Hakuouki: Hi No Akuma

Prologue

L'histoire se passe il y a maintenant plus de 2 siècles. A l'époque, l'ère des guerriers y régnait ainsi que les plus grandes croyances des forces surnaturelles. Le Japon, à cette époque dirigé par l'empereur, est protégé par diverses forces au service de la communauté ayant pour rôle de les protéger de toute sorte de menace. Il y a une organisation particulière, ou sont rassemblés toute sorte de guerrier connu sous le surnom de loups de mibu. Ces « loups » sont en réalité une sorte de police travaillant directement au service de grands généraux, assistant en plus des problèmes civils, aux conflits internes du pays. Cette mystérieuse organisation, malgré leur sale réputation est dirigé par un homme sage et très ouvert : Kondo Isami, secondé par Sannan Keisuke et Hijikata Toshizo. Malgré ce que l'on pourrait croire, ces hommes sont des guerriers ayant un grand sens de l'honneur et de la fierté. Ils donneraient leur vie pour le shisengumi ! (Tout comme leur compagnons) mais il peut leur arriver parfois, de faire preuve d'insensibilité pour leurs ennemis ce qui est en partie la cause du mépris de ceux qu'ils protègent. Un jour, ou plutôt une nuit, ils attaquèrent une organisation clandestine dirigée par un grand fanatique de pouvoirs surnaturels, Zeifir Ouri. Selon plusieurs informations donnés par les espions, Cet homme aurait fait prisonnier depuis quelques années une créature surnaturelle aux pouvoirs plus que puissants. Cette créature serait tout ce qu'un humain pourrait craindre ; un démon. Bien sur, Ce n'est pas cette « rumeur » qui pourrait les effrayer mais, lors de l'attaque, Hijikata avait en effet trouvé un prisonnier retenu en captivité depuis quelques temps...Ou plutôt une prisonnière ! Mais elle ne semblait pas si dangereuse à première vue et son état n'arrangeait rien. Les cheveux décoiffés, les vêtements déchirés, les poignets en sang à force d'être attachée par des chaînes. Cette jeune fille, bien que faible à ce moment là, était parfaitement consciente et dégageait même une aura étrange selon le vice capitaine. Quand il s'apprêtait à la libérée, un des ennemis attaqua le vice capitaine de derrière. Alors qu'il allait se retourner, il fut arrêté par une mystérieuse force invisible qui le tenait aussi fort que la poigne de plus de dix hommes Il se tourna vers la jeune prisonnière, qui était cette fois debout, et remarqua quelque chose d'on ne peu plus étrange. Des espèces d'ondes de diverses couleurs tournaient autour d'elle, ses cheveux s'élevaient comme si une bourrasque de vent était apparue et ses yeux, au début d'un bleu océan, s'étaient teintés d'un rouge vif ! Elle écarta le vice capitaine de son bras en prononçant un faible « écartez vous » puis s'approcha de l'ennemi. Celui-ci était terrifié voire paralysé. Il n'arrivait plus à bouger ! Ses membres tremblaient et son regard était teint de terreur. Il prononça, avec un grand effort.

-Mais.... qu'etes vous donc ?

La jeune fille prononça des mots incompréhensibles avant de lui répondre, d'une voix glaciale.

-Je suis celle que vous n'aurez jamais du mettre en colère vermines !

Cette phrase dite, la jeune fille fit un mouvement avec son bras qui fit agenouiller le guerrier à ses pieds. Elle se pencha lentement, regardant sa « proie » se débattre puis d'un geste vif, agrippa sa main au cou de la victime. Elle serra fort, très fort. A tel point que l'homme peinait à respirer. Le vice capitaine essaya de s'interposer mais, en voyant les ondes tourner de plus en plus rapidement autour de la prisonnière, se ravisa. Elle commença alors à prononcer des mots étranges, semblant commander les ondes.

-ö toi qui m'as détruite, reçois ma punition, réduis cet homme à l'agonie, sans regret ni compassion !

Les ondes entrèrent à l'intérieur de l'homme, puis d'une rapidité déconcertante, s'arrachèrent de son corps, le transperçant de toute part. Le guerrier ne pu retenir un cri étouffé, avant de s'effondrer lourdement au sol. Le vice capitaine s'approcha de lui et tendit sa main vers son pouls. Il ne sentit rien : l'homme était mort. Bien que choqué, il se tourna vers la responsable de ceci et, d'un geste vif, lui fit une pression sur son poignet qui la paralysa aussitôt. Il en profita pour la frapper au ventre, l'assommant sur le coup. Il la porta sur l'épaule puis sortit de cette pièce maintenant « parfumer » par l'odeur de la mort. Il ne laissa pas à ses compagnons le temps de leur expliquer et se contenta de dire :

-On s'en va.