2.Le champ

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Les heures passaient et je ne savais toujours pas me défendre. Voyant cela l'administration voulu me donner un petit coup de pouce en stimulant mon cerveaux à l'aide de décharges électrique destinées à de la stimulation neurosensorielle. Bien évidement je me suis posée la question : pourquoi voudraient-ils m'aider ? Je n'ai pas la réponse à cette dernière mais je trouve cela bizarre.

J'entrais donc dans une foire plutôt grande, avec au milieu une table allongée surmontée de bobines et autres équipements farfelus tels que des branchements de toutes sortes et des tableaux de bord.

On me fit m'allonger sur la table après quoi je me suis dit par hironie :

— Ho sa va tu vas pas te faire charcuté, non non loin de là...

Un interphone retenti et jasa les paroles d'une femme :

— Très bien, le processus vas commencer. Prête ?

— Heu sincèrement ? Non.

— Et bien désolé mais tu n'as pas le choix. Lancement du processus.

Ce fut douloureux, comme des milliers de Fourmis circulant dans ma tête. De suite je fus transportée par d'étranges visions, comme si j'étais dans la chair de tous ceux qui étaient autour de moi. Je me transportais dans l'esprit de chaque individus qui se trouvait à proximité de son prédécesseur tel une ligne bleuâtre transperçant le torse de chaques individus. Puis d'un coup une décharge surpuissante me frappa à la suite de quoi je m'évanouis, sécant ainsi mes hurlements d'agonie.

Une fois l'opération achevée j'eu ouvert les yeux. Le réveil se passa sans trop de procédures et je suis reparti pour la salle d'exercice. Sans m'attarder j'ai pris le kaïru (la lance) et j'ai enchaîné mon prof avec des coups acrobatiques que je n'étais auparavant pas capable de faire. Saltos carpé, jeu de mains, costales, j'avais dévloper une souplesse et une agilité hors du commun. Après avoir poussé un juron accidentellement j'ai dit :

— Ça a mieux marché que se que je pensais !

Soudain d'étranges berlue vinrent me causée d'extrême douleurs. J'y voyais une gamine et son papa s'embrasser en pleur à la suite de quoi je suis tombée dans les pommes, encore une fois.

Je me suis réveillée sur mon lit a cinq heures du matin avec à mes côté une chaise portant de nouveaux habits pliés. Il s'agissait d'un jean moulant noir, d'un débardeur gris laissant à nu le ventre et d'un manteau en cuir noir avec un symbole étrange représentant trois alvéoles rouge disposées sur l'épaule. En voulant les attraper, je vis une lettre plier au sommet de la pile de vêtement. Je l'ai saisi, l'ai ouverte et celle-ci véhiculait le mot suivent :

« Porte ce manteau et honore le. Il t'aidera à accomplir de grandes choses. »

   Je ne savais pas du tout pourquoi c'était là, ni quel était-ce que ce symbole. Mais une chose était sûre : C'était maintenant que le combat allait débuter et on allait tous voir si j'étais une survivante ou... Une timorée.

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RENDEZ-VOUS CHAPITRE 3 !!!!

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