13.L'exile

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C'estaprès avoir parcouru des kilomètres dans cette agrégation aréiqueque j'aperçus un peu plus loin un grand centre commercial àmoitié recouvert de sable. Je me suis approchée de la ported'entrée et ai brisé l'une des grandes baies vitrée à l'aide dema crosse, puis avec un effort monstre faute de mes blessures j'aifranchis celui-ci. Ainsi se laissaient apparaître d'insondablesmagasins malheureusement tous plongés dans une ambivalence profonde.j'allumais la lampe qui était scotché au canon de mon arme et desuite le faisceau de cette dernière illuminait plus précisémentles logo et couloirs de chacune des boutiques. En levant la tête surla porte du magasin à côtés de moi je vis le mot tout tracer« I-Shop », il devait sûrement y avoir de la bouffe, del'alcool pour cicatriser mes plaies et autres blessures. C'est doncen entrant que je balayai les rayons en prenant tous se qui mepassait sous la main c'est à dire des boites de conserves, une pileet un shewin-gum, et sur le point de retour pour partir un mal decrâne me vint tout à coup. J'entendais la voix de Jade qui meparlait.

- Chloé! Dit nous où tu est, fait nous un signe ! Chloé je t'ensupplie !!!

Méprisede suplices je trébuchais et passais par la vitrine du magasin avantde percuter le sol du coursive se qui provoqua un son qui fit échodans tous le centre. J'ai faite silence pendant quelques secondesavant d'entendre vociférer un cris sourd annonçant l'arrivéesubite d'une mystérieuse silhouette virulente et sanguinaire au boutdu couloir. cette personne ou cette chose se mit à assaillir versmoi avec ardeur, j'ai prise mon kaïru et l'ai interposé entre luiet moi pour ensuite le repousser.

jereculais en rampant pour prendre mon automatique un peu plus loinpuis lui tirais une balle dans la tête au moment où il seredirigeait vers moi. Produisant un tapage plus fort une horde de cessortes de choses se mit à courir en ma direction, je me suis relevéeet ai prise la fuite vers les escaliers. Détalant les marchesjusqu'au toit, j'ai enfoncé la porte puis ai regardé derrière moivoyant ces monstres se marcher les un sur les autres pourm'atteindre. J'ai prise de l'élan puis ai courue pour ensuite sauterdu haut du toit et espérer que le sable amortirait ma décadence.Dans les airs je me suis retournée, ai prise mon flingue, puis aicollé plusieurs obus sur eux faisant sourdre dans l'air leur sangcoagulé noir avent de me fracasser au sol. Une fois amortie parcelui-ci et les monstres repartis faute de la lumière qui leurs estinsupportable, j'ai affirmé :

-OK, les centres commercial on oublie.

Durentpresque toute la journée je n'ai faite que marché, en titubant mêmeà certains moments. Ça n'a été que vers environ 19H37 que j'aitrouvé un abris où me réfugier, d'autant plus que mes sévices mefatiguaient encore plus vite. C'était un volumineux stade quiémergeait du sable dont les bordures étaient submergés de bistellement le gravillon était présent sur ses derniers. J'ai forcéla porte qui menait jusqu'au gradins puis ais éparpillé mesaffaires dans le hall qui entraînait justement aux stalles.

-merde le feu, c'est ça que j'ai pas. Attend j'ai une idée.

J'aiprise la pile et le chewing-gum du magasin de tout à l'heure et aiarraché soigneusement l'aluminium du chewing-gum. J'ai collé chaqueextrémité sur les deux côtés de la pile, se qui a créé un arcélectrique et a court-circuité la pile mettant ainsi le feu à lalamelle d'aluminium. J'ai empilé plusieurs bouts de cartonsdésertant et cela me fit un campement provisoire pour la nuit où jene tarderais pas à aller somnoler après avoir manger un morceaux etm'être désinfecter mes plaies. C'était impressionnant, c'étaitcomme un désert mais avec des bâtiments ou des toits de bâtimentssortants de la grève. L'ydrosphère était macabre et desrugissements vibraient dans l'air.

Pendantmon sommeil j'ai été submerger de visions où je pouvais voir Jadequi me hurlait sans cesses la même chose:

-Chloé ! Chloé, tu vas bien ?! Où est-tu bon sang ? Chloé, parlemoi !!!

SISTER'S CONNECT ( En Réécriture )Où les histoires vivent. Découvrez maintenant