~~~ Chapitre 7 ~~~

641 47 65
                                    

Pdv Fatma.

Je me suis hâtivement décollé. Ses yeux monotone me regardais.

Moi: tu veux quoi? Vas t'en ou j'appelle la police.

Une larme coula de ses yeux puis une deuxième et en moins de trente secondes son visage était mouillé par les larmes. Il se racla la gorge puis s'approcha, sous un reflex j'ai reculé.

Hak: pardonne moi Fatma. Je m'en irait je te promets mais s'il te plaît pardonne moi. Je ne voulais pas.....

Moi: continue ta phrase avec " te faire de mal " et la vie d'ma mère je vais te buter.

Le coupais je accompagné d'un regard tueur. Il se racla la gorge une nouvelle fois.

Hak: j'ai écrit ça. Tien lis le et tu comprendra. Je sais que rien ne pourra justifié mes actes mais lis le, tu en a le droit.

Il me tendait deux feuille de papier remplie d'écriture. J'ai fixé les objets puis sa personne avant de les saisir et de commencer à lire. Je voulais le faire pour qu'il s'en aille, je ne voulais plus le voir, plus jamais.

<< si seulement tu savais ce que ça fait d'avoir une famille décomposée, un père occupé et une mère prostitué. Si seulement tu savais ce que ça fait d'avoir un jumeau et d'en être séparer.....

les écrits commençaient ainsi et et j'avais déjà peur de lire la suite. Je ne voulais en aucun cas connaitre son histoire. Plus d'une fois j'avais essayé lorsque nous étions mariés et plus d'une fois il m'a rejeté. Arrivé au milieu de la première feuille j'ai stoppé la lecture, il me supplia du regard de continuer.

<< lorsqu'elle partais durant des jours, lorsqu'elle amenait de différents hommes chaque soir, lorsque mes yeux innocents de huit ans la regardais et qu'elle me chassait. Quand je n'avais plus le droit de sortir de ma chambre, parceque mon père me manquais. Lorsqu'elle ordonnait a ses compagnons de me punir quand je réclamais mon frère.......

Des larmes ont surgis de mes yeux. Mon coeur se serrait, ses mots me brisait.

Hak: continue s'il te plaît.

Mon regard larmoyant j'ai levé sur lui avant de poursuivre.

<< toute ces fois ou je t'ai fais du mal, toute ces foie ou j'ai levé la main sur toi, toute ces fois où je t'ai violer dans ton sommeil. Toute ces fois j'ai lutter avant mais j'ai céder à l'éducation de mon enfance. Aujourd'hui je viens vers toi. Mon histoire je te la raconte en retard car j'avais peur de passer pour un faible. Malheureusement il a fallut que je te perde pour me rendre compte que je n'étais en fait qu'un humain...........

Je n'arrivais pas à continuer. Je n'en ressentais plus la force. Mes yeux était brouillé par les larmes, j'ai tourné la page puis j'ai pris mon courage à deux main.

<< ta perte m'as fais réaliser à quel point je suis malade, et pour évité de faire souffrir une autre comme toi je vais me faire soigné, je te le promets. Dis à notre bébé de me pardonner, au moins là ou il ne verra pas a quel point son père  est mauvais. Je ne savais pas que t'étais enceinte. J'aurai tellement voulu le savoir. Il paraît qu'un enfant a le don de nous changer malheureusement le notre il n'est pas née...........

J'ai laissé tomber les feuilles. Je tremblais, je pleurais. J'avais tellement mal. Mal pour lui et moi, mal pour cet être que j'étais censé mettre au monde. Il hésitait, sûrement parce qu'il voulait me prendre dans ses bras. Mais il avait peur, sur son visage je le voyais. Je me suis donc approché puis je l'ai serré, il enroula instantanément ces bras autour de moi.

Princesse de Tess IIOù les histoires vivent. Découvrez maintenant