Entre Terre Et Lune

Tsunami

Je sais, je sais. Je n'ai pas publié depuis longtemps mais ma vie a été une suite interminable d'événements. Je m'excuse de l'attente. Et puis j'hésitais sur quoi ou plutôt quand va se passer la suite.

Tris c'est taillé les veines mais Quatre est arrivé juste avant que ce soit trop tard. Tris a été hospitalisée et elle est ressortit de l'hôpital avec l'interdiction de retourner au lycée

Tris

Je pénètre dans ma maison après m'être promener près du lac. Je file vers ma chambre. J'ouvre doucement la porte entrebâillée et voyant dans quelle état elle est je laisse échapper un petit cris d'effroi. Les fenêtres sont brisées, mes livres, mes vêtements toutes mes affaires sont éparpillées par terre. Mes murs sont tagués en rouge avec les messages "Tu n'est même pas capable de te tuer, tu n'est vraiment nulle a tout!", "Trop peur pour nous affronter?", "Oh non, j'ai oublie ta fête, bon bah bonne sainte Rémi en retard", "Un parasite comme toi en moins, ça nous laissera en paix" et plusieurs trouillarde un peut partout.

Pendant que je contemple ma chambre, des larmes salées de désespoir coulent le long de mes joues avant de s'écraser sur mon parquet. Sans que je le veuille toute force me quitte et je m'écroule sur le sol froid et me met a pleurer incontrolablement.

Quand est ce que tout ça va enfin cesser? Pourquoi moi? Est ce que je le mérite? Oui car je suis incapable de me défendre seule, je suis faible, moche est stupide, je n'ai que ce que je mérite. Pourquoi suis-je née si c'est pour polluer ce monde déjà irrécupérable?

Alors que toutes ces question ce bousculent dans ma tète. Le tsunami de désespoir qui engloutis tout espoir qui reste en moi, se transforme en une éruption volcanique dont les cendres et la lave sont une colère incontrôlable. Les cendres envahissent toutes mes émotions. Je pleure toujours mais cette fois ci ce sont des larmes de rage. Je me met a hurler a donner des coups dans tout ce qui m'entoure. Je cris tellement que ma gorge me brûle mais c'est sensation agréable'.

En relevant les yeux je remarque la carte du monde ou javais indique les endroits ou je suis allée et ou je voudrais aller. Je sais, je vais partir.

M'y voila, je suis devant ma maison regardant le lieux ou j'ai vécu toute ma vie. Je m'avance dans les rues en courant, je jette un dernier regard derrière moi. Je vois ma maison rétrécir petit a petit que j'avance. Je pars laissant les décombres dune vie tourmente par les tornades de méprit des autres détruisant tout espoir en moi.

Je veux juste fuir quelque pars ou je me sens en sécurité, je veux juste fuir dans un endroit ou je peux rester.