9/Prisonnière

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En média le château de l'histoire que j'ai dessiner moi même et dont je suis trop fière XD dites moi ce que vous en pensez dans les commentaires

Nous traversons la cour du château . Je crus pendant quelque instant que nous allions entrer par la porte principale . Faux espoir , les gardes nous firent faire le tour du château qui me paraissait déjà immense de loin l'est vraiment de près , je me vois obligé de préciser que le château n'est qu'une impression il n'est pas en cristal mais dans une matière que je ne connaissais pas, elle brille et reflète le soleil mais n'est pas transparent . Ils nous firent finalement entrer dans ce monument par une petite porte où je dus me baisser pour passer .

Parmi les personnes emmener il y avait un petite fille qui devait avoir six ou sept ans pas plus . Elle pleurai et personne ne faisait rien , pourtant j'arrive à lire l'agacement des gardes sur leurs visages à cause de ses pleurs . Ils commencent à se rapprocher d'elle et je me précipite sur elle pour la prendre dans mes bras . Elle commence à arrêter de pleurer mais de temps en temps on peut l'entendre renifler et dire :" je veux voir ma maman " . Je la tiens toujours dans mes bras , je n'aime pas voir quelqu'un pleurer et encore moins si c'est de ma faute . Ce n'ai pas de la mienne dans ce cas là mais il fallait agir .

Nous arrivons dans des couloirs plus éclairés et décorer . Des tapis rouges sont posé sur du marbre , les murs sont recouverts de chandelier d'argent où des bougies neuves brûlait lentement en face d'elles de grande fenêtre pour laisser passez la lumière et des colonnes d'un marbre différents en ressortait environ tout les quinze mètres . Les gardes s'arrêtèrent devant deux grandes portes en bois de chêne foncé qui devait faire trois ou quatre fois ma taille . Ils les ouvrirent . Ces portes donnent sur une grande salle de banquet où il n'y avait ni table ni chaise ni rien pour s'assoir à part un grand trône au bout de la pièce . Il y avait trois résonne dans cette pièce ,deux valets un qui tenait un long bâton pour éteindre les bougies et un autre qui tenait des bougies neuves. La troisième personne de ce qui aurait pus servir de représentation pour un tableau était un homme richement vêtu, principalement de noir, au cheveux blond et un regard perçant et menaçant trônait sur son visage . Il scrutait une statue .Qui est-ce ? Un serviteur haut gradé du monarque de ce pays étrange ? Où le roi lui même ? Soudain ce personnage plus que bizzard arrêta de fixer la statue et se tourna vers nous . Il tonna :

-Vous tous là en ligne et droit !

On fit ce qu'il demanda en moin de temps qu'il faut pour dire : sauve qui peu ! Il nous regarda un par un et criai soit avec les lavandières ou au cuisine ou en service pour les filles et au écurie ou au mine pour les garçons . La petite que je portais tout à l'heure fut envoyé au en service . Il passa devant moi , me regarda scrupuleusement et repartit sans rien dire . Pour quoi n'a-t-il rien dit ?

Une fois qu'il eu finit sa sélection , si l'on peut nommer ça ainsi , des gardes les emmenèrent par des portes différentes en fonctions de ce que le monarque avait décidé. Quand ils furent tous partit je remarquais que l'on étaient trois personnes rester dans cette immense pièce . Il y avait un garçons au cheveux noir assez grand et une femme au cheveux grisonnant . Le roi nous ordonna de nous regrouper , c'est ce qu'on fit . Il reregarda et nous réausculta du regard . Il finit par lâcher :

-L'homme au écurie , la vieille avec les lavandières et toi, fit-il en me prenant le menton , au cuisine .

Qu'avait-je donc bien pus lui faire pour qu'il me parle de cette manière ? Je ne le connaissais pas , lui non plus . Avant que je parte emmener à mon tour par un garde imposant je le vis parler à voix basse à un congénère de l'homme en noir qui m'emportai . Que pouvait-il bien se raconter ?

Le garde me fit descendre plusieurs escalier avant de s'arrêter devant une porte qui à première vue me paraissait bien lourde . L'homme en noir l'ouvrir pourtant avec aisances . Il me poussa dedans et me pria d'enlever mes effets et de mettre une robe marron et un tablier blanc qu'il me tendait . J'aurai aimé protester et lui dire que je n'en avait pas envie mais il me claqua la porte au nez . Je finie par me changer et poser ma besace dans un coin. Quand il revint je venais de finir de mettre le tablier . Je fini par lui demander :

Diane rougeOù les histoires vivent. Découvrez maintenant