Ce sont les mots et le geste de trop, je le savait déjà au moment ou mes doigt on dit bonjours à sa joue.
Un éclair de rage traverse son regard. Je sent ma fin approcher mais aucune larme ne coule du moins pour le moment.
Il lâche l'anneau du collier en me faisant tomber par la même occasion, puis se retourne et s'appuie sur sa table.
Le fait qu'il n'y ai aucune réaction suite à mon geste me choque et me terrifie encore plus car on m'a toujours dit que plus l'attente d'une vengeance et longue plus la douleur sera forte.
Je le voit ôter sa veste ainsi que sa cravate, puis il relève les manches de sa chemise qui lui moule le corps en y dessinant parfaitement ses abdos à en faire baver plus d'une. Il enlève par la suite sa ceinture mais la garde en main et se dirige vers moi.Ayden : Que le dressage commence.
Je n'ai pas le temps d'assimiler ses paroles que je ressent une atroce douleur au ventre, puis au dos et ainsi de suite sur le reste de mon corps. Il me bat ceinture en main en frappant de toutes ses forces. Je suis en boule au sol pleurant et criant tout en protégeant mon visage des coups.
Quant à lui, ce monstre, il m'insulte et ne cesse de me hurler dessus en me répétant qu'il m'avait prévenue, que si j'avais était docile des le début rien de tout cela ne serai-arriver. Il dit aussi qu'il aurai du me tuer dans cette ruelle le jour de notre rencontre, si il savait que moi aussi j'aurai aimer qu'il y crève.
Il continue de crier en me disant qu'il fera de moi une chienne obéissante, qu'il a tout les droits sur moi vu qu'il m'a acheter comme on pourrai acheter un jouet.
Il me dit que je lui appartient, que je suis sa propriété, qu'il est le seul à décider si je doit vivre ou mourir.Pour moi il n'y a pas eu ce fameux trou noir dont parle les livres même si j'aurai aimer. Soudain les hurlements ainsi que les coups cessèrent laissant seulement entendre mes pleurs ainsi que sa respiration bruyante.
Je n'ose pas bouger jusqu'au moment ou j'entend l'eau de la douche couler. A ce moment seulement je pousse mes bras de devant mon visage et observe les dégâts. Mes vêtements sont en lambeaux surement du a la force des coups, de plus je ne distingue même plus la couleur de ma peau tout ce que je voit c'est du sang et rien de plus...
L'eau s'arrête, ma peur revient.
Il se tient de nouveau devant moi, avec seulement une serviette autour de la taille. Je l'aurai dévorer des yeux dans d'autre circonstance mais la je rêve seulement qu'il se fasse dévorer par les flammes de l'enfer.Ayden : Le dressage n'est pas fini Layana on reprend dit t'il avec un brin de sadisme dans la voie.
Il arrache le peu de vêtement qu'il me restait me laissant en sous vêtements. En plus des coups qu'il m'a infliger il m'humilie désormais, je tente de me cacher mais mes membre sont bien trop douloureux pour que je puisse faire le moindre mouvement.
Je le voit chercher quelque chose dans un placard et en retirer une énorme chaine. Il attache une extrémité au pied de son lit et l'autre à l'anneau de mon collier.Ayden : Les chiens doivent toujours rester au près de leur maitre. Tu dormira ici à présent jusqu'à ce que je décide le contraire.
Il compte réellement me faire dormir à même le sol ? Je ne vais pas tenter le diable en lui posant cet question. De plus le voila accroupie juste en face de mon visage.
Ayden : Tu as vraiment mal ? Ou tu as juste perdu ta langue ?
Il se fou de ma gueule c'est obliger. Attend que je retrouve mes forces et je peux te dire que c'est toi qui aura mal.
Ayden : Maintenant pleure un bon coup puis embrasse moi.
Du genre sadique y a pas pire, je préfère respirer un bon coup pour empêcher mais larme de couler plutôt que de lui donner satisfaction. Et puis, je ne croit plus avoir de larme en stock.
Ayden : Si tu m'embrasse je te ferai soigner ma douce.
Il me caresse la joue des ses doigts, mais ce que vous qualifiées de geste tendre me répugne venant de lui. Je ne pleurerai plus c'est terminé désormais je ne pleurerai plus jamais. De toute manière je ne veux pas de ses soins je préfère encore mourir cette nuit que de l'embrasser !!
