14.Carnation familière

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-13H50-

Mevoyant préparer mes affaires, l'inconnu vêtu de nébulosité vintme rejoindre.

-Tu compte aller où au juste ? Dit-il.

-je retourne à la forteresse des reapers ( résistance ), il me resteencore beaucoup à accomplir.

-bien. Bien, alors prend soin de toi et bonne chance pour le reste.

Jeme suis retournée avec interrogation et ai demandé :

-Tien au fait, comment tu est arrivé ici ?

-je faisais parti de la résistance moi aussi. Mais ils n'ont passupporté que je voue mon amour à la femme de ma vie, alors ilsm'ont rejeter.

-ho, heu je suis navrée vraiment. Lui ais-je dis un peu embarrassée.

J'aiprise mon hast, ai fête une accolade à cet homme en guise deremerciement et suis partis en direction de la forteresse.

*

Jeparcourai les terres chaudes sur le dos de Némé quand soudain unbruit répétitif surgit, le vent était fouetté par un objetrotatif, c'était Solange. J'ai prise mon kaïru et ai fête chaufféles lames à la suite de quoi j'ai marqué en grosse lettres au sol"SOS", c'est là que plusieurs hélicoptères sont apparusau dessus de moi et sont venus se poser à côté où Solange estvenue me prendre pour m'aider à marcher jusqu'à l'autogire.

-T'en fait pas Chloé, on rentre à la maison. Dit-elle.

-Comment t'as fais pour me retrouver ?

-Ta radio HTS, j'ai réussi à la détécter et à te pister, t'asfait le reste du boulot en l'allimentant avec la chaleur du soleil.

Sortant de l'appareil une fois au blockhaus, j'ai vue Lincolnm'attendre dehors aux côtés de Morgane.

-Chloé tu nous a manquer, tu vas bien ?

Toutde suite Jade coupa la parole à Lincoln et se dirigea vers Morgane.

-Hey, toi !!! Hurlât-elle à Morgane après quoi elle luidécocha une droite dans la mandibule qui dû à une cause à effetsles soldat Reapers braquèrent leurs armes sur Jade.

-hey, jade arrête c'est pas grave. Répondis-je.

-viens je vais te mener à ta chambre il faut que tu te repose, OK?dit Solange.

-OK.

Réveilléepar l'alarme de l'alcazar j'ai ouverte la porte de ma couchette et mesuis vite faite couper la route par plusieurs personnes toutescourant dans la même direction, j'ai donc faite de même et suispartis aux pas de course. C'est une fois réunis face à l'immenseporte de l'édifice que j'ai aperçus de l'autre côtés unestature se rapprochant, bizarrement elle ne m'étais pas étrangère.Il s'agissait de Bellami, le garçon que j'ai rencontré avant departir en Assantion. J'ai ordonné aux gardes d'ouvrir lestraverses de métal protégeant la forteresse et ai courus de suitele rejoindre où celui-ci tomba genoux à terre de faiblesse.

-Bellami tu vas bien ? Comment tu est arrivé là ?! Dis-je assezsurprise.

Ilchuta nez à nez avec moi et me répondit exténuer ainsi que remplisde plaies et d'entaillages

-mon clone... Je l'ai tuer.

J'aibramé à l'aide et des médecin sont venus s'occuper de lui. Au boutde plusieurs jours de sommeil paradoxal, Bellami se réveilla avecmoi à ces côtés.

-Salut, comment tu te sens mon grand ?

-Aïe, ça pourrait aller mieux. Me répondit-il souffrant énormément.

-Dit moi, comment est mort ton clone ?

Uneaffliction profonde a envahie son visage.

-Arthur, c'était son nom, Arthur. On étaient tout les deux dans uncentre hospitalier à se battre quand, en voulant m'abattre je lui aiplanté un scalpel dans le cœur.

-je suis désolé, ça a dut être dur pour toi. ça ne t'attaque pasmoralement ?

-pas un jour ne passe sans que son visage n'apparaisse sur celui detout le monde. »

Bellamitenta de se lever en se tenant à moi mais a chuter en m'emportantavec lui au sol. C'est là que nos mines se sont retrouvées face àface et ne se quittant plus des mirettes, nos lèvre sont entrées encontact. Après un long baisé de plusieurs minutes il me demanda dele conduire à Lincoln se que j'ai fais. Nous avons pénétré toutdeux dans la cours où se trouvait Lincoln entraînant des recrues etje l'ai interrompus.

-Lincoln, mon amis voudrait te parler.

-bien je t'écoute, qu'as-tu à dire ?

-je souhaite intégrer la résistance monsieur, je vous en supplie jevous suis redevable et je n'ai nul part où aller. S'il vous plaît,je suis un brave soldat. Dit Bellami.

-mmmmm sais tu te battre au moins ?

-Oui monsieur, mieux que personne. Avança Bellami.

Aprèsdeux minutes de réflexion Lincoln répondit.

-Bien... C'est d'accord. Après tout un de plus ou de moins, que ceque ça peut bien faire ?

-Vous savez monsieur, je connais un fameux proverbe qui dit : "Si tu te sent trop petit pour changer les choses, alors passe la nuitavec un moustique. "

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