Merthur

Un coup de main

Nouveau chapitre !

L'heure de payer Aubin approche...

Merlin va-t-il y arriver ?  Trouvera-t-il  l'argent nécessaire ?

Nous allons voir ça....

Bonne lecture ! ^-^

Merlin soupira en voyant le soleil se lever. Il était en train de cirer les bottes d'Arthur pour la journée. Cette tâche, bien qu'ingrate, aurait du le remplir de joie tant elle lui avait manqué. Mais, pourtant, le jeune sorcier était trop soucieux pour émettre ne serait-ce qu'un sourire.

Aujourd'hui. C'était aujourd'hui.

Aubin l'attendra ce soir. Et Merlin redoutait se qu'il se passera.

Bien sûr, il avait songé alerter les gardes, mais il c'était vite rendu à l'évidence : Aubin parlerai si Merlin tentait quoique ce soit. Le risque était trop grand.

Il poussa un nouveau soupir. Le seul moyen de s'en sortir serait de payer. Bien qu'il ne voulait satisfaire l'horrible homme, Merlin n'avait pas le choix. Mais le problème était là. Il ne pouvait pas payer. Il n'avait pas l'argent.

Sa main se crispa sur sa brosse. Comment faire ? Il n'osait pas demander d'aide à Gaïus. Le vieil homme de pourrait l'aider cette fois.

Il avait tant besoin de l'argent...Camelot tout entier en avait besoin.

Il avait besoin d'aide. Mais qui pourrait bien l'aider ?

Les deux faces d'une même pièces...Mais oui ! Bien sûr !

Arthur.

Qui d'autre aurait pu l'aider ?  Arthur était riche, riche et généreux. Il l'aiderait, Merlin en était persuadé.

Il se précipita sur la porte et couru vers les appartements de son espoir.

-Arthur ?! appela-t-il en entrant dans la pièce.

-Merlin ! Mais quand apprendra-tu à frapper ?! fit le Roi d'un ton faussement sévère.

Merlin regarda le blond, l'air désolé. Non seulement il venait lui demander une chose assez délicate, mais en plus il était malpoli.

-Allons, décrispes-toi, je te taquine ! fit Arthur voyant la mine de son ami. Tu voulais me voir ?

Merlin déglutit.

-Et bien...c'est à dire...

-Abrège, Merlin, marmonna le Roi en levant les yeux au ciel, On a pas toute la journée !

Le sorcier se dandina, mal à l'aise. Comment pouvait-il le lui dire ?

"Bonjour, Arthur, vous pourriez me passez 20 pièce d'or ? J'en ai besoin pour payer un fou furieux qui me menace Camelot par ma faute"

Il ricana, sarcastique.

Le sorcier poussa un soupir. Le Roi allait il vraiment l'aider ? Après tout ce qui c'était passé ?