Chapitre 6

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Point de vue Rosaline :

Pendant la journée d'hier où j'ai appris que "Mada6889" était l'Alpha Suprême, j'ai réfléchie a ce que je pourrais dire si jamais ils me disaient que je devais être accompagner pour ma sortie en cas de problème.

Il est quatorze heure moins le quart et je suis déjà prête pour ma sortie. Je suis toute exciter de sortir enfin de l'hôpital. Voulant être en avance je sors de ma chambre et me dirige vers l'accueil pour les informer que je part et que je revient dans une heure. Enfin on sait tous que je ne vais jamais revenir ici. Heureusement ils ne m'ont pas dis qu'il y aurait quelqu'un avec moi.

J'ai pris avec moi l'argent que j'économiser à noël, je sais que ça ne fait pas beaucoup pour m'acheter des vêtements pour remplacer ceux que j'ai dus laisser là-bas pour ne pas éveiller les soupçons. Mais bon je verrais bien plus tard.

Je respire un bon coup et me dirige vers le parc qui est normalement à droite de l'hôpital enfin je crois. Je marche depuis dix minutes et toujours rien. Pourtant l'infirmière m'avait dis que ça ne prenait même pas cinq minutes, je crois que je me suis tromper de direction. Il ne me reste plus qu'à refaire le chemin en sens inverse.

Je repère enfin je parc au bout de quinze minutes de marche. Je suis donc en retard de dix minutes, j'espère que ceux qui devais venir ne sont pas partis. Je repère à l'autre bout du parc une petite limousine avec deux gardes, enfin je pense, qui regarde autour d'eux à la recherche d'une personne. Je m'avance lentement épuiser par la marche que je vient de faire et me poste devant eux.

- Est ce que c'est vous que l'Alpha Suprême a envoyer pour me chercher ? Demande-je.

- En effet. Monter dans la voiture. Dit-il en ouvrant la porte arrière.

J'y entre et je me retrouve sur des sièges en cuire de couleur beige, sur un des cotés il y a un petit bar avec beaucoup de bouteille d'alcool. Je me demande quel goût ça a.

Au bout d'une heure de route je commence a m'ennuyer donc je décide de compter mon argent.

- Vingt,... quarante,... quatre-vingt dix,... et cent.

Mince je croyais en avoir un peu plus. Bon j'espère au moins en avoir assez pour m'acheter deux pantalon, quelque tee-shirt et une paire de chaussure. D'un coup j'entend le téléphone du garde assis coté passager sonné, il décroche mais de là où je suis je n'entend pas ce que son interlocuteur dit.

- ...

- Oui.

- ....

- Bien je m'en occupe.

- ....

- D'accord je leur dirais de mettre à votre nom.

- ....

- Au revoir.

 À mon avis c'est l'Alpha Suprême qui lui a téléphoné mais je ne sais pas pourquoi. Bon je regarde par la fenêtre et remarque que nous sommes arrivé près d'un centre commercial. Je n'ai pas le temps de demander pourquoi que celui qui a répondue me dis.

- L'Alpha Suprême nous a demander de t'accompagner quand tu achèteras t'es vêtements. 

J'avais informé hier à l'Alpha Suprême que j'aurais sans doute besoin de m'acheter des vêtements, bien sur comme je ne lui avait pas dis que j'était malade et que par conséquent j'habité à l'hôpital, il me faudrait donc m'échapper de l'hôpital. 

Je sors de la limousine et marche en direction d'un petit magasin où j'ai remarqué une petite robe toute mignonne. Elle est noir avec les manches et un peu du haut de la robe en dentelle, j'était surprise de trouver une aussi belle robe dans ce genre de magasin à un aussi bas prix. C'est avec sans hésitation que je la prend à ma taille, j'ai eu du bol car il ne rester que celle en vitrine et elle était à ma taille ! Je remarque aussi deux tee-shirts et un pantalon. Ça a fait du mal a mon porte-monnaie tout ça, il ne me reste plus qu'une dizaine d'euros et ça ne sera pas assez pour une paire de chaussure.

Je ressort du magasins avec mes achats et part en direction de la limousine suivit des deux gardes. J'ai appris qu'ils s'appelés Henry et Marc, a mon avis ils sont frères car ils se ressembles beaucoup, ils ont les mêmes cheveux blond et les yeux vert. 

- Vous ne prenez que ça en vêtement ? Dit Henry.

- Bien sur je ne roule pas sur l'or. Rétorqué-je.

- L'Alpha nous a dit que vous pouvez prendre autant de vêtement qu'il vous faut il les payeras.

Non mais il croit que je suis pauvre où quoi. Enfin si je le suis mais je ne peux pas accepter qu'il m'achète des vêtements que je ne pourrais mettre qu'un an. Ça serait du gâchis. Mais comme je n'ai pas assez pour m'acheter une paire de chaussure je pourrais accepter. Et puis si ça lui fait rien de me payer quelque chose.

- Bon d'accord suivez moi, il me faut une paire de chaussure.

Je retourne sur mes pas et je vais cette fois dans le magasin qui est juste a coté de celui où j'ai acheter mes vêtements. Il y a beaucoup de choix mais ce n'est pas ce que je recherche. Franchement je crois qu'il y a une promos sur les chaussures à talons parce que les trois-quarts des chaussures sont avec des talons. 

- Mademoiselle ? Vous recherché quel genre de chaussure ? Me demande une employer du magasin.

- Je cherche une chaussure sans talon, confortable et pas trop flashy.

- Suivez moi,... vous mettez quel taille au pied ? 

- ... Du 36-37 il me semble. Répondis-je en la suivant.

Elle s'arrête dans une allé tout au fond du magasin, elle prend trois modèle et me les présentes. Parmi les trois il y en a une que j'aime bien. Elle est un peu dans le style converse mais à un prix beaucoup plus abordable. 

- J'aime bien celle là. Dis-je en pointant celle-ci.

Elle me la fait essayer en 37 mais elle est un peu trop grande donc elle est partis la chercher en taille 36. Et cette fois ça va, elle est ni trop grande ni trop petite.

Je rejoins Henry et Marc dans le magasin pour les informer que j'ai trouver une paire de chaussure. Et sans me prévenir Marc prend ma boite à chaussure et se dirige vers la caisse, je lance un regard interrogateur a Henry mais j'ai pour seul réponse un petit haussement d'épaules. 

Cherche moiOù les histoires vivent. Découvrez maintenant