Chapitre 17

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Et c'est parti pour une bonne comédie.

- Alors on recommencera une autre fois, c'est marrant de voir leurs têtes en pensant qu'on va se séparer. Tu sais que je t'aime toi ? Ment Marc avec un grand sourire.

- Ah ! Non, c'est moi qui t'aime plus que tout au monde, continuai-je.

- Oh, arrête, moi, je t'aime plus que tout l'or du monde.

- Et bah moi plus que tous les diamants du monde entier avec les truffes noires.

- Et bah moi ... Je ne sais pas, je pense que tu as tout dit alors je m'incline devant toi ma reine. Dit-il en faisant une révérence.

À ça serait marrant si tout ce qu'il disait était vrai... Attendez je parle seulement du "ma reine" et puis lui il serait mon souffre-douleur. Moooouuuuaaah!!! Je sais, je suis une vraie sadique. En plus, il fait une révérence ça montre ma supériorité en vers lui. Bon, il faut que j'arrête parce qu'après il va se moquer de moi et on va encore s'énerver.

- Bon, c'est pas tout, mais j'ai faim. N'as-tu pas faim mon cœur ?

-Si comme jamais, me dit-il avec un grand sourire, allons nous restaurer ma chère.

Nous nous dirigeons vers le buffet pour nous servir, puis nous allons nous asseoir à ma table habituelle. Pourquoi ma table ? Je ne sais pas. Peut-être parce qu'il y avait moins de monde même si les filles sont toutes à côté en train de discuter en nous regardant, jusqu'à ce que Théo et Léa entre pour nous rejoindre suivie de près par Mag. Excusez-moi, je voulais dire plutôt que Théo avait son bras sur l'épaule de Mag. Bah, dit donc il ne perd pas de temps celui-là. Là, je suis d'accord avec toi. Je sais puisque je suis ta conscience baka. Ah, je vous jure, c'est un cas celle-là. oh, c'est bon !

- Bah, dis donc vous n'avez pas perdu de temps, dis-je lorsqu'ils se joignent à nous.

- De quoi tu parles, me demande Mag en rougissant.

- Ça, désigne Marc. Il ne faut pas être aveugle pour voir qu'il y a quelque chose entre vous.

- Il n'y a rien entre nous. Rougit Mag.

Théo retire son bras et chuchote à l'oreille de Mag :" cela serait tardé" avant de lui embrasser cette même oreille. Ce qui la fait devenir encore plus rouge et nous provoque un fou rire. Oui, mon frère est dragueur, je ne peux pas le nier ce qu'il veut, il l'obtient toujours. Mais là, je pense que c'est du sérieux. Et pas une petite envie passagère. Je sais reconnaître ça en lui.

- Arrêtez de rigoler ce n'est pas drôle , dit-elle toute génée.

Après avoir fini de déjeuner, nous allons en cours tout en rigolant ce qui ne plus pas à la plupart des professeurs, qui nous demandaient de nous calmer ce que nous réussissons à faire jusqu'à que la sonnerie sonne et que notre rire revient, et cela, jusqu'à la fin de la journée.

Lorsque nous arrivons sur le parking, nous décidons d'aller au centre commercial, pour nous trouver une tenue pour la soirée de Cameron.

Arriver au centre commercial nous nous divisons en deux groupes les garçons d'un côté et de l'autre les filles.

Avec les filles, nous passons dans plusieurs boutiques avant de nous arrêter devant une vitrine où nous trouvons exactement les tenues qui nous faut. Oui, je n'ai pas dit les robes, car nous ne sommes pas très robes, on en porte, mais pas tout le temps et puis on n'a pas très envie de nous faire relooker.

Alors j'opte pour un slim noir taille haut qui m'arrive au nombril accompagné par des bretelles de la même couleur, un chemisier blanc sans manche avec de la dentelle noir sur les épaules et des escarpins noir avec un nœud derrière.

A cause d'un pariOù les histoires vivent. Découvrez maintenant