Au Mexique, il n'y a pas exactement les mêmes magasins que Paris, bien entendu, mais j'ai quand même réussis à me trouver du linge qui ressemble un peu à ce que je porte normalement. Bien entendu, j'ai acheté un genre de foulard que les femmes mexicaines portent, mais ce que je veux dire c'est que j'ai trouvée des vêtements qui ne font pas vêtements traditionnels.
Mes deux latinos et ma française préférés n'ont pas tant appréciés que je paye tout pour eux. Enfin, Sigario ne s'en ai pas tant préoccuper, mais Paolo s'est mis en colère.
J'ai quand même tout payer. Oups!
En se moment, nous sommes en train de chercher un bon petit restaurent. Nous marchons dans la rue, nos sac en main. Non, plutôt Paolo et Fanny tiennent nos sac, et Sigario et moi regardons pour un restaurent.
Paolo m'a obligé à lui donner les sacs et Fanny s'est dit qu'elle en prendrait elle aussi. Elle est plus habitué que je paye des trucs pour elle, mais ce n'est quand-même pas ce que qu'elle préfère. Je la comprend. Je détesterait qu'on paye pour moi. Mais, je le fais pareilles!
- Regarde! Il y a une restaurant là! pointe Sigario.
Ce petit m'étonne. Son français s'améliore tellement vite! Il est capable de faire des phrases complètes ou presque maintenant. Il fait seulement quelques fautes grammaticales.
Je regarde la direction qu'il me pointe. Un petit restaurent mexicains chaleureux se pointe devant nous.
Je précise le <<mexicain>> ,car nous n'avons pas arrêter de croiser des restaurents chinois, français ou encore des McDonald. Ouin. Pas très mexicain.
- Allons y!
Sigario me sourit et je tourne en direction du restaurent. Lorsque nous entrons à l'intérieur, je remarque qu'il est assez bondé. Ça doit être un des seuls restaurents typiquement mexicain, alors on comprend pourquoi.
- Bonjour, Hi, hola! fait la dame qui va nous désigner une table.
Je suis chanceuse aujourd'hui! La plupart des gens que j'ai rencontrée parle français. À part les vendeurs qui pour la majorité ne parlait qu'espagnol ou un mini peu anglais.
- Bonjour! Une table pour quatre s'il vous plaît.
La dame hoche la tête, prend des cartes et nous amène à l'intérieur du restaurent. Elle nous dirige vers une banquette. Lorsque nous arrivons devant celle ci, elle dépose les cartes de manière à ce que nous puissions les prendre. Ensuite, elle part en nous souriant.
- Bon! Si vous voulez commencez à chercher ce que vous voulez manger, libre à vous, mais moi je vais aller me changer. Je suis tanner de ressembler à une guenille, Je déclare en prenant les sacs qui sont destinés à Fanny et moi
Fanny hoche la tête.
- Je viens avec toi.
- Pendant que vous partez au toilette, on va commandé des choses à boire, explique Paolo.
- Parfait!Je pars avec les sacs et Fanny me suit. Nous cherchons un peu les toilettes, puis nous demandons à une serveuse qui nous amène aux toilettes.
J'entre et dépose les sacs par terre. Je cherche un peu dedans, puis quand je trouve les vêtements parfait, j'entre dans une cabine pour me changer. J'enfile mes vêtements tout neuf, puis sors m'admiré.
Narcissique? Naaaa! Je fais juste reconnaître ma beauté!
Je porte un chandail à manche trois quart moulant rouge sang qui descend vers mes seins en V, lacé. Ensuite, j'ai une jupe blanche qui descend un peu en bas des genoux qui est excessivement lousse. Juste l'élastique qui tient à ma taille permet qu'elle ne tombe pas. Finalement, j'ai troqué mes souliers de course contre une paire d'escarpin blanche. Je décide de me faire une tresse française que je dessers et je mets une petite couche de mascara sur mes yeux. Ce n'est peut être qu'un souper, mais ça compte beaucoup.
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L'argent ne fait pas le bonheur
RomanceIsobel Clare, 20 ans, vit plutôt aisément.. Pour ne pas dire riche. Elle pense que l'amour n'existe pas, que les je t'aime ne sont qu'une couverture pour avoir de l'argent. Un jour, sa meilleure amie l'entraîne dans un voyage dans les bidonvilles d...