Mettez la musique vous serez dans l'ambiance de la scène.
PDV Livai
Je ne saurais dire ou est ce que j'ai bien pu trouver cette force pour courir aussi vite et aussi longtemps. Je ne veux pas m'arrêter un seul instant pour reprendre mon souffle. Hanji ma dit que (t/p) avait encore rechuté, depuis ce jour la elle ne se reveille pas.
Mais aujourd'hui elle aurait bougé une main.
Je sens un liquide glacé degouliner sur mes joues.J'ai comme l'impression que mon coeur va cesser de battre et que mes poumons vont exploser dans ma poitrine. Le souffle court, les jambes qui commence à se faire lourdes, je continus mon chemain à toute vitesse jusqu'à ce que j'arrive devant le QG.
Je veux la retrouver mais en vie.
Je me précipite dans mes tristes couloir du bâtiment, bousculant quelques personnes sur mon passage mais qu'importe, je monte à toute vitesse, les escaliers de marbre, je sais qu'elle est la bas et j'y suis presque. Les élèves m'adressent des regards interrogateurs. Je ne me pose pas plus de question car je me refugie rapidement devant le rideau. Tout essoufflé, le coeur battant, les jambes tremblante, le front recouvert de sueur. Mes doigts gonflés se posent lentement sur le rideau que je fais basculer. Je suis soulagé mais aussi triste, Une lumière aveuglante se précipite sur mon visage, ce qui m'oblige à plisser les yeux. J'ai horriblement mal aux pieds et j'ai encore du mal à reprendre mon souffle.
Et je la vois enfin, etendu sur le lit aux draps blanc, le teint pâle, les paupières closes. Je pousse un long soupir en m' avançant avec hésitation vers son lit. Je m'arrête près de son lit. Mes doigts touchent légèrement les draps la protégeant, je l'observe longuement. Elle à l'air si sereinne mais si proche de la mort...
Mes doigts se baladent un instant avant de renconter la main glacé de (t/p).
Je renifle bruyamment en sentant le contact de sa peau puis mes doigts finissent par enlacer les siens avec une telle force que j'ai l'impression que je vais lui briser les os de sa main. Je ne veux plus la lâcher par peur qu'elle s'en aille, loin.Oui je l'avour aujourd'hui... je l'aime, je l'aime énormément. Je ne veux pas la perdre. Je veux qu'elle soit mienne pour toujours.
C'est de ma faute, toute est de ma faute. Elle va sûrement mourir à cause de moi, je suis sur que c'est à cause de moi...
Je renifle à nouveau en m'asseyant sur son lit pour ensuite m'allonger près d'elle, je reste un court instant à observer sa reaction mais il ne se passe rien. Je me rapproche d elle jusqu'à poser ma tête dans le creux de son cou. Ma main se glisse vers son autre joue que je me mets à caresser avec tendresse, je me colle contre elle en espérant au plus profond de mon coeur, qu'elle se reveille et qu'elle me regarde.
Je sens son souffle irrégulier me caresser les cheveux, j'entends son coeur battre lentement, compant les battements de celle-ci en priant pour qu'ils ne cessent pas.Le bruit d'une porte qui s'ouvre me fait sortir de mes pensées, je me releve alors rapidement vers la personne qui vient d'entrer dans la pièce, c'est Hanji. Elle a l'air tout aussi bouleversé que moi, mais je tente pour le mieu de rester impassible devant elle.
Je ne dors plus, je passe mes nuits à l'observer avec une telle intensité que j'en ai mal aux yeux. Puis je finis toujours par m'endormir pour m'évader dans des rêves effrayants.
Chaque jour, une personne differante vien lui rendre visite. Jean, eren, hanji et même d'autre élèves qui c'était attaché à (t/p).-Tu vas bien, Livai?
Me demande Hanji chaque jour, je le contente à chaque fous de hocher la tête. Je sais que je lui mens...
Puis je m'absente parfois pour donner plus d'intimité à hanji pour changer les vêtements de (t/p).
En attendant, je here dans les couloirs à la recherche d'une quelconque occupation, pouvant rendre mes journées un peu moin tristes.
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Le Populaire Et La Ringarde [Livai X Reader] RÉÉCRITURE
FanficTu es la ringarde de ton lycée, Tu es le genre de fille à être transparente aux yeux des autres. Lui, il est populaire, arrogant mais aimé de tous. Tous deux vous ne vous connaissez pas, ne vous parlez pas malgré que chaque jour, dans les couloirs...