Depuis quelques mois, Merlin éprouve de curieux sentiment pour Arthur. Des sentiments aussi profonds qu'interdits. Merlin a toujours tenté de les ignorer, mais, lorsque Gaïus tombe malade et que Merlin apprend qu'on ne peut plus le sauver, il déses...
Bonjour à tous ! Voici la suite ! Je pense qu'elle vous plaira : )
Bonne lecture ^-^
Arthur marchait dans un couloir du château. Il venait de terminer son entrainement quotidien avec les chevaliers. Cette séance c'était mieux passée que la précédente, cependant, il n'était plus en aussi bon terme avec les chevaliers qu'avant. Et ça l'attristait.
Qu'est ce qu'il racontait ? Il n'avait pas à s'attrister de s'être embrouiller avec eux ! C'était LEUR faute ! Pas la sienne !
Pas vrai ?
Il secoua la tête pour se changer les idées. Puis, comme pour le ramener à la réalité, George, sortant d'un couloir, se précipita vers lui.
"Oh non, pas lui" , pensa Arthur, la mine dépitée.
-Sire ! Vous voilà ! Je vous cherchait, Majesté !
" Majesté ? Mais c'est de pire en pire !"
-Vous avez une journée très chargée, Sire ! Vous devrez aller chasser avec vos hommes, dans quelques minutes de cela, Votre Altesse ! Et ensuite, Sire, vous devrez consulter le rapport du capitaine des gardes, puis, Majesté, vous devrez remplir vos papiers, et, ensuite, Mon Seigneur, vous devrez également écoutez les plaintes de quelques paysans, et, Votre Seigneurie, vous devrez également...
-Wow, stop !
Arthur avait le tournis rien que de pensez à tout ce qu'il devait faire.
-Je suis vraiment obligé de faire tout ça ?!
-Mais bien sûr, Sire ! C'est d'une importance capitale, Sire ! Le royaume compte sur vous, Sire !
"Le royaume compte sur vous..." Arthur se raidit. C'était le genre de chose que Merlin lui disait, autrefois...
Non ! Ne pas craquer ! Ne pas craquer.
Il inspira un bon coup .
-Sire vous allez bien ? Vous avez de lourdes responsabilités, Sire ! Je vous comprend, Sire ! Mais vous devez tenir bon et...
-Tais-toi ! cingla Arthur. Ne me parle pas de responsabilités ! Ce... ce n'est pas à toi de me parler de ça, c'est à Merl....
Arthur s'arrêta brusquement. Il était à bout de nerf.
"Ressaisit-toi Arthur ! Ressaisit-toi !!!"
Il respira grand bol d'air, espérant se calmer.
George le dévisagea d'un air choqué.
Puis, tentant de cacher sa faiblesse, le Roi partit d'un pas ferme vers l'écurie, pour commencer la longue liste de tâches qui l'attendait...
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