Bad Girl

Chapitre 17

Nous sommes tous installaient à la terrasse de mon yacht en train de parlé de tout et de rien.

Comme dans le bon vieux temps.

En rigole, parle, raconte quelques anecdotes comme au bon vieux temps.

Ma mère nous regarde Daniel et moi, en souriant.

Mère - Alors ? Vous deux c'est officiel.

Je regarde Daniel qui lui me regarde comme au bon vieux temps avec tendresse, amour et désir.

Et je suis encore en train de tomber plus pour lui.

Daniel - Je ne sais pas, qu'est-ce que tu en penses Jess. Dit-il en se rapprochant de moi plus qu'il n'était, je roule des yeux puis colle mon dos a son torse.

Moi - Il ne ma pas encore demandé, mais j'espère...

Il s'approche de moi et me parsème de bisous a mon cou si fragile que mes poiles s'hérisse.

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Après que toute ma famille est parti, il ne reste plus que Daniel et moi sur mon yacht.

Je ramasse les verres sur la table, pendant que lui est entrain de regardé un match de foot.

Je vais a ma chambre dormir, l'autre je ne sait pas se qu'il fait, mais je sait que dans cette escalier je ne suis pas seul, qu'une présence dont l'odeur m'enivre.

A peine j'ouvre la porte de ma chambre que celle-ci se referme.

Daniel.

Il me prend par la taille, colle ses lèvres au mienne et me plaque contre un mur.

Romantique raté.

Me laissant, je place mes mains a son cou et c'est parti pour danse de langue endiablé.

Je le pousse violemment sur mon lit et me met en califourchon sur lui.

A la seconde nos vêtement sont déjà à l'autre bout de la pièce et nous sommes entièrement en tenue d'Adam et D'Ève. 

Bougeant nos hanches a un rythme qui nous accorde l'un contre l'autre, nous sommes deux gangsters plus dangereux l'un comme l'autre, mais notre amour est si fort putain, que nous oublions tous nos soucis, nos vengeances...et bien d'autre encore.

Nous sommes a présent allongé l'un contre l'autre se seront fort, moi sur lui, lui en dessus de moi, collons nos nez.

Je ferme les yeux en savourant se moment si irréel.

Moi - Tu es mon premier amour tu sais.

Lui - Et tu seras la dernière. Je n'est jamais s'essai de t'aimé.

Moi - Et moi donc.

Lui - Dit voudrais-tu être officiel comme le dit ta maman.

Je sourit a sa phrase si ironique.

En réponse, je pose mes lèvre sur les siennes.

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Moi - Arrête Dan.

Je suis en train de mettre mon t-shirt, et lui le gamin qu'il est m'empêche en se collant a mon dos, et me parsème encore une fois de bisous.

Lui - Noon, tu sent tellement bon.

Moi - M'en fou dégage.

Est en plus il rigole se gamin.

Lui - Toujours aussi grossière chérie. Dit-il en se décalant de moi. Même après ce qu'on a fait.

Je met mon t-shirt enfin.

Prend mon sac et ont part.

Pour allé où ? Bien chez nous.

Oui avant quand se sépare on avait un manoir. Plutôt charmant. 

Après 2H a être dans sa voiture, en descend de sa voiture, puis on se dirige chez nous main dans la main, comme des enfants.

En entrant je m'allonge directement sur le canapé en soufflant nous sommes enfin chez nous.

Il me rejoint en s'allongeant sur moi.

On se regarde droit dans les yeux,

Moi - Il faut que je te dise.

Lui - Je sais.

Je prend un grand d'air d'oxygène.

Moi - J'ai un...

Lui - Prend tout ton temps... si s'est difficile je comprend.

Je souffle commençant en a avoir les larmes aux yeux.

Je pose mes deux mains sur ses joues en le regardant bien droit dans les yeux.

Et je le dit en un souffle.

Moi - J'ai un cancer du poumon.

Il écarquille les yeux, puis je voit des larmes commençant a sortir, que je les essuie aussi tôt.

Lui - Co...Comment ? Je n'arrive pas a y croire merde ! Putain j'tait dit de faire attention a ses merdes  putain ! Cette nouvelle me touche en plein cœur... Je n'ose même pas imaginer se qu'il en est pour toi... De toute façon je serais toujours à tes côté ok ! Purée dit quelque chose...

Je le regarde je savais qu'il allé réagir comme sa au fond c'est un sensible quand sa me concerne, il est même venu a l'enterrement de ma grand-mère.

Moi - Pour l'instant je ne m'inquiète pas, j'ai une greffe ou donneur je ne sait pas comment on appelle sa, mais pour l'instant je doit attendre le bon moment, car l'opération je ne suis pas assez sur, tu sais que j'ai toujours eu peurs, des docteurs, dentistes et tout se qui concerne a la médecine.

Lui - Merde !

Il pose son front contre le mien, en fermant les yeux, nos souffles se mélangeons avec douceur.

Moi - Ouais merde comme tu le dis.

Il ouvre les yeux me regardant.

Lui - J'ai envie de passé toute mon existence a tes côté.

Moi - Moi aussi.

Lui - J'ai envie de passé une nouvelle vie avec toi, loin de tous ces connerie dans un pays et ville silencieux rien que nous deux.

Moi - Rien que nous deux. Dit-je avec le sourire.

Lui - Rien que nous deux.