Le Populaire Et La Ringarde [Livai X Reader] RÉÉCRITURE

Chapitre 18: Terrible nouvelle

Eren rentrait justement d'une mission... et c'est la qu'il l'avait vu...l'homme venait tout juste de partir, un manteau rouge, une canne...

-Takumi...murmura t'il

Il se trouvait sur le lieu du crime. Le corps d'une jeune fille reposait à terre. Des cheveux noirs, baignés de rouge, tombaient en étoile  autour de son visage pâle strié de plaies. Un filet vermeil, désormais coagulé, avait coulé de sa bouche.

Le visage de la jeune fille l'hypnotisait. Encore une existence fauchée. Eren avait eu le temps d'appeler Hanji pour s'occuper du corps, ne voulant pas alarmer la population de la ville.
Elle s'approcha pour faire son rapport.

-Son agresseur ne s'est pas privé de la faire souffrir : il lui a entaillé le visage avec un objet pointu et elle a été très violemment frappée à la tête, sans doute contre le mur, là-bas... jai trouvé des traînées de sang jusqu'ici.

-Toujours aucune idée de son identité? Demanda Eren

-Il me semble qu'elle vient de la pension du lycée ou allee Livai et (t/p), si jamais ils la connaissent, il ne vaut mieux pas leur en parler. Appel Armin! Il faut le prévenir!

Eren sortit son téléphone, mais personne ne répondit.

-Il n'est pas joignable...

Son téléphone se mit soudain à vibrer.

-Ou...oui begaya til.

-Désolé se n'est pas Armin mais un des hommes à son service, il n'est pas la pour le moment. Que voulez vous?

Eren expliqua brièvement à l'homme, qui fit ensuite des recherches sur le site du lycée. Il reprit la parole rapidement.

-Une certaine Mikasa ackerman...

Eren devint pâle et regarda le visage de hanji, dépité il raccorcha.

-Hanji...c'est la cousine à Livai...

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Tu levas ta fourchette lorsque tu fus interrompue par un homme.

-(t/p), c'est pour toi.

T'es camarades se pencherent pour lire le billet avec toi:

《Pour (t/p),

Ramène ta fraise dans le bureau d'Armin c'est urgent!!!     Livai》

Toujours autant de douceur et de délicatesse dans ses paroles.
Tu empochas le papier et te levas d'un bond.

-Tu n'as même pas terminé ton déjeuner..., protesta Christa.

-Désolé!

Tu quittes le réfectoire et son vacarme oppressant pour t'engouffrer dans les couloirs du bâtiment.
Après quelques minutes, à attendre devant la porte, elle s'ouvrit et Armin ainsi que Livai apparurent dans son encadrement, le visage grave.

-Entre.

L'idée avait été émis d'une voix glaciale. Tu te hatas de franchir le seuil de la porte.

-Bonjour, lancas-tu d'une petite voix.

-Assieyez vous.

T'es jambes te semblaient si cotonneuses qu'elles avaient l'impression d'être du le point de s'effondrer.

-Voilà, j'ai une nouvelle mission pour vous...

Il posa ses mains à plat sur le bureau.

-Si vous n'avez pas d'objection, alors c'est bon.