Ayden souffle un coup avant de se relevai. Puis se couche sur son lit tendit que moi je reste au sol telle une commis.
Ayden : A demain pour la suite de ton dressage ma Layana. J'espère que tu finira par comprendre que le plus petit de mes ordre doit être exécuter.
Et il ne mentait pas tout les jours, c'était le même rituel il me nourrissait de pain et d'eau qu'il prenait soin de mettre dans une gamelle. Evidemment je n'y touchai pas. J'avais le droit d'aller au toilette une fois par jour mais je n'avais pas le droit au douche.
Avant de se coucher le soir il me redemander la même chose il voulais que je l'embrasse et chaque soir je refusait. Puis je n'allais pas sacrifier mon premier baiser pour lui. Donc pour me "dresser" comme il disait il me frapper de nouveau, parfois avec la ceinture, d'autre fois à mains nue et une fois même avec une cravache. Puis il me redemandai de l'embrasser en échange de soins mais je refuser toujours.
Au bout d'une semaine je m'était affaibli moralement, je m'était résigner à manger le peu de nourriture qu'il me donner mais je ne reprenais pas beaucoup de force et mon corps était toujours endolori.
Chaque jour j'attendais mon châtiment sachant à quoi m'attendre. Mais ce soir là je ne m'y attendez pas.Il rentre énervé comme toujours j'ai envie de dire. Quand ses yeux se pose sur moi j'y voit une lueur qui me fait frissonner de l'intérieur.
Il s'approche de moi à grand pas, m'attrape par les cheveux et me jette sur le lit. Il vient se positionner à califourchon au dessus de moi et me repose cette question : "Embrasse moi"Moi : Pourquoi ?
Il fut tout d'abord choquer de ne pas entendre un non franc et direct mais il sourit juste après.
Ayden : Car c'est un moyens sur de voir si tu es prêtes à être docile avec moi. Si tu m'embrasse cela signifie que je pourrait te faire confiance car tu sera devenu une chienne obéissante et pourquoi pas libre de cette chaine. Car après tout si tu es prête a me céder ton premier baiser tu sera prête à tout.
Moi : Comment ...
Ayden : Je sait tout sur toi, j'aime me renseigner sur ce qui m'appartient. Alors maintenant embrasse moi et je te laisserai retourner dans ta chambre et revivre dans les même condition qu'a ton arriver.
Ce type est un psychopathe, vous devez vous dire que c'est un simple baiser mais si je lui donne ca que voudra t'il par la suite. Il en est hors de question.
Moi : Non
Il sourit puis en réalisant ma réponse son visage se crispa.
Ayden : C'est comme ca ?! Alors je vais me servir moi même dans ces cas la et peut être même que je ne prendrait pas seulement tes lèvres !!!
Il capture ma bouche de ses lèvres, c'est un baiser violent. J'essaie de le repousser mais rien n'y fait il bloque mes mains d'une seule des sienne et continue de meurtrir mes lèvres. Je sent sa langue essayant de pénétrai ma bouche, ce qu'elle réussi à faire après qu'Ayden est attraper ma poitrine avec force me faisait lâcher un petit cri de douleur. Je sent sa main se balader sur mon corps quasiment nu. J'ai honte, honte de moi, honte de perdre de cette façon ce qui m'est le plus précieux.
J'essaie de lui crier d'arrêter mais il capture de nouveau ma bouche pour me faire taire.
S'en est trop, je craque, de nouveaux mes larmes coulent dans un dernier supplice pour espérer l'arrêter avant qu'il n'aille plus loin.
Soudain Ayden s'arrête après que mes larmes se soient mélanger à son baiser. Il me regarde droit dans les yeux tendit que j'essaie de fuir son regard. Mais quand je croise ses yeux de nouveau, je les voit baisser et y distingue presque une pointe de regret. Ce qui me sort vite de la tête quand je le sent me jeter à terre et me dire de dormir sans faire un bruit.J'ai vraiment eu peur cette fois...
Voila je pense que ce sera tout pour ce soir ça fait tout de même trois chapitre 😄
Bonne lecture et n'hésitez pas toute critique positive ou négative peut être constructives 😘
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Vendu pour le meilleure ou pour le pire ?
General FictionLayana jeune fille de 17 ans va voir sa vie changer après une étrange rencontre avec un homme que l'on peut qualifier de psychopathe. Extrait : Me revoilà devant cette ruelle, chaque jour je doit passer par là pour rentrer chez moi et à chaque fois...