoi ? Dis-je en lui rendant son verre vide, car l'alcool c'était répandu sur le tapis.
-Léo, comment a tu fais ? Dit mon père d'une voix blanche.
-Et bien j'ai mis un pied devant l'autre, je me suis baisser, j'ai rattraper ton verre et je te les rendus avant qu'il e tombe au sol. Répondis-je sarcatisquement.
-Léo, je n'est pas vu le moindre de tes mouvements, tu est aller tellement vite, plus vite que la n
normal. Dit mon père en me fixant les yeux ronds.
Je fronce les sourcils.
-Il faut que tu arrête de boire, u vie ai ralentis pap's... Répondis-je en soupirant.
Mon père m'attrape le poignet violemment et m'oblige à me retourner.
-Le seul verre que je me suis servis aujourd'hui s'est répandu par terre. Me dit mon père en fronçant les sourcils.
-Moui ses cela... Répondis-je sans conviction.
-Tu sais très bien ce qui existe, l'institut qui vient vous voir demain c'est pour dénicher des petits surdoués pour les enrôler dans leurs armées. Me dit mon père d'une voix blanche.
-Je suis navré de te le dire pap's mais je suis touts, sauf un surdouée. Répondis-je en partant vers le canapé.
Je m'asseois lourdement et je pose mes pieds sur la table base.
Mon père me rejoins quelques minutes après.
-Promet moi que si jamais ils te posent des questions bizarre ne leur réponds surtout pas, tu est mon unique fils et je ne veux pas te perdre. Me dit mon père au bords des larmes.
Je tapote son épaule légèrement.
-T'inquiète pas pour ça papa, j'ai du m'enfermer dans une poubelle à cause d'un chien, je suis loin d'être surdouée. Dis-je en souriant.
Il me rends mon sourire mais je vois bien dans ses yeux qu'il n'est pas convaincu.