Le Populaire Et La Ringarde [Livai X Reader] RÉÉCRITURE

Chapitre 19: les sentiments

L'enterrement de Mikasa avait été fait le lendemain de sa mort, sa famille n'avait pas l'air d'avoir été touchés par cette fin tragique. Ils ne la portaient de toute façon pas dans leur coeurs.
Les larmes avaient disparu depuis longtemps, pour laisser place à la colère et la vengeances.

Livai, lui, est resté silencieux tous le long de la cérémonie, même devant la famille de Mikasa. Il avait accumulé tellement de haine qu'il avait bien faillie tuer le père de sa défunte cousine, pour une remaque déplacé de la par de celui-ci.
La façon dont il se fichait royalement du sort de leur fille te repugnais.
Comme peut on être ainsi avec la chaire de sa chaire. Un contrat pour les tuer ne te derangerais absolument pas, tu te ferais une joix de les torturer.

Mais tu en avais marre...depuis que Livai t'avait forcé à entrer dans cette organisation, les ennuies ne fesaient que se multiplier, et il prennent trop d'ampleur. Sa ne peux pas durer, sa ne peux plus durer ... Tu dois arrêter, disparaître, redevenir invisible aux yeux des gens.

...Redevenir...

...Une ringarde...

Une ringarde pas comme les autres, car tu travailles pour une organisation de tueur à gage, se qui te rend unique et difficile à retrouver.
C'est décidé, tu partiras définitivement.

-À quoi penses-tu? Te demandas un Livai fatigué.

Il s'assit à côté de toi, et observa le paysage bucolique qui se trouvait devant lui.
Tu remarquas que de grandes cernes c'était formé sous ses yeux, et son teint était très pâle.
Tu le comprend totalement, après l'accident de sa mère qui lui avait déjà brisé le coeur, et maintenant la mort de Mikasa.
Tu ne savais pas comment il faisait pour tenir encore debout.
Tu ne pu t'empecher de lui frotter chaleureusement le dos.

-Rien de spécial...soufflas tu, Je réfléchissais juste.

-À quoi donc, sans vouloir être indiscret?

-Je te trouve un peux trop bavard, sa ne te ressemble pas.

Il croisa les bras tout en attaquent un sourcil.

-Les temps changent.

-Mmm...La dernière fois, tu te souviens...Je voulais que l'on aillent voir ta mère.

-Oui je m'en souviens.

-J'espère que la propositions tient toujours.

Il soupira une énième fois.

-C'est toujours d'accord, sa me changera les idées.

-Je suis sur qu'elle sera très heureuse de te voir, même si sa ne se vois pas sur son visage. T'exclamas tu.

-tsh...tu m'énerve...

Tu lui mis un coup de coude amical dans les cotes.

-De toute façon tous le monde t'énerve!

Tu te levas invitant ainsi Livai à faire de même, il ferma sa doudoune noire et mit ses mains dans ses poches cachant son visage sous une epaise écharpe. Un filet d'air chaud s'echappa de ses fines lèvres. La neige avait fondue laissant ̀ place au printemps mais il faisait toujour aussi froid.
Tu te mis à marcher la première, Livai t'emboita le pas.

-Qu'es ce qu'on fait Maintenant?  Lui demandas tu, moi...Je...pense...

Tu maquas une pause dans ta phrase, mais voyant le visage interogateur de Livai, tu la repris aussitôt te cachent derrière tes cheveux.

-Je veux tout arrêter...Je veux partir...

Il se stoppa pour ensuite attraper ton bras, les sourcils froncés, le regard impassible. Il te srcutta attendant une réaction de ta part.