Chapitre 20: professeur particulier

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Assise à une table de la cafétéria, avec Livai, tu mordiais ton stylo avec fureure. Un livre de littératures anglaises était ouvert devant tes yeux.
Sa faisait déjà un bout de temps que tu n'avais pas remis le nez dans tes bouquins de cours. Toi qui aimais la perfection dans toute les matières. Mais cette fois si tu avais vraiment du mal à te concentrer...

Et pour cause...

Tu lèves tristement les yeux vers un magnifiques Livai en face de toi, qui portait des lunettes. Et fit une moux désemparé.

-Non... sa ne marchera pas...bosse et tais toi. Gromele t'il.

Ne prennent même pas la penne de lever les yeux vers toi; il se replongea dans un des ses livres un thé à la main. Il en prit un gorgé et déposa gracieusement la tasse sur la table.
Tu n'arrivais plus à te concentrer...chaques mouvements, chaques expressions, chaques paroles...qu'il faisait ou prononçait te donnaient des frissons dans tous le corps.
C'est bizarre de se dire que maintenant il arrivait à te faire rougir, alors qu'avant c'était impensable. Ce con avait réussi...Tu en étais tombé amoureuse...

Tu pris ton courage à deux mains pour lever les yeux de ton cahier, et faire face au regard provocateur de Livai.

-Et un bisous? Mumuras tu. J'ai drois à un bisous?

Tu te donna une claque mental, PAR LE TONNERRE DE ZEUS! Qu'es ce qu'il t'avais pris de dire sa!

Mais cette fois ci il detacha les yeux de son livre et planta son regard glacé dans le tiens. Ton corps fut parsemé de pulsion électriques incontrôlables.
Il leva ensuite un sourcil comme pour dire "tu fous d'mon gueule, jvai te tapper". Mais ne dit rien, il ferma juste violemment son livre et retira ses lunettes pour en mordre le bout.
Il te regarda avec une grande intensité, que tu ne pu cacher ton désarroi.

Ne voyant pas de reponse de monsieur le "PROFESSEUR" Livai, tu baissas fébrilement la tête sur ton cahier.
C'est aussi de la façon dont il te regardé qui te poussa à rompre cet échange.

-Très bien... fini t'il par dire.

Il controuna la table pour arriver juste à côté de toi. C'était le silence total...on entendait juste le bruit du tic-tac de la pendule et le bruit de la pluie qui tapé contre les fenêtres de l'habitacle. Face à lui, tu ne pus t'empêcher de le détailler de la tête au pied. En vérité tu ne t'étais jamais attardé sur sa descriton physique ou moral, jamais tu ne l'avais décris à ta façon. Ce serait un super sujet de philo! Et en titre sur la page:

"LE GRAND ACKERMAN"

Forcement c'était un garçon très propre, très maniaque et qui ne supportait absolument pas la saleté.

Si Livai tous craché...

C'est plus sur le portrait moral...mais tu supposes que c'est une bonne descriptions de lui.

Et il ne ne manque pas d’allure ni de classe.

Cette pensée te fit roujir comme une pimbeche!

S’est cheveux noir, très bien coiffé avec la raie sur le millieu et les cheveux soigneusement placé. Très propre,possedent une peau lisse et blanche, sans aucunes imperfections. Ses yeux bleue te transpersant de tous les côtés!

Le rêve! Et justement se rêve se trouvait devant toi! Et il ne lâchait pas ton regard, toujours modant le bout de ses lunettes il se pencha vers toi.

-Alors comme ça tu demande à ton professeur de t'embrasser?

Il avait maintenant un regard sensuel, tu ne savais pas comment interpréter ceci. Prise d'une bouffée de chaleur tu pris ton cahier pour l'utiliser en temps qu'éventail.

Le Populaire Et La Ringarde [Livai X Reader] RÉÉCRITUREOù les histoires vivent. Découvrez maintenant