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Chapitre 5

La cloche retentis.
Hugo est toujours choqué de ce qu'il vient d'apprendre.
Moi, je prends sa à la légère, je suis persuadé qu'il se trompe.
Les élèves se lèvent et se bousculent pour sortir.
Je regarde autours de moi et je croise le regards d'Alice qui est pâle.
Le proviseur fait un signe à l'homme et s'en vas.
L'homme prends place derière le bureau et il nous regarde tour à tour.
-Tout d'abords, vous êtes plus que des surdouées, mais cela votre proviseur l'ignore. Comment ça l'homme.
Il gratte ses cheveux gras et il me fixe.
-Je m'apelle Ashton Grims, je suis le directeur de l'institut.
Je fronce les sourcils.
-Vous avez quel âge ? Demandai-je d'une voix rauque peut convaincu.
-Je vais avoir 27 ans ce mois si. Me répondit l'homme sans aucun expression apparente.
Je vois Alice gigoter mal à l'aise sur sa chaise.
-Mais Monsieur, si nous ne sommes pas des surdoués, pourquoi nous retenir ? Demande Alice visiblement très gênée.
-Nous n'utilisons pas le mot "surdoués" qui est une vraie insulte quand nous savons de quoi nous sommes capable. Répondit l'homme d'une voix calme.
-Si nous ne sommes pas des surdoués, que sommes nous ? Demande Hugo qui reprends des couleurs petit à petit.
-Et bien, c'est un terme très spécial, cela s'appelle des Déteneurs. Nous dit l'homme en croisant les bras sur sa poitrine.
Je ne peux m'enpêcher de rigoler ce qui me vaut un regards noir de ....comment il s'apelle déjà ? Ashton ?
Je reçois un coup dans les côtes et je laisse échapper Un crie de douleur.
Je me retourne vers Hugo et je le fusille du regards.
-Que signifie Déteneurs ? Demande la voix d'Alice.
Je reporte mon attention sur l'homme pour entendre sa réponse.
-Alors voyons, des Déteneurs c'est des personnes normale avec un petit quelque chose en plus comme vous et moi, un don ou un pouvoir donner lui le nom que vous préférée. Dit l'homme en se levant.
-Levez vous !Fit l'homme d'une voix autoritaire.
Nous nous levons immédiatement sans poser de questions.
Quand soudain les bureau qui étaient parfaitement bien alignés sont projeter contre les murs à notre gauche et d'autres à notre droite.
Je reste scotché.
-Le pouvoir que vous avez, nous l'appelons un minimum, moi mon minimum c'est que je peux contrôler tous se qui contiens du métal et je peux deviner les Déteneurs potentiel, se qui m'a permis d'avoir le titre de directeur de l'institut. Fit l'homme avec un petit sourire visiblement fière de l'effet qu'il nous a fait.
-J'ai le regrets de vous dire que vous vous êtes tromper à notre sujets... Dis-je d'une voix rauque en passant ma main dans les cheveux.
La pièce est à présent vide, nous sommes dans une sorte de cercle entourés des bureau renverser.
L'homme s'approche vers moi et il me sourit.
Il me regarde quelque instant dans les yeux et il commence à me détailler.
-Léo Hunger...Fit l'homme d'une voix penseur.
Je grince des dents, je déteste que l'ont me détaille aussi lontemps.
Je commence à bouillir en moi alors je récents le besoin de mettre mon casque avant que j'explose sa face de petit riche contre le mur.
Une chanson de Rocknroll commence et je ferme les yeux. Je claque des doigts et je me sens bouger comme si j'étais dans un manage à sensations.
J'ouvre les yeux surpris et je remarque que je suis à l'opposé de la ou je me trouver quelques secondes plutôt.
-J'ai trouvé ton minimum Léo...dit l'homme en souriant.
-Qu'es ce que c'est ? Demandai-je avec impatience.
-Je ne peux pas le confirmer, vous allez passer un test pendant 24h et s'est se test qui définira votre niveau au sain de l'institut. Si votre résultat est supérieur à 100 cela veut dire que vous possédez un minimum extrêmement puissant...Répondit l'homme d'une voix calme.
-Bien, je vous laisse 3 heures, pour faire vos bagages, dire au revoir à votre famille et vous rendre devant les portes de l'institut à Londres. Nous dit l'homme avant de quitter la pièce.
Alice tombe à genoux en pleure.
Je m'approche d'elle dans une vitesse que je n'aurais jamais penser être capable et je la prends dans mes bras.
-Je ne veux pas quitter pas famille....Dit Alice en pleure.
-Shttt....Dis-je doucement en la berçant.
Moi non plus je n'est aucune envie d'y aller, de quitter mon père. Mais je suis quand même curieux de savoir quelle est mon minimum, une fois que je le serai, je quitterai l'institut et je reviendrais vivre avec mon père...