11/Que la fête commence!

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La fête bat son plein , enfin j'imagine car je vois les plats passer sous mes yeux . La plupart d'entre nous sont sur des chaises à attendre les commentaires de leur plats , d'autre sont debout entrain de tourner en rond pour les même raison et d'autre ont été admis en service . Je fait partit de la première je crois à la différence que je n'attend aucun commentaire pour quelque plat que ce soit . Aurélie avait été demander en service il y a plus d'une heure .

J'ai donc tout mon temps vu que nous ne somme pas renvoyer dans nos compartiment . Je commence sérieusement à me demander ce que font Christian et Martin . Peut-être qu'ils ne s'occupent pas de mon sort sûr que je sortirais rapidement d'ici pour reprendre notre voyage ? Mais comment s'échapper lorsqu'il y a deux garde de chaque côté de la porte armés et entraînés pour tuer.

Je vois la dame qui m'avait demander de faire la tarte au pomme venir vers moi . Qu'ai-je fais ? Elle arrive devant moi et me dit d'une voix autoritaire :

-Va faire le service .

-Je vous demande pardon ?dis-je abasourdi.

-Je te demande de mettre ces vêtements et de faire le service de la fête qui continue là haut car il manque du personnel , continua-t-elle d'une voix neutre .

Je pris les affaire qu'elle me tendait et partit me changer . Les gardes me laissèrent passer . On me dit de me changer dans la chambre qui m'as été attitré. Ce que je fis . Une fois changer, des gardes m'amenèrent au niveau zéro , si l'on puis dire ainsi , du château . À mon grand malheur on monta encore des étages , trois ou quatre peut être . Les chasseurs me laissèrent devant une porte . Elle s'ouvrit on me laissa entrer.

J'eu l'impression d'être dans une deuxième cuisine . Des plats défilait par millier sous mes yeux . Des odeurs alléchantes embaumais la pièce . La seule différence entre celle d'en bat et celle-ci était qu'une deuxième porte donnait sur une salle où du bruit et de la lumière s'échappait . Un homme assez âgé me tendit un plateau contenant des boissons . Je le regardais d'un œil me demandant ce que je devrais en faire . Il répondit d'une voix sèche que je devais me promener avec parmi les invités et que une fois vidé je devais revenir le recharger. Il partit . Je décida de faire ce qu'il me disait .

J'entrais dans la salle de réception . Un seul mot me vint à l'esprit pour la qualifier : lumineuse . Splendide et magnifique aurait pu me venir à l'esprit mais ce fut lumineux qui vint en premier . En effet on ne voyait goutte derrière les fenêtres mais le nombre de lustre et de bougeoirs nous faisais voir comme en pleins jours . Le plafond culminait à vingt mètres voir plus, recouvert de peinture florale. Les lustres imposant dominait ce jardin de couleur. La salle était de marbre , des tables ,recouvertes de mets fins sur une nappe d'un blanc immaculé, remplissait toute la partie contre le mur . Quand je parle de mets fins je parle de plats plus nombreux que le nombre d'invités présents dans la salle et plus gastronomique que dans une auberge bourgeoise . Ma tarte au pomme me semblait bien simplette d'un coup.

Le deuxième mot fut surfait. En effet toutes les personnes ici présentes était richement habiller , de parure , d'ornement, de broderie des plus fines et délicates qui soit . Vêtue de soieries aux couleurs diverses et variées, ces invités étaient masqués ; les dames et leurs perruques imposantes autant que montantes étaient revêtu de robes aux jupons nombreux qui était elle même recouverte de soie fines et délicates alourdis par des noeuds papillons plus compliquer les uns que les autres , sans oublier les parures assorties aux robes. Je ne veux même pas parler du maquillages ,rajouter à leur teint blanchâtre voire fantomatique une couche de fond de teint blanc qui donne un air de drap propre . Il serait dommage à ces messieurs ici présent de ne point être habiller convenablement , perruque re-poudré pour l'occasion , vêtement neuf aux broderies toujours plus fines et au queue-de-pie parfaitement repasser . Si ces derniers ne s'encombrent pas de perruques hautes comme larges ils disposent tout de même d'une canne prouvant leur rang sociale .

