La demi-fée

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Je lui pris mes ailes et les cicatrices encore fraîches sur mes omoplates se ressoudèrent directement au prix d'une bonne partie de mon énergie. J'ai été chanceuse, elle ne les avait pas cachées avec mes yeux. Sa aurait été long pour arriver à destination sinon.

-Je te pardonne... Papa.

Et je parti, mais j'eu le temps de sentir son espoir. Je me sentais bien et pas seulement parce que je m'étais vengée.

Je pris la direction de la frontière, mais je fit un arrêt avant.

-Maman?
Ma mère adoptive, ne vous trompez pas.

-Wistelia?!

Elle mit ses mains devant son visage et commença à pleurer. Elle ouvrit ses bras. Et je la serrai fort.

-Je dois retrouver mes yeux. Mais je vais revenir et ont vivra toutes les deux ensembles. Et si le roi nous fait des misères et bien ont partira vivre ailleurs, avec un peuple qui nous accueillera mieux. Sa te va?

-Je ne tiens à personne d'autre que toi, personne ne me manquera. Reviens vite.

-Peut-être mon père viendra-t-il avec nous aussi. J'ai... J'ai réussi à lui pardonner.

-C'est bien. Je pense que c'est une bonne personne.

-Quand je reviendrai, je te raconterai tout ce qui s'est passé, d'accord.

-D'accord. Je t'aime Wistelia.

-Moi aussi, maman, de tout mon cœur.

Je sorti sans rien prendre, sa ne ferais que me ralentir. Grâce à ma perception des étoiles, que je sentais briller même sans la vue, je me dirigeai vers la cache, de l'autre côté de la frontière du monde féerique. J'entrais dans un monde hostile, menaçant, mais sans aucune chance de me combattre.

La frontière est comme... Magique, les humains diraient. Les humains ne la voient et à moins qu'un membres de la communauté surnaturelle l'ai fait entré, le monde féerique, comme la plupart des autres monde comme l'océan souterrain ou les autres, ont des portes d'entrés qui ne sont pas utilisable par les humains.

Je traversai la frontière. La frontière est bordée d'arbre qui mènent à différentes destination. Passe entre les arbres, et tu tomberas dans le néant.

Je choisi minutieusement le bon arbre en les sentant et en identifiant l'odeur d'une carcasse d'animale. Je l'ai vu dans les souvenirs de ma génitrice.

Ils étaient cachés, mais pas protégés. Ce fut facile. Cela m'avait pris le temps pour me rendre et pour revenir, en volant, donc à peu près trois jours et j'étais revenue.

-Je suis de retour!! T'es prête maman?

-Va t'en!! Ils sont là!! Ils sont venu se venger!!