Chapitre 23:
Je cours à travers les couloirs du train, bousculant tous les passagers qui se trouvaient sur mon chemin.
En pleure.
Comment a-t-il pu me dire ça?
Je ne veux jamais le revoir.
Je sais que derrière cette pensée je pense le contraire car je l'aime, contrairement à lui...
Je fonce avec l'aide du peu de force qu'il me reste, les yeux brouillés par les larmes.
Quand soudain, je percute une personne.
Assez imposante et impressionante.
C'est un garçon aux environs des 18 ans, grand, mince, tatoué.
Le garçon: He! Fait attention!
Je n'ai même pas la force de m'excuser.
Le garçon: Ohoh! Ta mère t'as pas appris la politesse? Tu sais pas parler ou quoi?
Je pleura de plus belle.
Le garçon: He, pourquoi tu pleures?
Je leva le regard vers lui. Il a pitié de me voir comme ça, de toute façon j'ai toujours apporté de la pitié aux gens.
Je n'ai pas pu le regardé en détail tout a l'heure, alors c'est ce que je fais.
Il est vraiment très beau, il a les yeux d'un brun aussi aussi foncé que ses cheveux.
Il a un écarteur et un percieng à la lèvre inférieure.
Le garçon: Ça va?
Je me sens idiote, depuis tout à l'heure je le reluque, plantée là, devant lui.
Mes pleurs se calment et je finis par laisser sortir un son de ma bouche:
- Oui, oui... Enfin non.
Il m'attire dans la cabine, déserte qui se trouve à côté de nous.
Il ne me veux pas de mal, je le vois.
Le garçon: Je m'appelle Nate.
Me dit-il en me souriant.
Je finis par lui répondre.
Moi: Clara.
Je lui rends son sourire, une larme me parcourant le visage.
Nate: Qu'est-ce que t'as?
Moi: C'est une longue histoire.
Nate: J'ai tout mon temps. Si tu es d'accord pour me l'accorder.
Clara: Je ne sais pas, je ne te connais même pas!
Nate: Tu sais, parler à un inconnu est souvent beaucoup mieux pour vider son sac.
Je lui souris puis lui raconta tout.
Ce n'est qu'un inconnu mais ça fait tellement du bien de parler sans être juger.
Sans trop savoir comment réagir après ce que je viens d'annoncer, il me prends dans ses bras.
Je suis surprise mais je ne me débat pas.
Nate: C'est qu'un connard.
Je me dis qu'il a raison.
Il poursuit en me disant:
- Je suis sûr qu'il ne te mérite pas.
Je n'en suis pas sûre.
Mais je lui répondis par un "merci".
Il me sourit en retour.
Nate: Tu descends où?
Moi: Au dernier arrêt, et toi?
Nate: Pareil. Tu habites là-bas? Là où on descend?
Je lui dis que oui.
Nate: Je passe deux semaines là-bas. Chez un pote.
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Il y aura deux étoiles de plus dans le ciel ce soir.
Подростковая литератураUne histoire d'amour entre deux adolescents.