Sans passé

Chapitre 10:

J'était enfin rentrée chez moi.

Sarah m'avait prêté un t'shirt de rechange qu'elle gardait dans son casier.

J'était vraiment de très mauvaise humeur.

Je me dirigeai vers le salon et allumai la télé essayant de m'occuper l'esprit avec quelque chose.

-Maman : Salut Jade.

-Moi : salut.

-Maman : Ton père rentre à la maison demain, on pourra aller déjeuner quelque part ensemble ?

-Moi : Oui, ce sera cool.

Soudain, une idée me passa par la  tête.

-Moi : Maman, est ce que tu peux me donner les albums photos de la famille ? Tu sais, je ne me rappelle de rien, et j'aimerai bien les voir.

Elle semblait gênée.

-Maman : Euh, oui, je vois. Je vais essayer de les chercher.

Je me relevai, déssue par sa réponse et me dirigeai vers ma chambre.

Je repenssais à la photo que la petite fille m'avait montré dans mon rêve, elle avait l'air si réel.

Je m'allongeai sur mon lit après avoir mis mon pyjama puis je pris mon téléphone. J'avais reçu un message.

De : The Boss

Bon, je vais t'avouer un truc miss*J. Je sais que c'est totalement fou et tiré par les cheveux mais c'est totalement vrai : Je suis tombée amoureux de toi. Je ne sais pas comment définir ce que je ressent pour toi, les mots ne suffisent pas. On a beau ne jamais s'être rencontré, j'en suis sur : Je t'aime. Tu es quelqu'un d'unique, tu es la seule personne à qui je raconte mes secrets et ce qui arrive dans ma famille. Et je sais que tu me fait confiance à ton tour... J'ai envie de te  voir, Je réalise que je ne conner même pas ton prénom, et n'en ai plus que marre de ne faire que te parler en texto où sur internet. Je veux te voir.

Ce message m'avait fait chaud au cœur. Mon prince charmant avait beau être loin de moi, je sentais des papillons dans mon ventre.

C'était indiscutable, moi aussi je l'aimais. Mais J'avais peur de le rencontrer, peut être que je n'allais pas lui plaire. J'hésitai puis lui envoyai un message.

À : The boss

Je t'avoue que moi aussi je t'aime. Oui, je t'aime depuis la  première fois que je j'ai parlé. Mais j'ai peur de te rencontrer, peur de ne pas te plaire. Laisse moi un peu de temps.

De : The Boss

Je comprend ton choix, mais je ne veux pas que tu T'inquietes pour ton apparence. Je n'en fou que tu ressemble à un thon ou bien à miss monde, c'est ton fond que j'aimerai pour toujours.

Je fus un peu soulagée de lire ces quelques lignes, mais pas assez pour me faire oublier mes craintes. Je savais qu'il était dans mon lycée, et je devais mener ma petite enquête au plus vite. Cependant, ce n'était pas la seule chose qui me préoccupait, je repenssais à la petite fille qui m'apparaissait si souvent, et si je n'était pas folle ? Et si elle existait vraiment ?

Ce n'était pas si bête de le pensser puisque mon chauffeur avait freiné quand elle était devant la voiture. Mais, J'avais des doutes.

Je m'endormis, soulevée et emportée par l'image de cette dernière.

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Je me réveillai à midi, J'avais fait la grâce matinée puisque c'était le week-end.

Mon père devait arriver avant le déjeuner, je pris donc ma douche et dessendis chercher ma mère.

Je fus surprise de la voir dans les bras de mon père qui était déjà là.

Je le pris dans mes bras à mon tour, contente de son arrivée.

Je montai ensuite m'habiller parce qu'on aller sortir déjeuner ensemble.

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Le déjeuner avec mes parents avait été d'un ennuie désolant. une fois arrivée, je me dirigeai vers se jardin où je m'installai devant la piscine. J'eu  l'envie soudaine de nager. Je remontai donc dans ma chambre, mis mon maillot de bain puis redessendis dans le jardin. Je touchai l'eau avec l'extrémité de mes oreille question de voir si l'eau était froide. Et je fus réjouis de savoir que sa température était parfaite.

Je plongeai, puis parcouru la piscine en longueur.

Je m'enfonçais sous l'eau et essayai d'ouvrir mes yeux. Soudain je vis quelqu'un hors de l'eau me regarder, c'était une petite fille avec un ours en pluche. J'étais sur que c'était la petite blondinette. Donc, je me précipitai hors de l'eau le cerveau déjà bien remplis de milliers de questions concernant la photo. Mais je fus  déçue de ne voir personne une fois hors de l'eau.

Je  sautai puis m'installai sur le bord de la piscine. Je venais de réaliser que je n'avais plus peur de la petite fille, au contraire, sa présence m était devenue familière.

Je pensais toujours à elle quand quelqu'un me poussa de derrière dans la piscine.

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