Partie 2

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  Je quitte le commissariat et le chauffeur de taxi me ramène. Une fois chez moi, je le paye à nouveau et rentre dans ma maison. Je pose mes affaires dans une chambre et je descends dans le salon. Il est très joli. Je tourne sur moi pour mieux le regarder quand je tombe sur une banderole accrochée au mur où il y a marqué « que le jeu commence ».

Quel jeu ? Depuis quand on s'amuse avec des personnes qui ne souhaitent pas jouer. Est-ce la même personne qui aurait attaché tous les articles de journal dans la chambre d'hôpital ? Quel intérêt à t'il a faire cela. Je suis en pleine réflexion quand on sonna à la porte. Je me dirige vers la porte d'entrée pour ouvrir à la personne qui m'avait arraché à mes pensées. J'ouvre et aperçu deux garçons devant le seuil de ma porte donc un qui m'est familier, mais où leur ais vu.

Moi : Bonjour, je peux vous aidez ? 

-Bonjour, je m'appelle Dylan Coll et voici Caleb Patterson. Tu vas trouver ça bizarre, mais aurais-tu une banderole suspendue dans ton salon ?

Comment ils savent que j'en ai une ? Ils l'auraient mise ? Non, je ne pense pas après tout, ils font partie des 100 familles touchées par les meurtres, et ce Caleb pourquoi j'ai l'impression de l'avoir déjà vu. Ferrait-il partie de mon passé.

Dylan : Élie ?

Moi : Pardon. Attendez comment connaissez-vous mon prénom ?

Dylan : Nous savons que tu revenais vivre ici. Alors as-tu une banderole et excuse-moi d'insister.

Moi : Cela ne vous regarde pas, bonne journée.

Je referme la porte dès que j'ai fini de dire ma phrase. Je cours vers le salon et je l'ôte de toutes mes forces.

-Tu vois, elle en a une elle aussi.  

 Je me retourne en sursautant de peur, mais ils sont culottés de rentrer comme ça chez moi.

Moi : Il me semble ne pas vous avoir invité donc sortez de chez-moi où j'appelle la police.

Caleb : Vas-y, je t'en prie.

Dylan : Caleb calme toi. Élie, on ne te veut aucun mal, mais on a besoin de ton aide, la prochaine famille qui sera touchée par les meurtres sera la famille de Caleb.

Moi : Comment vous le savez ?

Dylan : L'année dernière, c'était ma famille enfin une partie, car à chaque fois qu'une seule partie de la famille est touchée, il ne la touche jamais en entière.

Moi : Pourquoi ? 

Dylan : Pour répéter encore et encore les meurtres. 

Moi : C'est sadique. 

Dylan : Oui en effet. On peut jeter un coup d'œil à la banderole ?

Moi : Oui allez-y.  

Je les laisse regarder pendant que moi, je les observe. Si comme il me l'a dit, les Coll étaient les victimes de l'année dernière, ma famille cette année et l'année prochaine celle de Patterson ça veut dire que c'est le troisième quartier qui est touché. D'un côté, ce n'est pas très logique, car on sait qui sont leur prochaine victime si je peux dire, la famille Patterson. Je l'ai pleins savoir qu'ils sont les prochains doits être horribles comme sentiment. Ce dire, il me reste un an ce n'est pas beaucoup.

Caleb : C'est exactement la même que moi et toi. Sais-tu quand elle aurait pu être mise ?

Moi : Non je viens d'arriver aujourd'hui dans ma maison. Attendez peut-être que c'est Andrew Lord qui l'aurait mise.

Caleb : Cela ne m'étonnerait pas.

Dylan : Moi je ne pense pas, car après tout il fait partie des 100 familles. Je vous l'accorde, il est loin d'être aimable au premier abord, mais de là à faire ça, je ne pense pas.

Moi : Même si j'ai eu une mauvaise rencontré et un différent avec, je ne le connais pas puisque je viens d'arriver.  

  Dylan : Alors c'est bien vrai, tu n'as plus aucun souvenir, c'est toujours mieux que ton sort initial.

Moi : Excuse-moi, mais tu entends quoi par mon sort initial ?

Dylan : Rien laisse, oubli ce que j'ai dit.

Moi : Non

Caleb : C'est bon en gros, il voulait dire que tu devais mourir voilà maintenant vous m'aidez ?

Moi, je ne réagis pas, je devais mourir alors pourquoi je suis en vie au jour d'aujourd'hui ? Pourquoi je ne comprends pas. Ce sont toujours les plus jeunes qui survit à moins que...

Moi : Je n'étais pas la plus jeune, c'est ça ?

Dylan baisse les yeux, mais il me répond.

Dylan : Non, tu avais une petite sœur qui avait 9 ans.

Moi : Alors pourquoi je suis en vie et pas elle ?

Dylan : Personne ne le sait, mais c'est la première fois que cela arrive.  

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