17/ La mer

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L'homme a été crée dans un but qui nous est inconnu. L'homme n'as aucune qualité, beaucoup de point faible et s'est enfermé dans son monde qu'est le nôtre en se l'appropriant. L' homme n'est pas recommandable, il a appris une chose qui fait ce qui compose tout son être aujourd'hui: le mensonge. L'homme est, le seul animal au monde, capable de mentir et c'est bien là son plus grand défaut. Il peut se montrer cruel envers n'importe qui, qu'il le désire ou non . Quand l'homme est un problème, il boit jusqu'à oublier son problème, ce qui lui facilite drôlement la tâche. L'homme a aussi le don de gâcher tout ce qui lui est précieux, en commençant par sa progéniture. Qu'est-ce qu'un enfant? Un enfant est le petit de l'homme, aussi appelé bébé ou nourrisson, qui à son tour en deviendras un. Mais quand devient-on un homme? Un enfant apprend à déformer la vérité en regardant ses ainés, ment et devient homme à son tour, l'enfant n'est finalement pas différent de l'homme. Il mérite le même sort que lui. L'âme pure que contient le nourrisson est pourrie au contact de l'homme et perd toute valeur. L'homme détruit tout ce qu'il ne comprend pas.La nuisance qu'est l'homme est de taille, son égaux est disproportionné, nuis à notre terre. La Terre synonyme de vie, reste un mystère pour celui qui ne sais pas l'écouter, elle représente également les éléments. A vous de réfléchir sur la place de l'homme...

Ce garçon n'avait pas de choix. Il allait devenir un démon, pour ou contre son gré. Je savais pertinemment qu'il ne fallait pas que je m'attache. Je ne l'ai côtoyer que deux heure à peine. Il m'en faut vraiment peu pour m'attendrir. Moi et mes émotions... c'est comme ce que je veux et ce que je vais faire pour ne pas l'avoir. Oui ne pas l'avoir. Mon esprit et ma volonté ne sont pas faite du même instinct.

Mais maintenant je ne pensais pas à cela. Le paysage me laissais sans voix...Quelques coquillages craquaient sous nos pas, le sable chauffé par les premiers rayons de soleil, l'air salins emplissant mes poumons, et la beauté de ce qui se trouvait devant moi me firent oublié tout mes songes. Ce spectacle qui s'offrait devant moi était tout simplement et purement, splendide et merveilleux. Le rouleaux régulier et tranquilles des vagues, mouillant tous les grains de sable qu'elle rencontre et cachant sa véritable force, la tranquillité et le calme de ces vagues apaisèrent mes craintes et mes doutes.

Nous continuâmes de marcher dans ce sable, nous avions enlevé nos chaussures. Le sable s'infiltrais entre nos doigts de pieds.Tout les trois, émerveillé par ce fascinant spectacle, ne dirent mots jusqu'à ce que nous vîmes de la fumée, émanant d'un village lointain, après une bonne heure de marche. De loin, la ville avait l'air gigantesque, nous voyons de plus en plus de bateaux circuler. Un, deux, trois grand mât pour certain, il y avait des plus petits, plein de petites barques qui y allaient et rentraient. Un sentier s'éloignant de la mer fait de sable et de caillou nous y conduisirent. Et c'est donc guidé par ceci que nous atteignîmes une ville côtière.

D'immenses bateaux attendaient sur le port, amarrés à l'aide d'une corde solidement noué autour d'un plot. Les rues étaient bondées de monde: des marchands ambulants, des commerçant avec leur propres boutiques, des femmes venant faire leurs courses, des jeunes filles regardant cette marées humaines, des marins activés autour d'un mât endommagé, des bourgeois, des gamins des rues, des membres de l'église, des mendiants, des hommes d'affaires...Bref une population varié de tous les âges. Le bruit et le désordre régnait -mais se sont les maîtres mots des villes animées. Une cacophonie constante, des bousculades, par ici des pêcheurs vantant la qualité de leur poissons, par là une bonne femme criant sur un passant pressé qui l'avait malencontreusement pousser, plus loin des vendeurs de miracles et des diseuses de bonne fortune. Mille et une senteur se trouvait là ainsi que des couleurs plus vivent les unes que les autres. Le monde des saveurs et de la découverte nous tendaient les bras: des épices qui m'était inconnue reposaient sur les étales, des tissus de couleurs diverses étaient exposés,de la nourriture en abondance, des vendeurs d'objets orientaux. J'avais déjà entendu parler de l'Inde mais je n'avait encore jamais vu la richesse qu'il possédait, je supposais donc que tout cela était leur produit (j'appris plus tard que c'était en parti le cas mais qu'il y avait d'autre grande puissance commercial présente sur ce marché). La rue que nous avions prise donnait sur ce port, la route faite de pavés inégaux faisait cahoter les rares chariots qui arrivaient à ce frayer un chemin, les navires se balançaient aux rythmes des vagues, les enfants bousculaient les passants en riant et courant.

Diane rougeOù les histoires vivent. Découvrez maintenant