13/Cauchemar

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La peur est le sentiment qui se présente le plus souvent par des craintes désabusées et amplifiées aux moindres bruits ou mouvement douteux . La peur est aussi le sentiment le plus utilisé pour des raison futiles, erronées et enfantines . L'exemple le plus concret qui est à notre disposition est celui-ci: les enfants ont peur du noir. Ils vont croire à toutes les fables et légendes que l'on leur aura racontées le jour même . Ils finiront par croire ces mensonges que sont le rêve et l'imagination, ils vont croire qu'un monstre sous le lit sera prêt à les dévorer ou encore qu'un être dépourvu d'âme et de corps charnel va traverser les murs et hanter leur cauchemar . Ils vont croire à tout cela , ils allument donc leurs lampes à l'huile croyant que les mauvais esprits craignent la dangereuse beauté qu'est la lumière, mais qui a dit une seule fois que les spectres ou autre créatures nées des enfers la craignait ? Les enfant n'ont pas peur du noir mais peur d'hommes qui ont mal tournés et cherches désespérément le repos éternel . Finalement ils ont peur des morts et non du noir ou de la nuit... mais saviez vous que les enfants ont des sens psychiques que l'homme perd avec le temps ? Hum...cela je l'expliquerai plus tard . Les enfants ont finalement peur des esprits mais l'homme n'as jamais dit que la nuit n'était pas dangereuse. Les enfants ont raison sur un point , je vous laisse deviner lequel...

Il faisait une nuit d'encre pour un soir d'été, les grillons s'en donnait à cœur joie ce qui me rendait encore plus nerveux que je ne l'étais déjà. Christian était plus déterminer que jamais , cela se lisait dans ses yeux, malgré qu'il essayait de garder un visage neutre. Nous venions d'arriver devant le château . Le sang frappai contre ma tempe et mon cœur battait la chamade . Je m'apprêtais à faire la plus grosse bêtise de ma vie . T fit le signal , il lança le grappin qui atterrit pile sur la muraille, il commença à grimper, une fois la-haut on le précéda tout aussi silencieusement qu'il l'avait été . Le vent était fort mais je tenais bon .

La suite fut rapide : les deux gardes qui montait la garde nous mirent en joue mais non pas par des flèches comme je l'espérait mais par des fusils . Ce qui me fit paniquer . Je reculais d'un pas en arrière et malgré l'inutilité de mon geste je fut légèrement apaiser . Ils finirent par tirer, j'eus le réflexe de me baisser pour les esquiver. Il rechargèrent et me visèrent . J'étais pétrifié , impossible esquisser le moindre geste ou même de hurler . Je me sentis rouler sur les quelque mètre de rempart , je n'avais pas bouger, quelqu'un de bienveillant c'était jeté sur moi ,et c'était Christian . On se releva difficilement c'est à ce moment là que nous vîmes T nous faire le signe du salut et se laissé tomber dans le vide avec le grappin qu'il raccrocha à une branche peu avant le point de sa chute mortelle . Le traître venait de s'enfuir en nous laissant ici , sur le rempart, entre deux homme et prêt à nous tuer . Il sauve sa peau au détriment des nôtres .

Je restais pantois face à la lâcheté de T. Je me maudirais plus tard pour ma tolérance car en ce moment même il me fallait rester lucide et reprendre mes esprits . Christian commença à s'en prendre à un des gardes , j'allais lui dire d'arrêter et de coopérer. Mais encore une fois je ne bougeais pas . Et je vis mon ami se faire tirer dessus au niveau du torse par le deuxième . Il s'effondra sur le coups. Le garde qui avait tirer sur Christian me prit par derrière et m'assomma . Je sentis mon corps tomber comme une feuille et mes yeux se fermer avec la vision du corps de Christian d'où s'échappait du sang .

Je me réveilla en hurlant . La première chose que je réussi à penser sans revoir Diane se faire enlever fut : que faisait-je derrière des barreaux ? Les souvenirs revenir au fur et à mesure que le temps s'écoulait , la blessure de Christian me revint subitement en mémoire et je me mis à le chercher du regard . Aucune trace de sa présence . Un mur, trois côtés avec des barreaux, une porte,une chaines; du sang sec depuis pas mal de temps , une écuelle vide voilà de quoi était composer la cellule où je me trouvai. La particularité de ces cellules c'est que seul le mur du fond ne contenais pas de barreau et l'on voyait donc nos voisin de ma prison. Celui à ma gauche était vieux , ridé , les yeux vitreux , il avait du mal à respirer car on entendait clairement sa respiration rocailleuse et irrégulière . Cela devait faire longtemps qu'il n'avait pas vu la lumière du jour car sa peau flétri était d'une blancheur maladive. Il était enchainé aux pieds et celle-ci flottait autour de ceci, il aurait pus les enlever aisément sans même toucher a leur mécanisme d'ouverture . Mon voisin de droite était à mon grand étonnement, un enfant d'une dizaine d'année pas plus ses cheveux sales, son dos vouter et sa chemise en lambeaux montrait de nombreuse séance de torture et du nombre d'année passer dans ce cachot . Frisson d'horreur me parcourue . Un enfant a été torturée mais pourquoi ? Mais ce n'es pas cela qui me fit le plus peur mais mes sens magique venait de détecter que les murs émanait une immense dose de magie protectrice empêchant toute attaque depuis l'extérieur avec des pouvoirs surnaturels. Le seigneur de ce château possédait-il donc des pouvoirs? Si oui, il devait être très puissants car même moi je ne maitrise pas ce genre de magie.

Diane rougeOù les histoires vivent. Découvrez maintenant