Les âmes de mon coeur.

Un Événement marquant.

On a prévu de se voir. J'ai mis une heure à me réveiller se matin. J'ai imaginé toutes les excuses possible et inimaginable pour annulé cette après midi avec mes bébés. Mais je me suis levé, j'ai reçus une décharge de courageuse. Je dois y aller je dois reprendre ce sourire qu'il m'a enlevé. Je dois vivre, ou du moins survivre. J'écoute les tornades de parole de ma belle mère et sors sans même retenir un bout de ces paroles. Plus rien ne m'atteint. Je n'ai plus envie de rien. J'arrive de justesse pour avoir mon bus. Quatre arrêt plus loin je descend. Je sais qu'il me regardait tous. Je n'ai posé mes yeux sur personne. J'allume une clope, une News, les meilleures. J'envoie un texto aux filles.

< je suis arrivée, vous êtes où ? >
Cassie: < J'arrive dans 5minute ! >
Juliette: < J'arrive! >

Ca sa veut dire qu'elle n'est même pas sortie de chez elles. Je m'assois et commence à roulé. J'économise mes indus. Cassie arrive en sautant partout ce qui me fait sourire. Enfin. Sa fait plaisir de la voir comme ça. Puis Juliette arrive et me demande une clope. On patiente, on finis nos clopes et nous nous dirigeons vers la patinoire. Je me vois dans les vitres. Je suis tellement déglingué. J'ai des patins de hockey et Juliette de patinage artistique. On fait bien la paire. On tient à peine debout sur la glace. J'ai l'impression qu'il fait plus froid dehors qu'ici. En leur fessant la remarque elle me regarde et rigole. Qu'est ce qu'elles peuvent avoir de magnifiques rire. C'est une mélodie harmonieuse, je sens mon cœur se renforcer à chaque écoute de cette mélodie.

On commence à patiner à faire quelque tour sur la glace. Je les perds de vue puis je voie son âme. Celle de cassie comme si elle avait triplé de volume. C'est à se moment que je vois son visage. Je ne la reconnais pas, elle est rongé par la colère. En essayant de la rejoindre je vois la glace se fissuré, s'écarté. On en ai bouche bée. Je réalise se qu'elle est, je l'attrape, elle est paralysé mais me suis, je fait de grand signe à Juliette. Nous nous en allons et nous allons nous réfugié. Personnes ne parlent. Je ne pose aucune question. C'est un silence agréable, réconfortant. Elles sait qu'on est là pour elle malgré tout. On ne la juge pas, nous n'avons pas peur. C'est ce qu'il y a de bien à fréquenté le diable. Je sais que c'est lui qui l'a lancé cette décharge ce matin. Je sais que c'est lui qui l'a transformé. Ma haine pour lui ne fait qu'augmenter.

Personne ne nous a vu c'est sur. Je ne l'ai jamais vu comme ça. Elle à changer. Il voulait que je le voient. C'était beau. Je dis peut être sa à cause du diable. Mais j'ai sentie son âme se décupler. C'était comme si elle se libérait. Je roule un joint et commence à fumer. Je brise se silence.

- On ne dit rien à personne.
Cassie - D'accord. Mais je ne comprends toujours pas ce qui m'arrive.
Juliette - qu'est ce qu'elle est devenue Ême ?

C'est là que je me rappelle. Un jour défoncer avant les cours de l'après midi je lui avait parlé ce dons j'étais capable.

Cassie - comment ça qu'est ce que je deviens ? Je suis normale !

Je sais qu'il ne faut l'énerver alors je lui dis de s'asseoir. Je lui explique mon dons. Et là..

Juliette - moi aussi j'en ai un.. Je contrôle les pensées.. Je peut vous montrez vos pire cauchemar..

On en reste bouche bée. Plus liée que jamais. Ce soir là je ne suis pas rentrer chez moi. Non j'ai couru de tout mon être. A m'en enflammé les poumons. À m'en exploser le Coeur. J'ai haïe. J'ai pleuré. J'ai hurlé. J'ai tout cassée. Je suis rentré avec des blessures. Je ne trouve plus aucune excuse..

Mon père me voyant déglingué dans cette états la ne sais plus quoi faire.

Mon père - pourquoi est tu encore dans cette états.. Que dois-je encore te dire ?
Moi - Dit moi que c'est un connard. Dit moi que j'ai mal et que ta douleur augmentera avec le temps, que les gens mentent. Dit moi que c'est ma faute. Après tout je ne suis qu'une connasse.