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-S'il y en a un seul qui a touché ma ma mère, je le tuerai dans d'atroce souffrances, murmurais-je.

-Nous savons à qui nous en prendre, nous ne sommes pas des êtres sans cœur, tu nous perçois de cette manière à cause de se qu'ont t'as fait, mais nous n'en sommes pas.

-Ce que vous m'avez fait, n'est-ce pas une preuve que vous êtes des monstres? sifflais-je, qu'avais-je fait qui puisse vous faire croire que j'étais un danger pour vous?

Silencieusement, des racines commencèrent à percer dans le sol. Seul leur pieds furent immobilisés, mais au premier faux pas, ils mourraient tous. Et ils le savaient. Ils venaient de pleinement réalisé le pouvoir de vie et de mort que j'avais toujours eu sur eux.

-En venant ici, je ne sais pas ce que vous cherchiez, mais la seule chose que vous avez obtenue, c'est une mort quasi assurée! m'exclamais-je.

-Ce que nous voulions? Tu t'en doutes.

Ils étaient tous venus ici dans l'espoir de ravoir leurs ailes.

-Donnez-moi une seule bonne raison de vous rendre vos ailes. Je n'ai aucun remord et aucune pitié pour vous, trouvez autre chose.

Il y eu un silence.

-Nous voulons changer de roi, changer la manière de gouverner, changer notre monde. 

-Je pourrais le faire moi-même.

-Il faudra des gens pour gouverner...

-Et vous avez l'arrogance de vous croire meilleur que le roi actuel? Vous pensez que serez moi... Cruel? Vous avez le mot qui cicatrise encore sur votre front. 

-Et toi? Tu te penses meilleure que nous, plus à même de gouverner?

Ils étaient tous en colère, mais qu'importe.

-Et quand aie-je prétendue être meilleure que vous? Quand aie-je dit vouloir gouverner? Je ne suis pas un ange, je le reconnais, mais je ne fait rien pour rien. Contrairement à vous. J'ai sondé vos esprit, vous n'êtes pas totalement mauvais, mais vous êtes assez présomptueux pour vous croire plus intelligent que tout autre personne en ce pays. Vous avez pensé être supérieur aux fées qui ne sont pas comme vous. Vous les blâmer pour leur racisme, mais vous n'êtes en rien meilleur qu'eux. 

Je commençai à ranger des choses importantes, à faire mes bagages.

-Prépare tes affaires maman, nous partons ailleurs.

Après une heure, tout fut prêt. Je me transformai en dragon, et des cris se firent entendre aux alentours. Ma mère accrocha nos maigres possessions, et nous partîmes, en arrêtant chercher mon père. 

En route, pour un monde où personne ne nous jugera, si un tel monde existe...

La demi-féeOù les histoires vivent. Découvrez maintenant