Les masques ... Comment ne pas parlé des masques ? Du bleu ,du rouge au jaune toute les couleurs y passait sans oublier le blanc le noir et le gris . Les formes variées également la plupart cachait juste les yeux, d'autre tout le visage. Certain représentais un animal d'autre des expressions et encore d'autre rien mais pour compenser il était orner de perle couleur or et finement dentelé .

La seule chose qui me parut étrange à mes yeux fut une plate forme en bois usée où quelque latte était gondolé . On voyait aisément que du sang à été abondamment répandue dessus, à mon grand effroi il était récent .

Mais il faut dire que ce n'était pas ma première préoccupation car je cherchais Aurélie tout en servant des verres à ces aristocrates . Je venais de l'apercevoir au loin quand un raclement de gorge se fit entendre . Le silence se fit immédiatement . Je me retournai pour voir d'où provenait ce sons. Il venait de l'échafaud de bois , où se tenait le roi habillé de noir comme la dernière fois que je l'avais vue . Il entama d'une voix forte :

-Bonsoir à tous et à toutes , si je vous ai convier ce soir c'est pour une bonne et même excellente raison . Comme vous le savez tous chaque pouvoir à ses partisans et ses insoumis, moi, j'ai des rebelles qui tente vainement de me nuire. Hier, des partisans à la cause rebelle on tenté d'entrer en mon palais et ce fut pour eux un malheureux échec . Aujourd'hui, en votre compagnie, je vais les punir sous vos yeux .

Les invités eurent l'aire charmer par le discours de leur grand roi et applaudir à s'en faire mal au main. Je ne suis pas une adepte de la torture moi, alors si la noblesses pouvait se dépêcher de finir mon plateau cela m'arrangeait énormément.

Mais moi j'aime bien cela et tu le sais

Une migraine prit possession de moi à cette entente. Les prisonniers arrivèrent . Finalement je vais rester , pas par ce qu' il viens de me le dire mais car les "partisans à la cause rebelles " ne sont autres que Martin et Christian en personne . Je crois que Christian c'est défendu car il est enchaîner contrairement à Martin qui a juste les poignets ligoté. Ils sont encadrés par des chasseurs . Ils les font monter sur l'échafaud et attacher à des poteaux installé pour l'occasion . Je ne veux pas voir ça.

Laisse moi ta place et ils seront sauvés et puis te ne verras rien

La migraine se fait de plus en plus insistante , je commence à voir flou il faut vite que je sorte .

Ne pars pas ça vas être drôle

Il faut que je parte et vite . Très vite . Je lâche mon plateau qui tombe par terre , tout ceux qu'il contenait se brisa en mille morceaux. Je pris ma tête dans mes mains , je sentais que l'on s'écartait de moi .

C'est bien continue

Il gagnait du terrain . Je me mis à hurler de douleur , tomba à genoux sur le verre briser . Je ne sentis même pas la douleur de mes genoux tellement la migraine devenait insoutenable. Il ne fallait pas qu'il gagne du terrain

Mais tu sais très bien pourtant que c'est trois jours te sont fatales chaque années

Il ne faut pas qu'il gagne . Je hurlai à la mort, trois fois plus fort que tout à l'heure . Il prenait du terrain .

J'oubliais Martin et Christian attaché à ce poteaux , les nobles horrifié par ce qui se passait sous leur yeux , le roi qui ne m'aime pas .

Je le sentais en moi , il arrivait , il allait gagné.

C'est la même chose chaque année et tu aurait dû t'y faire pourtant

La douleur devenait plus qu'insupportable. Il ne fallai pas... il ne fallait pas qu'il.... qu'il...

J'ai gagné

La douleur eu raison de moi et je finis par sombrer .

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Tintintin! Alors il est comment ce chapitre ?

Qu'est ce qui se passe ? Pourquoi c'est elle mis à hurler ?

Je vous préviens j'ai été aussi choquer que vous quand j'ai imaginé ça .

Allez Tschüs !

Diane rougeOù les histoires vivent. Découvrez maintenant